L’humanisme : un modèle de société ? Mon livre "La révolution humaniste" (éditions Salvator) traite du modèle de société dans lequel nous vivons, de nos communautés humaines, et aussi de l’homme en tant qu’individu et citoyen, de sa motivation profonde et de ce qui le relie aux autres.
Il propose d’envisager l’humanisme comme fondement d’une approche politique privilégiant les valeurs et d’un modèle de société qu’il nous faut refonder, en opérant une révolution copernicienne, en changeant l’axe central : remettre l’homme au centre, à la place de l’argent (en alternative au capitalisme) et à la place de l’Etat (en alternative au socialisme). J’en résume ci-après quelques points importants de l’analyse, des constats, ainsi que des propositions concrètes visant à remettre l’humain au centre. 1- Le constat 2- L’humanisme : une alternative ? 3- L’humanisme comme modèle de société et comme projet de civilisation 4- Comment mettre l’humanisme en pratique ? Constat de l’évolution de nos modes de vie :
Peut-on se fier à la "société de défiance" Recensé : Yann Algan, Pierre Cahuc, La Société de défiance : comment le modèle social s’autodétruit, Éditions de la Rue d’Ulm, coll.
CEPREMAP, 2007. La crise globale, financière et économique, déclenchée au printemps 2007 a placé au centre du débat public mondial le thème de la confiance : confiance dans les relations interbancaires, confiance des ménages et des entreprises dans l’avenir, confiance des marchés dans la signature de la puissance publique [1]. De cette profusion verbale émergent deux problématiques générales : l’importance, qui paraît considérable, de la confiance dans les « démocraties de marché » [2] se manifeste par la disparition de celle-ci ; il semble en outre assez difficile de savoir ce que recouvre exactement cette notion, dont l’usage plastique paraît masquer une grande confusion.
La confiance se signale par son absence et demeurerait insaisissable quand elle existe. Edgar Morin : "Le temps est venu de changer de civilisation". Actes realites sociales. Wealth and happiness. Does wealth accumulation impact subjective well-being?
Within a country, household wealth has been shown to improve individual well-being by providing a safety net of protection against negative income shocks, by allowing current and expected consumption flows, and by its potential use as a collateral. At the aggregate level, direct evidence about the relationship between national wealth and happiness is almost non-existent, owing to data limitations and statistical identification problems. However, aggregate wealth impacts well-being indirectly, via positive channels, such as institutional quality and improvement in health, life expectancy, and education. Wealth also brings about negative environmental degradations and other damages.
The stock of accumulated wealth is also likely to affect happiness indirectly, via its influence on the rate of GDP growth, because both the level of income flows and the rate of income growth have been shown to be factors of higher well-being. « Pouvoir faire changer les choses autrement que par le vote » « Je revendique le fait de pouvoir faire changer les choses autrement que par le vote », témoignait récemment sur Rue89 un riverain abstentionniste.
Dans les nombreux messages que vous nous avez adressés pendant les régionales, on a lu du ras-le-bol et de la résignation. Certains d’entre vous votent sans y croire et d’autres, nombreux, ne votent pas ou plus. Les Français toujours champions du monde du pessimisme. Ce n’est pas pour rien si la France est l’un des pays qui consomme le plus de psychotropes au monde.
D’après la dernière étude du cabinet Pew Research Center publiée jeudi 23 juillet, les Français apparaissent en 2015 toujours aussi pessimistes quant à leur avenir et celui de leur pays. A la question "Dans les 12 prochains mois, comment pensez-vous que la situation économique de votre pays va évoluer", 20% des Français répondent qu’elle va s’améliorer, contre 38% qu’elle ne changera pas et 42% qu’elle va s'empirer. Questions à Jean-Paul DELEVOYE. Les jeunes français champions du pessimisme pour leur pays et la planète. Les Français de moins de 30 ans sont ultra pessimistes sur l'état de la planète et la situation économique du pays, bien plus que les Allemands, les Américains et les Chinois, mais pensent pouvoir sortir leur épingle du jeu, selon une vaste étude publiée vendredi.
Quelque 80 % des Français âgés de 15 à 30 ans ne sont pas « confiants » vis-à-vis de la « situation économique du pays dans les dix prochaines années », et 83 % ne le sont pas plus sur « l'état de la planète » dans la décennie à venir. EXCLUSIF. Les Français se noient dans le pessimisme. C'est peut-être ça qui plombe François Hollande.
Le président qui rêve de voir ménages et entreprises reprendre confiance pour relancer enfin la croissance va devoir se faire une raison : les Français broient du noir. Pourquoi moi, tout petit chef d’entreprise, je quitte la France ?, Le Cercle.