La Grande Tablée - Les Rabelaisiennes. Grabels, le marché où l'étiquette est reine. ALIMENTATION / CIRCUIT-COURT - Depuis 2008, la ville de Grabels expérimente un nouveau type de marché, basé sur un système d’étiquetage bien précis.
Il a pour but de rapprocher producteurs et consommateurs. Tous les samedis, de 9 heures à 13 heures, l’esplanade de l’ancienne coopérative de Grabels, dans le Languedoc-Roussillon, s’anime. C’est l’heure du marché, le lieu de rencontre entre producteurs et consommateurs. Atypique, unique, c’est ça le marché de Grabels, où les valeurs humaines se mettent au service de la bonne chair. Afin de relancer son agriculture et de donner l’envie aux habitants de goûter aux produits du terroir, la ville s’est lancée dans le projet Coxinel, un projet PSDR, c’est à dire « Pour et sur le développement régional ».
Pourquoi le plus possible ? Favoriser la vente de produits locaux Filière courte, filière longue, comment s’y reconnaître ? Une démarche qui redonne vie au lieu Le projet Coxinel favorise la solidarité entre les producteurs. Info + Concilier cantine bio et agriculture locale, les voies possibles. L’approvisionnement local : une solution problématique Dans un article récent, Leïla Kebir (2012) souligne fort justement le « glissement du bio vers le local », signifiant qu’il est plus aisé pour les cantines de limiter les distances parcourues par les aliments que de satisfaire au cahier des charges bio.
Cependant, cette « dilution de l’esprit pionnier » vers le « local » pose aussi problème pour les cantines. Une première difficulté est que, à l’inverse du « bio », le « local » n’est pas réglementairement défini. En conséquence, les acceptions du terme « local » (une distance géographique au lieu de production, une entité administrative – canton, région, nation –, un terroir connu, etc.) varient dans les cantines selon les produits, comme le montre la récente étude menée en Île-de-France (DRIAAF 2012) [1].
Une seconde difficulté est liée aux producteurs. Du côté des cantines : du produit local brut au produit local transformé, une demande évolutive Bibliographie Agreste. 2012. 340. Mangeons local à la cantine ! Rétablir le lien agriculteur – consommateur, valoriser les savoir-faire d’un territoire et mettre fin à une absurdité qui voyait des salades faire des kilomètres pour revenir à leur point de départ : tels sont les objectifs de l’opération « 100 % local » de trois collèges de Seine-et-Marne.
Tout commence en 2010 lorsque Jean-Luc Landais, chef de cuisine du collège Christine de Pisan, à Perthes en Gâtinais, s’aperçoit que les salades qu’il prépare ont parcouru des centaines de kilomètres avant d’arriver dans les assiettes des élèves. Et pourtant, elles sont cultivées juste à côté du collège ! Il décide alors de monter un projet, avec le Parc naturel régional du Gâtinais, pour les acheter en direct au maraîcher voisin. Quelques années plus tard, il est rejoint par Alexandre Arnault et Thierry Briand, chefs de cuisine des collèges voisins. Du bio et des produits locaux Chaque trimestre, les trois établissements participent à l’opération « 100 % local ». Découvrez son témoignage : Agriculture paysanne - Le site de l'agriculture paysanne. Cantines - Les meilleures et les moins bonnes cantines scolaires.
Protocole Restaurants scolaires étudiés L’enquête a été réalisée sur les restaurants scolaires établis dans 606 communes ou établissements scolaires situés dans des villes de France de plus de 10 000 habitants.
La sélection comprend des écoles élémentaires (établies dans 439 communes ou écoles privées), 82 collèges, 85 lycées, du public et du privé. Dans certains établissements, les restaurants scolaires reçoivent des élèves de l’élémentaire, du collège et/ou du lycée. Dans ce cas de figure, pour les besoins de l’analyse, nous les avons classés dans la catégorie correspondant aux élèves les plus jeunes. Dates d’analyse L’analyse des menus a été réalisée sur la base des menus publiés sur les sites Internet des communes (écoles élémentaires publiques) ou des établissements (secondaires et établissements privés) pour la période allant de septembre 2012 à avril 2013. Notation *Notation pour les menus à choix multiples. Convertir une cantine à l’alimentation biologique. Selon un rapport de l’Union européenne, la présence de pesticides a été décelée dans 49,5 % des fruits, légumes et céréales produits dans l’UE en 2006, le plus haut niveau de contamination jamais enregistré !
Face à cela, de nombreux pays ont développé le repas bio en collectivité. Qu'est-ce qu'une cantine biologique ? Une cantine biologique est une cantine qui propose une alimentation certifiée comme étant issue d'une agriculture biologique. En Europe, pour obtenir la certification en bio, le produit doit comporter au minimum 95% d'ingrédients issus de l'agriculture biologique.
Lors du Grenelle de l’environnement, la France s’était engagée à introduire 20 % de produits biologiques dans les cantines scolaires d’ici à 2012. Il n'existe pas de définition légale de la cantine biologique. Quel impact sur le territoire ? Mettre en place une cantine biologique vous permet de : Comment créer une cantine scolaire biologique ? 1. 2. 3. 4. 5. Producteurs proposant une vente directe dans toute la France.