Vos traces. La Brique Internet. Exclusive: Edward Snowden on Cyber Warfare — NOVA Next. Cyber warfare used to be the stuff of sci-fi movies and military exercises.
But with the advent of the Stuxnet worm, the Sony Pictures hacking—which was allegedly carried out with the backing of the North Korean government—and this week’s assault on German government websites, large-scale cyber attacks with suspected ties to nation states are growing increasingly prevalent. Few people have lifted the veil on cyber warfare like Edward Snowden, a former NSA contractor who leaked a massive number of documents to the press. Highlights from Edward Snowden's interview with NOVA Last June, journalist James Bamford, who is working with NOVA on a new film about cyber warfare that will air in 2015, sat down with Snowden in a Moscow hotel room for a lengthy interview. James Bamford: Thanks very much for coming. Edward Snowden: So this is really interesting. So this is really interesting. And that’s a significant departure from the claims of the former NSA director, Keith Alexander. Bamford: Thanks.
Leur mission: réparer votre Internet cassé par la surveillance. Tandis que les gouvernements européens sont à leur tour éclaboussés par les révélations d'Edward Snowden, les «petites mains» du réseau, elles, s'attellent à compliquer la tâche des agences de renseignement.
«Nous, les ingénieurs, avons construit l'Internet – et maintenant, nous devons le réparer.» Celui qui a lancé dans les colonnes du Guardian, le 5 septembre dernier, cet appel à se retrousser les manches n'est autre que l'expert en sécurité américain Bruce Schneier, chargé par le quotidien britannique d'analyser les documents transmis par l'ex-consultant Edward Snowden. Celui que l'on surnomme parfois le «Chuck Norris de la cryptographie» est loin d'être le seul à estimer qu'il est grand temps de passer la surmultipliée pour, comme il l'écrit, «rendre de nouveau la surveillance coûteuse». Sécurité numérique et vie privée. Ce site est encore incomplet mais mis à jour régulièrement Pour en finir une bonne fois pour toutes avec l'impression de sécurité et l'illettrisme numérique,et parce qu'avoir de bons réflexes digitaux, c'est important !
La première chose à faire est de bien s'informer, ce qui permet de faire des choix en toute connaissance de cause, d'améliorer sa maîtrise de la technologie numérique et de bien comprendre les enjeux concernant internet, ordinateurs, téléphones et tablettes, ce qu'il est possible de faire et surtout ce que d'autres sont capables de faire à votre insu. Cliquez ici pour en savoir plus Une fois qu'on a compris le minimum de tout ce qui peut se passer et de ce qui se passe autour de nous dans nos vies quotidiennes grâce et à cause de la technologie numérique omniprésente, un minimum d'effort pour un minimum de maîtrise et un maximum de sécurité sont nécessaires.
Cliquez ici pour passez à l'action Cliquez ici pour de l'aide et des arguments Cette section n'a pas encore de contenu. La galaxie des opposants au projet de loi sur le renseignement. #PJLoirenseignement : pourquoi les Français s’en foutent (majoritairement) Lecteurs attentifs et assidus de Reflets, vous êtes agacés et inquiets.
C’est normal. Après tout, c’est un Etat policier qui se crée sous vos yeux effarés, dans une indifférence quasi générale, hormis les quelques centaines de milliers d’Internautes ‘concernés’ qui twittent à-tout-va pour dénoncer l’horrible projet du gouvernement Valls. On ne sauve pas (ce qu’il reste d’) une société issue des Lumières avec des tweets, mais c’est un beau geste, qui démontre avec brio l’innocuité savoureuse du slacktivisme.
Le slackticivisme ou activisme des feignants, cette forme d’activisme de plus en plus plébiscitée pour sa formidable capacité à donner un sentiment d’importance et de « concernement » à ceux qui la pratiquent, sans leur coûter le moindre effort, pour des résultats proches du néant. La réalité est que les Français, à 90%, se tamponnent le coquillard du projet de loi sur le renseignement, quand ils sont au courant de son existence, ce qui n’est pas si fréquent qu’on le croit. Ma vie disséquée à travers mes données personnelles. Plusieurs centaines de fois par jour, nous générons des données qui disent où nous allons, ce que nous faisons, avec qui nous mangeons et ce que nous avons pris comme dessert.
La NSA. Google. Les opérateurs téléphoniques. Nos banques. La DGSE.