La Guerre Froide - Cuba. Cuba - Castro, communisme et crise des missiles Bien que la Guerre Froide n'ait jamais eut de conflit armé, elle n'était pas exempte d'incidents dangereux.
En effet, la crise des missiles cubains était le plus près que le monde a jamais vu d'une guerre nucléaire. La déclaration d'une guerre nucléaire qui aurait été désastreuse reposait sur les deux hommes les plus puissant du temps, le Président John F. Kennedy et le Premier Ministre Nikita Khrouchtchev. Heureusement, la guerre n'a jamais vu le jour. En 1962 l'Union Soviétique a été dangereusement derrière les États-Unis dans la course aux armes.
Durant ce temps, Fidel Castro cherchait une façon efficace de défendre son île contre une attaque américaine. Pour les États-Unis, la crise commença le 15 octobre de cette même année lorsque des photographies militaires ont révélé des missiles soviétiques en construction à Cuba. Le contrôle naval américain entre en vigueur au moment où vingt-cinq cap soviétiques approchent de Cuba. LE MONDE | • Mis à jour le | ANDRÉ FONTAINE.
Dès à présent, on parle d'une réunion de l'Assemblée générale de l'O.N.U., et de nombreux pays non engagés, auxquels s'étaient joints trois neutres européens et plusieurs latino-américains, se sont réunis sur l'initiative du ministre algérien des affaires étrangères, M. Khamisti, pour envisager une action commune destinée à éviter le pire. Certains suggèrent une rencontre des deux " K ", d'autres insistent sur la nécessité d'éliminer toutes les bases étrangères.
La Baie des Cochons. 13 jours en octobre - La Crise des Missiles au Cuba. A CRISE DE CUBA - 1962. Infographie crise de Cuba. Le film de la crise. CRISE DE CUBA Encyclopaedia Universalis. Crise de Cuba. Crise qui opposa en 1962 les États-Unis et l'URSS à propos de l'installation de fusées soviétiques sur l'île de Cuba.
Des « armes défensives » Si Nikita Khrouchtchev avait dès 1960 affirmé qu'il fournirait des armes classiques à Fidel Castro, l'échec de l'intervention armée américaine à Cuba dans la baie des Cochons (avril 1961) avait à la fois affaibli la position internationale des États-Unis et permis à Castro d'insister pour obtenir des garanties plus substantielles. C'est, semble-t-il, au cours d'un voyage à Moscou de Raúl Castro en juillet 1962 qu'est prise la décision d'implantation secrète de fusées qui seront, le moment venu, présentées, suivant la tradition diplomatique, comme des armes défensives. La réaction des États-Unis En septembre, l'installation commence, tandis que le président américainJohn F.
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Événements précurseurs de la crise[modifier | modifier le code] Durant les années 1950, les États-Unis avaient une grande influence sur la politique de la République de Cuba, devenue indépendante de l'Espagne en 1898 à la suite de la guerre hispano-américaine. Le 31 décembre 1958, Fulgencio Batista s'enfuit aux États-Unis. Fidel Castro appuyé par Che Guevara arrive au pouvoir à la tête d'une guérilla soutenue par la majorité du peuple cubain. Il est alors reconnu par le gouvernement des États-Unis en janvier 1959. Ces représailles sont suivies, le 17 avril 1961, par le débarquement de la Baie des Cochons : 1 400 hommes soutenus par une force aérienne tentent de renverser Castro. J.F. Début de la crise[modifier | modifier le code] Les opérations soviétiques Anadyr et Kamas[modifier | modifier le code]
» [27/10/1962] Crise de Cuba : le jour le plus dangereux de l’Histoire. Reprise d’un excellent article du NouvelObs, qui rappelle à quel point nous marchons souvent au bord du précipice… A méditer.
Réunion de l’excom, le comité secret établi par Kennedy, au début de la crise de Cuba On savait que le monde, le 27 octobre 1962 – point culminant de la crise des missiles de Cuba – avait échappé de justesse à l’apocalypse nucléaire. Cinquante ans après, les témoignages d’acteurs de la crise et les informations des archives américaines et soviétiques révèlent que des incidents demeurés inconnus ont failli provoquer la déflagration, à l’insu même de Kennedy et de Khrouchtchev. (Enquête publiée dans le Nouvel Observateur du 18 octobre) Ce fut le jour « le plus dangereux de l’histoire de l’humanité », a dit, à l’époque, un conseiller de John Kennedy. Photo de site de missiles prise d’un avion espion Le 22 octobre, JFK exige, dans un discours alarmiste à la télévision, le retrait de ces missiles. Ce n’est pas tout. Khrouchtchev croit – et c’est une erreur colossale !
Étude de cas : la crise de Cuba.