Assurance vie : faites les bons choix après 70 ans - Droits de transmission. Avec l’allongement de la durée de vie, il n’est pas rare de continuer à investir dans l’assurance vie après 70 ans, pour valoriser son épargne et / ou pour préparer la transmission de son capital.
Or, depuis 1991, pour éviter que des personnes âgées n’utilisent ce placement comme moyen d’éluder les droits de succession, les primes versées sur un contrat après 70 ans, au-delà de 30 500 €, sont soumises aux mêmes droits de succession que le reste du patrimoine. Ainsi, au décès d’un assuré, les bénéficiaires de ses contrats sont taxés sur leur part dans la succession, augmentée de la fraction des primes versées après 70 ans leur revenant.
Les droits de succession sont calculés sur ce total, en utilisant un barème qui dépend du lien de parenté entre l’assuré et le bénéficiaire du contrat, après application des abattements propres aux successions (voir barème p. 95 et exemple de calcul p. 69). La fiscalité de l’assurance vie reste avantageuse. Effectuer des versements sur une assurance-vie après 70 ans peut se révéler être une bonne idée. Lors du décès de l'assuré, les sommes investies sur un contrat d'assurance-vie avant l'âge de 70 ans et versées aux bénéficiaires d'un contrat d'assurance-vie bénéficient d'un régime fiscal de faveur.
Si le conjoint ou le partenaire pacsé désigné comme bénéficiaire est exonéré de toute taxation, les autres bénéficiaires bénéficient chacun d'un abattement de 152 500 €. Mais continuer à effectuer des versements sur une assurance-vie après 70 ans peut se révéler être une bonne idée. Pourquoi ? Les avantages fiscaux qui s'appliquent à ces versements se cumulent avec ceux dont bénéficient les versements effectués avant 70 ans. Précisions. Des gains exonérés de droits de mutation Si le régime fiscal en cas de décès des versements effectués après 70 ans sur un contrat d'assurance-vie est moins avantageux pour les bénéficiaires que celui des versements effectués avant 70 ans, ce régime ne reste néanmoins pas dénué d'intérêt. Les avantages de l'assurance vie après 70 ans. Assurance vie Par Henri Réau Publié le 03/01/2017 à 17:00 - Mis à jour le 03/01/2017 à 17:25 Contrairement aux idées reçues, l’assurance vie après 70 ans offre de nombreux atouts pour transmettre efficacement votre patrimoine.
Profitez-en en souscrivant un nouveau contrat. Très souvent on pense que l’assurance vie perd tout intérêt le jour de son 70e anniversaire car la règle fiscale change. La notion d’âge entre en ligne de compte uniquement au dénouement du contrat. Ainsi, chaque bénéficiaire profite d’un abattement de 152.500 euros sur la valeur de rachat du contrat. Des versements qui peuvent s’avérer très avantageux Après 70 ans, hormis les contrats ouverts avant le 20 novembre 1991, les sommes versées intègrent fiscalement la succession (art. 757 B du CGI). Pourtant les versements effectués après cet âge peuvent s’avérer particulièrement avantageux. . * d’une part un nouvel abattement de 30.500 euros, commun à l’ensemble des bénéficiaires non exonérés, s’applique. 4 produits d'épargne sur lesquels on peut compter.
Protéger son capital sans perdre d'argent, voire en le faisant fructifier... un véritable défi en 2014.
Car le contexte n'est guère porteur pour les épargnants allergiques au risque. Notamment depuis la double baisse - en février puis en août 2013 - du taux de l'épargne réglementée, qui est passé de 2,25 à 1,25 %. Sur le marché des taux, la situation n'est pas plus prometteuse. Et n'oublions pas l'évolution de la fiscalité, défavorable aux placements sans risque. Notamment sur les produits délivrant des intérêts comme les comptes sur livrets. Même pour vos placements garantis, vous risquez de faire le mauvais choix en optant pour un produit ne préservant pas votre capital de l'érosion monétaire. 1. L'année n'a guère été bienveillante pour l'épargne réglementée avec, en février puis en août, deux coups de semonce sur ses taux. 2.
Avec des taux moyens sous la barre des 3 % par an, les fonds en euros ont perdu leur éclat passé. Unilend : les particuliers prêtent aux entreprises françaises.