La cuisine des voisines. M’est avis que la qualité du voisinage se mesure souvent à l’aune du nombre de tasses de farine échangées contre une pointe de tarte, à l’intensité du trafic de brownies ou à la quantité de grillades partagées à l’impromptu un soir d’été.
Dans mon ancien quartier, l’arrivée d’un nouveau bébé ou un petit détour à l’hôpital était parfois suivi par le dépôt, ni vu ni connu, d’un sac de cupcakes ou de soupes chaudes sur le pas de la porte. Comme si une fée nourricière veillait incognito sur la rue, agitant sa baguette au fil des naissances, des maladies et des anniversaires. À l’Halloween, des chocolats atterrissaient par magie dans la boîte aux lettres, glissés là par une voisine aussi discrète qu’attentionnée.
Sans oublier les onctueux potages de Françoise et Claude, les compotes de Michel ou les douceurs d’Elke, une voisine allemande qui nous gratifiait d’oeufs de Pâques et de tiramisu aussi délicieux que gargantuesques. Une offre alimentaire « On devrait tous avoir une Mado dans nos vies. Mon voisin, mon tremplin. L’économie collaborative est en plein essor.
Plus de 170 organismes au Québec forgent cette nouvelle donne économique, propulsée par Internet et une soif de renouer avec la communauté. Dernier volet d’une série de trois : quand les voisins pigent dans leurs poches pour améliorer leurs quartiers. L’explosion des Uber, Airbnb et Kickstarter, plateformes mondiales génératrices de lucratives commissions pour leurs inventeurs, est venue ternir ces dernières années le concept de l’« économie du partage ». Mais le vent tourne. De nouvelles plateformes émergent tant pour lancer que financer des projets, plus que jamais branchés sur des communautés, des quartiers, des voisins. Si des petits moutons qui broutent remplacent les bruyantes tondeuses dans le parc du Pélican depuis le début de l’été à Rosemont, c’est notamment grâce aux 5000 $ versés par 98 citoyens ravis par ce projet d’écopâturage urbain.
Recherche humains pour échanges de neurones. L’économie collaborative est en plein essor.
Plus que les Uber et Airbnb de ce monde, 170 organismes au Québec forgent cette nouvelle donne, propulsée par Internet et une soif de renouer avec la communauté. Gros plan sur un mouvement qui fait boule de neige. Aujourd’hui : partager son savoir. Démarrer une entreprise, maîtriser la science du kombucha sans empoisonner ses proches, faire du réseautage d’affaires, créer un site Internet : l’économie du partage s’intéresse de plus en plus à l’échange de savoirs et de connaissances. Grâce à des entremetteurs nouveau genre, la rencontre des cerveaux fait son petit bonhomme de chemin dans la nouvelle économie du partage. C’est lors de ses études menées pour devenir enseignante que Christine Renaud, fondatrice de l’organisme E-180, a été frappée par la désuétude des méthodes d’enseignement actuelles. « Je ne pouvais pas croire qu’on enseignait encore en plantant un adulte debout devant une classe d’enfants.
En chair et en os Apprendre autrement. Des labos fabuleux au coeur de l’innovation citoyenne. L’économie collaborative est en plein essor.
Plus que les Uber et Airbnb de ce monde, 170 organismes au Québec forgent cette nouvelle donne économique et sociale, propulsée par Internet et une soif de renouer avec la communauté. Premier volet d’une série de trois textes sur un mouvement qui fait boule de neige. Dans un coin de l’atelier, un jeune crack de technologie tient sur sa tête un étrange casque doté de capteurs neuronaux.
À ses côtés, une artiste dessine sur un écran des animaux, transformés en origami de papier grâce à une découpeuse laser, pendant qu’une imprimante 3D recrache du plastique quelques mètres plus loin pour fabriquer la pièce manquante d’un appareil. Bienvenue à l’échoFab, le pionnier des « Fab Lab » au Canada qui crèche rue Peel, dans Griffintown. (Presque) tout fabriquer « Le Fab Lab, c’est une prise de pouvoir sur le monde de l’objet. . « Le Fab Lab, ça ne se résume pas à un partage d’équipements. Inventeurs en herbe Méditer au labo. Startupfest 2016: qu'est-ce qui cloche avec les accélérateurs? Molly Cain, de l'accélérateur texan Sumo Ventures, estime que le Demo Day n'est pas un dû pour tous les participants des cohortes.
La 6e édition du Startupfest a lieu jusqu’à samedi dans le Vieux-Port de Montréal. Cet événement annuel attire des start-ups et tout l’écosystème qui gravite autour d’elles : investisseurs, accélérateurs, incubateurs, gouvernements, consultants. On y croise des Québécois, mais aussi des Canadiens et des Américains. L’atmosphère est plutôt détendue. Et le code vestimentaire arrimé à cette période de canicule : flip flops, shorts, bretelles spaghetti … J’y suis allée mercredi et jeudi. 1- La mission des accélérateurs: bâtir des produits ou bâtir des leaders?
«On trouve trois types de facilitateurs de start-ups, estime la consultante Ondine Hogeboom, de Lean4Flourishing, une firme qui accompagne les organisations afin qu’elles génèrent à la fois un impact financier, social et environnemental. 2- La commandite des accélérateurs est-elle une fausse bonne idée?
Futur du Travail. Assurances.