98-2f.htm. 1.
A sa onzième session, après avoir examiné les perspectives de la demande d’agrumes frais, le Groupe intergouvernemental sur les agrumes est convenu qu’"il existe un potentiel d’expansion de la demande sur les marchés de l’Europe de l’Est et dans les pays de l’ex-URSS". Il a par ailleurs constaté que la poursuite de la croissance économique est une condition indispensable à la future expansion des marchés des agrumes dans ces pays.
Il a conclu que le Secrétariat devrait donner la priorité au suivi de la situation et des perspectives des marchés des agrumes et des produits dérivés dans ces pays. 2. Pour cette raison, une première tentative d’analyse de l’évolution et des perspectives du marché des agrumes dans ces pays a été faite. 3. 4. 5. Tableau 1 - Pologne: importations d’agrumes et consommation par habitant, 1992-96 6. 7. Tableau 2 - Pologne: Volume et valeur des importations d’agrumes par pays de provenance, 1992-96 Tableau 3 - Pologne: prix à l’importation et au détail, 1993-96. Fichepays2013 ESPAGNE cle49fbb2. L’agriculture espagnole au sein de l’Union européenne. L’Espagne, producteur de soleil Même si l’Espagne tire aujourd’hui le plus de revenu du tourisme, elle est une puissance agricole incontestée.
Avec 25 600 000 hectares consacrés à l'agriculture, soit 50 % de la surface totale du pays, l’Espagne possède la deuxième plus grande surface agricole utile de l’UE, juste après la France. La taille moyenne des exploitations espagnoles est de 21 hectares. On pourrait s’attendre à un chiffre similaire à celui de la France (50 hectares), pourtant, elle se situe juste au-dessus de la moyenne européenne (18.5 hectares). En comparaison avec la plupart des autres pays européens, l'Espagne est davantage soumise aux variations météorologiques interannuelles.
Avec ses nombreuses côtes, l’Espagne est un des pays les plus aquacoles de l’UE. Mais aussi au marché intérieur et à l'industrie des jus et des conserves. Comment l’agriculture espagnole a trouvé sa place dans l’UE ? Globalement positive, l’intégration l’a été en premier lieu sur le plan politique. La bonne santé internationale des agrumes espagnols. Les agrumes espagnols restent compétitifs à l'exportation (photo : F.
Matéo) ESPAGNE. Valencia, Murcia et l'Andalousie sont les trois principales régions productrices d'agrumes en Espagne. L'un des rares secteurs qui profite du dynamisme des exportations, dans des territoires particulièrement touchés par la crise économique. Le marché des agrumes s'appuie sur la dynamique globale des fruits espagnols, dont les volumes à l'exportation ont augmenté de 11% en 2012 (6,8 millions de tonnes), et même de 14% en termes de chiffre d'affaires (5,7 mrds €). Les prix se maintiennent Pour autant, les producteurs espagnols d'agrumes restent vigilants, face notamment à la concurrence des pays méditerranéens, et tout particulièrement la montée en puissance de l'Égypte, qui se positionne très favorablement sur le segment des oranges. Ne manquez pas ! Lire l'ensemble de notre dossier Article réalisé en partenariat avec le Medfel.
L'agrumiculture espagnole. I/agrumiculture espagnole 373 7 % de la surface espagnole) .
Certaines productions y sont traditionnelles, telle l'orange amère (1 300 ha dans la Province de Seville, 2 200 ha pour l'ensemble de l'Espagne) ou les mandarines communes (1 000 ha dans la Province de Seville) . Mais en dehors de ces plantations vieillissantes (les orangers amers de Seville seraient tous en pleine production), les vergers, souvent récents, commencent à peine à fructifier.
Dans la plaine du Guadalquivir par exemple, si l'on excepte l'orange amère, 35 % seulement des citrus sont en pleine production. Les citronniers n'occupent guère que 200 à 300 ha. Ces orangeraies récentes, souvent vastes, font appel aux techniques modernes de culture (arboriculture très mécanisée, traitements par hélicoptères, etc.) Existent également quelques agrumeraies dans la Province de Badajoz — plantations toutes récentes sur environ 200 ha ; aux Baléares l'agrumiculture, ancienne, intéresse un millier d'ha.