7005-2 : Yggdrasill, L'Arbre Scandinave. Yggdrasill, L'Arbre Scandinave L’arbre est un symbole universel, tout autant que le soleil et la lune, et dont la bibliographie, à elle seule, formerait un livre.
Pour pouvoir analyser les différents aspects des arbres, Mircea Eliade propose une classification, toute provisoire, de l’immense matériel qui est à notre disposition. Il distingue sept groupes de « cultes de la végétation », dont je citerai seuls les deux qui sont en rapport avec Yggdrasill, l’Arbre des Scandinaves. 1) L’arbre-image du Cosmos. La tradition indienne, dès les textes les plus anciens (Atharva Veda), représente le Cosmos sous la forme d’un arbre géant, (le Skambha) dont le sens est « pilier cosmique ». 2) L’arbre-centre du monde et support de l’univers, l’Axis Mundi.
Par quelle synthèse mentale de l’humanité archaïque, et à partir de quelles particularités de la structure de l’« arbre » comme tel, un symbolisme si vaste et si cohérent s’est il établi ? Odin donne ensuite la vie au premier couple humain. J’ai dit. Le frêne Yggdrasil, mythologie nordique. Mythologie nordique : Yggdrasil. Yggdrasil (ou Yggdrasill) était l'arbre cosmique; un gigantesque frêne toujours vert, qui représentait l'axe du monde autour duquel étaient disposés les neuf mondes.
Yggdrasil Il possédait trois racines qui plongeaient dans trois mondes: La première racine naissait dans la source d'Hvergelmir dans Niflheim. Un serpent, appelé Nidhogg, gardait cette source mais il rongeait en même temps la racine pour la détruire. La deuxième racine prenait naissance dans la fontaine de Mimir (Mímisbrunnr) dans Midgard. La troisième racine atteignait le puits d'Urd, en Asgard, gardé par les Nornes qui étaient trois vieilles femmes très sages et qui décidaient du destin de chaque être. Plusieurs animaux vivaient dans l'arbre. Quatre cerfs (Dain, Duneyr, Durathor et Dvalin) broutaient le feuillage des branches les plus basses. La Prophétie Viking de Ragnarôk - Le Blog de Lazare.
Le "Ragnarök" ou "crépuscule des Dieux" écrit par l’auteur d’école chrétienne Snorri Sturluson longtemps après l’époque Viking est peu connu si ce n'est par le biais de musicien comme Richard Wagner ou par les amateurs de jeux vidéos.
Cet ensemble de légendes et de contes mythologiques faisant partie d’une tradition orale fut transcrit à partir du XIIIe siècle. le Ragnarök (littéralement Consommation du Destin des Puissances) est la bataille de la fin des temps qui amènera le renouveau du monde. Pour le comprendre, il est nécessaire d'avoir quelques bases de mythologie nordique. Voici un texte de la Prophétie, mais un résumé parce que les textes originaux sont trés complexes. C'est la dernière confrontation entre les forces du bien et du mal. Ainsi à l'heure de Ragnarök, Fenrir parvient à se dégager et se rue sur le soleil qu'il dévore. La demeure de ces derniers, Asgard est relié au monde par l'arc en ciel de Baefrost qui s'écroule avec l'approche de la fin du monde. Source : Source : Utopia (livre) La page de titre de la première édition latine de 1516 annonce un Libellus vere aureus, nec minus salutaris quam festivus, de optimo reipublicae statu, deque nova Insula Utopia[n 2].
Entre décembre 1516 et novembre 1518, quatre éditions de l'Utopie furent composées par Érasme et Th. More[2]. Ces quatre éditions sont toutes différentes : le texte de Th. More n'est pas introduit de la même manière, l'île d'Utopie n'est pas abordée ni quittée dans les mêmes conditions. Le titre arrêté pour l'édition définitive de novembre 1518 est De optimo reipublicae statu, deque nova insula Utopia (La meilleure forme de communauté politique et la nouvelle Île d'Utopie)[n 3]. Adressé aux humanistes puis diffusé dans le cercle élargi des lettrés, à sa parution ce libelle est lu comme un appel à réformer la politique contemporaine et une invitation à observer sincèrement les préceptes chrétiens et aussi, pour les plus érudits d'entre eux, comme un serio ludere. Contexte[modifier | modifier le code] Discours de la servitude volontaire.
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La Désobéissance civile. De grand cœur, j’accepte la devise : « Le gouvernement le meilleur est celui qui gouverne le moins » et j’aimerais la voir suivie de manière plus rapide et plus systématique.
Poussée à fond, elle se ramène à ceci auquel je crois également : « que le gouvernement le meilleur est celui qui ne gouverne pas du tout » et lorsque les hommes y seront préparés, ce sera le genre de gouvernement qu’ils auront. Tout gouvernement n’est au mieux qu’une « utilité » mais la plupart des gouvernements, d’habitude, et tous les gouvernements, parfois, ne se montrent guère utiles. Les nombreuses objections - et elles sont de taille - qu’on avance contre une armée permanente méritent de prévaloir ; on peut aussi finalement les alléguer contre un gouvernement permanent.
L’armée permanente n’est que l’arme d’un gouvernement permanent. Je suis de trop haut lieu pour me laisser approprier.