Archives. Qu'est-ce que l'économie collaborative? L'économie du partage, un eldorado. [Photo : 123RF/rawpixel] Comme vous, je me passionne pour l'actualité économique et surveille avec grand intérêt les courants et tendances qui définiront le monde entrepreneurial de demain.
La consommation collaborative et la saga qui entoure les plateformes Uber et Airbnb figurent certainement parmi les sujets qui méritent notre attention. Depuis quelques années, l'économie du partage est une déferlante qui emporte tout sur son passage. On se loue une maison de vacances sur Airbnb. On vend ou achète des articles de seconde main sur des plateformes comme Kijiji ou LesPAC. Tous les secteurs sont touchés. Le partage et le troc ne sont pas nouveaux. L'économie du partage peut-elle vous faire économiser? Les Québécois sont de plus en plus adeptes de l’économie collaborative.
Quand ils utilisent ces services, leur première motivation est l’aspect financier : ils ont l’impression d’économiser de l’argent ou d’en gagner. C’est ce qu’indique le Baromètre de l’Observatoire de la consommation responsable (OCR) qui a mesuré pour la première fois le comportement de consommation collaborative au Québec. Mon voisin, mon tremplin. L’économie collaborative est en plein essor.
Plus de 170 organismes au Québec forgent cette nouvelle donne économique, propulsée par Internet et une soif de renouer avec la communauté. Dernier volet d’une série de trois : quand les voisins pigent dans leurs poches pour améliorer leurs quartiers. Les éclaireurs. Eco2Fest. OuiShare Québec. L’économie de partage. Vague de solidarité pour le peuple Français sur le web En lecture Caricatures, mots-clics et autres en appui à Nice.
Facebook s'attire les foudres du web Plusieurs ont jugé le déclenchement du «Safety check» trop long. Leur bébé retracé grâce à Facebook. OuiShare sur Radio-Canada - discussion économie collaborative. Mode d'emploi pour un monde sans emploi. [Photo : Shutterstock] Le salariat recule.
Le Québec doit s'approprier les bénéfices de l'économie collaborative. [Photo : Shutterstock] Au moment où l'Assemblée nationale légifère sur l'encadrement du covoiturage urbain, semblant freiner le développement de ce nouveau modèle d'entreprise, le Québec gagnerait à prendre un pas de recul et à considérer ce que l'économie collaborative offre.
Porteuse de la promesse d'un meilleur partage de la valeur et de la gouvernance, l'économie collaborative peine à se défaire de l'image controversée des géants d'un capitalisme de plateformes, comme Uber et Airbnb, qui ne représentent qu'une partie de la réalité. L'économie collaborative englobe en fait l'ensemble des pratiques et des modèles économiques qui se fondent sur des réseaux horizontaux et sur les principes de mutualisation des ressources disponibles, et qui s'appuient sur des communautés d'utilisateurs. Rosemont et la révolution de l'économie collaborative. La nouvelle, sortie fin avril, est passée sous le radar.
Dès juin, les résidants de Rosemont-La Petite-Patrie pourront louer leur stationnement, un bout de terrain, un coin de garage ou de sous-sol. Pour quoi faire ? Des potagers, des espaces de travail, de stationnement ou de remise. Ça peut paraître banal, mais c'est une petite révolution. Guillaume Lavoie a fait dans son arrondissement ce que le gouvernement ne parvient pas à faire à l'échelle du Québec : encadrer une pratique d'économie de partage pour mieux la permettre. Vous me direz que c'est plus facile à réaliser dans un arrondissement de 135 000 habitants que dans le Québec tout entier. Première cartographie de l’économie collaborative au Québec par l’Observatoire de la consommation responsable de l'ESG. L’Observatoire de la consommation responsable (OCR) de l’École des sciences de la gestion (ESG UQAM) en collaboration avec OuiShare Québec, dévoile dans Protégez-Vous, la première cartographie de l’économie collaborative au Québec.
Cette carte de l’écosystème collaboratif recense plus de 170 acteurs (entreprises, OBNL, mouvements citoyens) au Québec répartis dans les 16 secteurs d’activités suivants : alimentation, analytique et réputation, apprentissage, biens, bien-être et beauté, entreprises et corporations, espaces, finance, logistique, municipalité, partage du véhicule, santé, services, services publics, services de mobilité et soutien des travailleurs. Cet outil permettra aux consommateurs québécois d’accéder aux différentes initiatives collaboratives possibles. Constats L’économie collaborative connaît à l’heure actuelle une popularité croissante et représente mondialement plus de 15 milliards $. Première cartographie de l'économie collaborative au Québec. L'Observatoire de la consommation responsable collabore à la première cartographie de l'économie collaborative au Québec.
Les 16 secteurs d'activités de l'économie collaborative sont accessibles en un clic sur le site de Protégez-Vous.Illustration: Bruno Paradis, d'après Honeycomb 3.0 de Crowd Companies. Les visages de l'économie collaborative au Québec. Cette cartographie, dévoilée mercredi soir par OuiShare, une communauté internationale dédiée à l’économie collaborative, rend compte des secteurs les plus dynamiques au Québec.
Parmi les 16 étudiés, trois s’imposent : le partage d’espaces de travail (coworking) comme le proposent des lieux tels que la Maison Notman, l’Esplanade ou Bkr (photo), les initiatives de troc et de partage de biens, à l’image de Kijiji ou Troc tes Trucs, ainsi que les initiatives liées à l’alimentation comme La Centrale culinaire ou Cooked4U. En revanche certains domaines, comme celui de la logistique dite du dernier kilomètre, ou du partage de connaissances, sont très peu touchés par le collaboratif au Québec alors qu’ils sont en pleine effervescence en Europe. « Les initiatives lancées au Québec sont essentiellement des initiatives citoyennes et des startup très récentes liées à l’économie sociale. Les petits de l’économie collaborative s’organisent. Partager sa voiture, échanger sa maison, lancer un atelier d’outils communautaires : l’économie collaborative a le vent en poupe au Québec, mais le nouveau think tank OuiShare Montréal entend pousser beaucoup plus loin ce pied de nez au capitalisme ambiant, en multipliant son influence dans toutes les sphères de la collectivité.
Ils n’étaient au début qu’une poignée de collaborateurs à un blogue. Plus de 180 façons d’échanger des biens ou des services. Par Agnès Delavault Mise à jour : 12 juillet 2016 Qu’ont en commun La Remise, Kijiji, E180, Airbnb, L’accorderie, Uber et Troc ton jardin? Ces acteurs de l’économie collaborative, parfois aussi appelée économie du partage, permettent tous l’échange de biens ou de services entre particuliers. Le Québec compte désormais plus de 180 «initiatives» d’économie collaborative, selon le recensement effectué par OuiShare Québec en collaboration avec l’Observatoire de la consommation responsable (OCR) de l’École des sciences de la gestion de l’Université du Québec à Montréal (ESG-UQAM). Cliquez sur les icônes pour accéder aux répertoires par catégories (ou utilisez le sommaire situé à droite). Illustration: Bruno Paradis, d'après Honeycomb 3.0 de Crowd Companies Pour être retenues dans la liste, leurs activités doivent répondre à une définition précise. «Et encore, la liste ne contient que les initiatives les plus visibles, souligne-t-il.
Initiatives locales. Momentum. La 5e édition de Momentum se tiendra le 6 octobre 2016. Comment stimuler l’innovation dans votre organisation ? Comment bouleverser votre industrie pour en devenir un véritable influenceur ? Venez écouter et rencontrer les entrepreneurs et dirigeants qui osent inventer des stratégies d’affaires à la fois performantes et engagées. Au programme : des start-up qui veulent révolutionner leurs industries, des grandes marques internationales qui réinventent leur métier, des modèles économiques qui pensent collaboratif et impact ! L’événement se tiendra dans le lieu créatif 8 Queen, en plein coeur de la Cité du multimédia, à Montréal. D’autres conférenciers s’ajouteront au programme au cours des prochaines semaines ! Salima Visram : croire en ses idées, et changer le monde! Alors qu’elle était encore étudiante à l’Université McGill, Salima Visram s’est lancé l’incroyable défi d’améliorer les conditions de vie de milliers de Kenyans.
Ces start-ups qui révolutionnent leurs marchés.