Le développement durable : une utopie politiquement correcte. Nationales de chaque pays. 1812 agendas 21 locaux recensés dans 43 pays : 415 en Norvège, 307 en Suède, 285 au Royaume- Uni, 147 au Danemark, 143 aux Pays-Bas, 88 en Finlande, 40 en Australie, 30 en Allemagne, 29 en Espagne, 22 en Italie, 19 aux États-Unis et 15 en France. pement" et l'exhortation à entrer résolument dans une nouvelle ère de croissance économique ". D'où le recours à l'oxymore, cette forme rhétorique qui concilie les contraires.
La notion d'écologie urbaine Une enquête menée par la F.N.A.U., Cités Unies France, le C.R.I.D. et 4D, montre l'importance d'une impulsion nationale pour le développement des agendas 21 locaux : plus de 80% des agendas 2 1 locaux sont le fait de 11 pays ayant mis en œuvre des programmes nationaux sur ce thème. Aujourd'hui, en France, 15 villes françaises seulement ont signé à ce jour la charte d'Aalborg de 1994 ( charte des villes européennes pour la durabilité ) sur 1385 villes européennes. Pour G. Pour C. La politique développement durable. Le Conseil d'administration de l'IRD a approuvé, en mars 2013, la politique responsabilité sociétale de l'établissement. Signataire de la Charte développement durable des établissements publics depuis 2011, l’IRD concrétise ainsi sa volonté d’inscrire ses activités et son fonctionnement interne dans une démarche de développement durable.
Dans le cadre de la loi Grenelle 2 portant "engagement national pour l'environnement", l’IRD a établi le bilan réglementaire de ses émissions de gaz à effet de serre (BEGES). Réalisé en 2013 pour l’année de référence 2012, il concerne tous les sites de l’IRD sur le territoire français : siège social à Marseille et ses centres à Montpellier, Bondy et en outre-mer. Conformément à la réglementation, ce bilan ne prend en compte que les émissions directes (émissions issues des bâtiments et des véhicules gérés par l’IRD) et les émissions indirectes liées à la consommation d’électricité. Les sept axes Responsabilité sociétale de l’IRD Une démarche collective. La Stratégie nationale de développement durable (2003-2008) - Le développement durable en France : de la stratégie nationale au Grenelle de l'environnement. Récupération sélective des ordures ménagères. Photo : Frédéric de la Mure © Ministère des Affaires étrangères. Diffuseur : La Documentation française Agrandir l'image La définition d'une nouvelle Stratégie nationale de développement durable (SNDD) en 2003 (après une première version adoptée en 1997) répond d'abord à un engagement international de la France pris dans le cadre de l'ONU en 1992 lors du Sommet de la Terre de Rio et réaffirmé en 2002 au Sommet de Johannesburg.
Elle vise aussi à intégrer la Stratégie européenne de développement durable adoptée en juin 2001 à Göteborg par les chefs d'Etat et de gouvernement. La stratégie nationale adoptée le 3 juin 2003 par le gouvernement Raffarin, réuni en Comité interministériel pour le développement durable, s'articule autour de six axes stratégiques, recouvrant au total dix programmes d'action (chaque axe comporte au minimum un programme), qui sont assortis d'objectifs, de plans d'actions et d'indicateurs de suivi.
Il s'agit de : L’intégration du développement durable dans les politiques communautaires - Ministère de l'Environnement, de l'Energie et de la Mer. Les premières actions communautaires débutent en 1972, dans le cadre de 4 programmes d’action successifs, qui reposent sur une approche verticale et sectorielle des problèmes écologiques. En 1986, l’acte unique européen fonde à la fois la politique communautaire sociale et celle de l’environnement en insérant deux sections complètes dans le traité de la Communauté européenne. Le chemin pour le développement durable est ainsi préparé. L’action communautaire se développe au fil des années dans une approche à la fois réglementaire mais aussi de par des méthodes de coopération entre Etats Membres.
En 1997, le Traité d’Amsterdam poursuit cette évolution, en indiquant au sein des objectifs de l’Union européenne (UE) « de parvenir à un développement équilibré et durable ». Au-delà des simples inscriptions dans le droit primaire, les années suivantes sont consacrées à la mise en œuvre de ces dispositions. Elaboration d’une stratégie de développement durable pour l’Union européenne. .: Présentation synthétique des textes de l'Agenda 21 :. Cadre institutionnel. Au niveau international : du penser global à l'agir local Dès 1992, le texte final du Sommet de la Terre de Rio, nommé « Agenda 21 » ou « Action 21 » incitait les collectivités à élaborer des « Agenda 21 locaux ».
Son chapitre 28 sur les « Initiatives des collectivités locales à l'appui d'Action 21 » demandait à ce que « toutes les collectivités locales instaurent un dialogue avec les habitants, les organisations locales et les entreprises privées afin d'adopter un programme Action 21 à l'échelon de la collectivité. » En 1994, la Commission européenne, en partenariat avec l’Iclei (International council for local environmental initiatives) et les réseaux de villes, a lancé la campagne des villes durables,pour renforcer l’ancrage des Agenda 21 en Europe.
En 2004, 10 ans après l’adoption de la Charte, les villes signataires se sont réunies, pour « passer des paroles aux actes » et envisager les actions futures. Les textes de référence, de Rio à Johannesburg et cinq principes de méthode : These ponrouch 03. Les agendas 21 locaux : quels apports sous quelles latitudes ? 1Les agendas 21 locaux1 constituent la traduction la plus immédiate ou la plus visible, puisqu’elle est labellisée, de la problématique du développement urbain durable.
Pourtant, au-delà des 6400 agendas 21 locaux officiellement recensés par l'association ICLEI2 au niveau mondial en 2001, et des 5000 agendas 21 européens recensés début 2004, on peut se demander combien parviennent à impulser de nouvelles politiques urbaines. Les recherches à ce sujet ne sont pas très nombreuses, mais on peut estimer que chaque pays de l'Union européenne comporte une à quelques poignées d’agendas 21 locaux réellement transversaux et actifs.
Une étude conduite en 1999-20003 a permis de dresser un premier bilan de la démarche des agendas 21 locaux dans 11 pays européens (Lafferty, 2001). 3L’agenda 21 local ne bénéficie pas la plupart du temps d’un appui politique suffisant pour infléchir les politiques urbaines. 4Toujours est-il qu'un certain nombre d'agendas 21 se sont essoufflés. Comment le gouvernement a dépolitisé le ministère de l'« Environnement. Au gré des remaniements, les ministres changent et les intitulés des ministères évoluent. Depuis le 11 février dernier, Ségolène Royal n’est ainsi plus ministre de « l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie » mais de « l’Environnement, de l’Energie et de la Mer, chargé des relations internationales sur le climat ». Créé en 1971, ce ministère a connu plusieurs intitulés. D’abord « ministère de l’Environnement et de la Protection de la nature », il est rapidement devenu ministère de « la Qualité de vie » dans le courant des années 1970.
Dans les deux décennies suivantes, le voilà qui prend l’intitulé de « ministère de l’Environnement ». C’est n’est qu’en 2007 qu’il devient « ministère de l’Ecologie et du Développement durable ». Aujourd’hui, retour en arrière avec le come-back de l’« Environnement ». Terra eco : Sur le plan de la sémantique, utiliser le terme « environnement » ou celui d’« écologie », qu’est-ce que cela change ? A lire aussi sur Terraeco.net :