La Chambre des officiers (roman) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La Chambre des officiers est un roman de Marc Dugain publié en 1998 et ayant reçu le prix des libraires, le prix Roger-Nimier, le prix des Deux Magots et Prix René-Fallet 1999[1] l'année suivante. Il sera adapté au cinéma deux ans plus tard sous le titre homonyme par François Dupeyron. Adrien est un jeune ingénieur officier. La guerre éclate en 1914. Aux premiers jours des affrontements, lors d'une reconnaissance sur les bords de la Meuse, un éclat d'obus le défigure. Au fil du récit, Adrien fait la connaissance de plusieurs autres « gueules cassées », dont Weil et Penanster, ainsi que d'une autre femme qui était dans une chambre a part, et « réapprend à vivre » avec eux. Nathalie Baudry. Description Septembre 1917.
Chloé Cruchaudet. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Cet article est une ébauche concernant un auteur français de bande dessinée. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) Selon les recommandations des projets correspondants. Max Gallo. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Max Gallo, né le à Nice, est un romancier, essayiste, biographe et homme politique français d'origine italienne. Il est membre de l'Académie française depuis le , au fauteuil 24. Il a adopté un style littéraire qu'il appelle des « romans-Histoire », en travaillant avec les ressources historiques et en complétant son écriture de façon romanesque en y ajoutant son expérience personnelle et ses sentiments. Depuis 1994, il n'exerce plus de fonction politique. Depuis 2007, il pense que la France traverse une « crise nationale de longue durée », qui court depuis la Première Guerre mondiale et qui est équivalente, par son ampleur et sa profondeur, à ce que les Français ont connu pendant la guerre de Cent Ans[3]. Jean Giono. Jean Giono naît à Manosque, le 30 mars 1895 dans une famille modeste.
Son père, Jean-Antoine Giono, est un cordonnier, libertaire, autodidacte, généreux, que son fils évoquera dans Jean le Bleu. La famille paternelle restera d'ailleurs entourée d'une aura un peu mythologique, en particulier le grand-père Giono, dont l'image qu'il s'en fait à travers les récits de son père inspirera l'épopée d'Angelo, le hussard sur le toit. Sa mère, Pauline Pourcin, dirige fermement son atelier de repassage. Carol Ann Lee. La chronique de Gérard Collard - La rafale des tambours L'année dernière Gérard Collard vous avez parlé de "La rafale des tambours" de Carol Ann Lee aux éditions Quai Voltaire. le libraire de Saint-Maur vous en reparle aujourd'hui car ce livre qui raconte une période de notre histoire vient de paraître en Folio chez Gallimard.
Une manière de découvrir ce livre sans se ruiner... Regardez... La présentation du livre "La rafale des tambours" par l'éditeur : le 11 novembre 1920, le corps du Soldat inconnu est mis en terre à l'abbaye de Westminster à Londres. Parmi ceux qui assistent à la cérémonie, qualifiée par le Times de « plus grande effusion de larmes que l'Angleterre ait jamais connue » figure Alex Dyer. Pierre Lemaitre. Pierre Lemaitre en 2014.
Pierre Lemaitre, né le 19 avril 1951 à Paris, est un écrivain et scénariste français. En 2013, il reçoit le prix Goncourt pour Au revoir là-haut et un César en 2018 pour l'adaptation de cette même œuvre. Biographie[modifier | modifier le code] Pierre Lemaitre passe sa jeunesse entre Aubervilliers et Drancy auprès de parents employés[1], qu'il situe politiquement « à gauche »[2],[3]. Psychologue de formation et autodidacte en littérature[4], il effectue une grande partie de sa carrière dans la formation professionnelle des adultes, leur enseignant la communication, la culture générale ou animant des cycles d'enseignement de la littérature à destination de bibliothécaires.
Il se consacre ensuite à l'écriture en tant que romancier et scénariste, vivant de sa plume à partir de 2006[1]. Œuvre[modifier | modifier le code] Pierre Lemaitre considère lui-même son travail comme un permanent « exercice d'admiration de la littérature »[6]. Œuvres[modifier | modifier le code] William March. William March (1893-1954), de son vrai nom William Edward Campbell, est né en Alabama.
Le 5 juin 1917 s’ouvre la conscription américaine qui marque l’entrée des États-Unis dans la Première Guerre mondiale. William, alors âgé de vingt-trois ans, s’engage comme des millions d’Américains ce jour-là. La Compagnie F de l’US Marine Corps, à laquelle il est affecté, aborde les côtes françaises à la fin du mois de février 1918 et traverse la France pour rejoindre la ligne de front à quelques kilomètres de Verdun, où la guerre s’est enlisée dans les tranchées. Le 6 juin 1918 a lieu la première grande offensive à laquelle participent les troupes américaines : la bataille du bois de Belleau, tristement célèbre pour détenir le record de soldats américains tués en une seule bataille. Blessé, William Campbell est évacué vers l’arrière. La rédaction de Compagnie K fut une œuvre de grande ampleur qui débuta pour l'auteur dès le milieu des années 1920.