Christian Felber - CV. Christian Felber : "l'économie du bien commun pousse : la stratégie est de croître d’en bas jusqu’en haut" - Rototom Sunsplash. Détails Créé le jeudi 22 août 2013 11:35 Le Forum Social a accueilli ce mercredi le débat une « Autre Économie est Possible » : l'économie du bien commun, modéré par la journaliste Maria Jesús Cañellas (RTVE), qui a compté sur la présence de l' intellectuel autrichien Christian Felber, le maire de Mur d'Alcoi, Rafael Climent, et le coordinateur de Coop57, Ramón Pascual.
La Théorie de l'Économie du Bien Commun est un modèle alternatif au capitalisme de marché et à l'économie planifiée qui, entre autres, essaie d'intervertir l'ordre actuel entre les objectifs et les moyens. Christian Felber a exposé les bases de sa théorie imparable, et cependant affirme, "ce n'est pas une nouvelle idéologie, son unique revendication est d'organiser des procédés démocratiques d'en bas jusqu'en haut pour rencontrer un modèle qui satisfait tout le monde. "Il existe une inconscience sur la vraie fin de l'économie. Trad : G. Michel Serres. Michel Serres. Michel Bauwens : “Le P2P préfigure la société de demain”
Le monde de demain fonctionnera-t-il en peer-to-peer ?
Dénoncé par l’Hadopi et trop souvent réduit aux questions de téléchargement, le peer-to-peer (P2P) fait référence à une forme d’architecture d’un réseau informatique. Un modèle qui imprègne peu à peu nos mode de pensée et d’engagement, au point de dessiner les contours d’une alternative au modèle capitaliste. C’est en tout cas la thèse défendue par Michel Bauwens, théoricien reconnu des réseaux pair-à-pair et fondateur de le P2P Foundation. Nous l’avons rencontré en décembre dernier à La Cantine, à l’occasion d’un séminaire organisé par le W2S et intitulé « From Collaborative Prosumer Capitalism to a Commons-based P2P Economy ».
Entretien. On parle généralement de peer-to-peer lorsqu’on évoque le téléchargement illégal. Lorsqu’on parle de peer-to-peer, on parle effectivement d’abord de la structure d’un réseau. Parmi les grands projets collaboratifs, on peut citer Libre office ou Wikipedia etc. Voilà.
Marcin Jakubowski. See also Marcin Log and Marcin Jakubowski Headshots Marcin Jakubowski last updated January, 2011 WHO are you?
Name/Nationality/Ethnicity - Marcin Jakubowski, Polish American Location – what is your city and country? - Aptos, California, USA; Kansas City area, Missouri, USA Contact Information – opensourceecology at gmail dot com, Skype - marcin_ose Introductory Video- see this from August, 2010Resume/CV – Marcin Jakubowski Resume - old resume until end of grad school. WHY are you motivated to support/develop this work? Do you endorse open source culture? I think that the only way that humanity can transcend its continuing decay of equitable wealth distribution is by endorsing open source economic development. Why are you interested in this work?
I founded Open Source Ecology. Are you interested in teaching about the GVCS? Jorion. Stiegler. Michel Briand. Directeur adjoint de la Formation à Telecom Bretagne et co animateur du magazine Innovation-pédagogique Membre du Conseil National du Numérique Elu (1995-2014) à Brest, en charge d’internet et du multimédia et à Brest Métropole Océane en charge de l’Economie sociale et solidaire et de l’aménagement numérique du territoire .
Au fil de l’actualité animation des espaces de veille co-animation des magazines Acteur de réseaux coopératifs Bretagne Creative, réseau de l’innovation sociale ouverte en Bretagne. Au croisement d’une action locale à Brest sur l’économie sociale et solidaire, l’appropriation sociale d’internet et du multimédia et d’une implication dans de nombreux réseaux, je retrouve un dénominateur commun : la mise en œuvre de pratiques collaboratives ouvertes facteur d’innovation, d’implication des personnes, de lien social, d’efficience et de biens communs élargis. Quelques politiques publiques initiées à Brest ou accompagnées. Comment exploiter le crowdsourcing.
Par Rémi Sussan le 20/07/11 | 1 commentaire | 2,385 lectures | Impression Edial Dekker est le cofondateur du groupe “hacker le gouvernement“, le plus important mouvement hollandais sur l’open data.
Aujourd’hui, il dirige également Gidsy, une startup qui promet un “marché de l’expérience authentique”. Derrière cette appellation curieuse se cache, en fait, un service collaboratif où chacun peut proposer à ses pairs de partager une expérience touristique, par exemple organiser une activité typique, ou essayer de nouvelles recettes de cuisine locale, etc. “Nous avons des problèmes” a expliqué Dekker sur la scène de Lift : on se remet difficilement d’une crise économique, nos ressources naturelles s’épuisent et la mondialisation elle-même a probablement ses limites. La question est donc de recréer de nouvelles manières d’apprendre et de consommer, comme celles que prône Tom Hodgkinson dans son livre Brave Old World.
Rémi Sussan.