Séries TV : 51 % des 15-19 ans prêts à payer pour une offre illimitée. Game of Thrones, le transmédia couronné de succès. La diffusion des débuts de la 4e saison de Game of Thrones a suscité un engouement renouvelé auprès du public.
Le premier épisode est, dit-on, devenu l’épisode le plus piraté de l’histoire avec plus d’un million de téléchargements illégaux en une demi-journée. La série avait déjà été, selon TorrentFreak, la série la plus téléchargée en 2013 et en 2012. Colloque_D_un_RESUME_COMMUNICATIONS_1_Revu. Depuis quand les Français sont-ils accros aux séries TV. Les séries regardent de près votre smartphone. Vidéo à la demande ou programmes originaux à durée très variable, les offres pour regarder des séries sur votre téléphone se multiplient.
Au point de créer certaines fictions plus « smartphonables » ? Une série télé visible uniquement sur Snapchat – une plateforme où l’on s’échange des messages qui s’effacent rapidement –, avec des épisodes qui ont une durée de vie de 24 heures et ne sont accessibles que sur smartphone. L’histoire de deux filles qui veulent devenir actrices à Los Angeles. "Twitter, un miroir culturel" par Virginie Spies. Avec plus de 200 millions d’utilisateurs dans le monde[1], Twitter connaît un succès croissant.
Parmi les discussions qui émergent sur ce réseau, le live-tweet des fictions télé se développe de plus en plus. L’analyse de ces discours montre que parler d’une série sur Twitter consiste, au-delà des commentaires, à dévoiler ses goûts et ses pratiques. Désormais, les réseaux sociaux nous tendent un miroir culturel. Nous l’avons vu ici le mois dernier, la télévision se porte bien et les réseaux sociaux renforcent la primauté du petit écran. Lorsque le public témoigne de ses pratiques médiatiques sur les réseaux, il le fait notamment sur Twitter, et cette démarche n’est pas anodine. L’arbre Netflix qui cache la forêt.
Dans toutes les conférences sur la télévision du présent et du futur, Netflix est sur toutes les lèvres des intervenants.
J’ai pu le constater à deux reprises récemment, d’une part lors de la table ronde sur le “Futur de la Télévision” que j’animais au CNAM dans le cadre de Futur en Seine le 12 juin 2014 et ensuite, pendant les Universités d’été du SNPTV du 16 juin 2014 à Paris.
Série tv et culture - Hervé Glévarec. Peut-on parler de « dépendance » aux séries télévisées ? Un ancien prof de chimie atteint d’un cancer se reconvertit en fabriquant de drogues pour payer ses soins médicaux (Breaking Bad).
À Chicago, une famille de 6 enfants est gérée par l’aînée de la fratrie. La mère, bipolaire, s’est évaporée. Le père est toujours là, mais il est alcoolique et gros magouilleur (Shameless). A l'heure de Netflix, les séries TV se consomment sans modération- 10 décembre 2013. Paris (AFP) - Proposées par saisons entières sur des plateformes de vidéo à la demande, diffusées 24 heures après les Etats-Unis ou regardées en streaming illégal, les séries, addictives, ont vu leur mode de consommation largement évoluer depuis l'époque de la seule diffusion hebdomadaire sur petit écran.
Sociologie des publics - JP Esquenazi. Halshs.archives-ouvertes. Communication et Politique - La série revisitée par le web. Présentation. Une sériphilie à la française. Delwiche-2013.pdf. Télévision. Réseau S.E.R.I.E.S. Partenaires Menu Membres.
Soixante ans d'histoire des séries télévisées américaines. Qu’est-ce qu’une série télévisée américaine ?
1En anglais, le mot series désigne une suite d’émissions, sans distinction de genre : ce peut être une série documentaire, une série de téléréalité, ou une série d’émissions d’information. Pour les émissions de téléréalité, le terme générique de unscripted series (séries sans scénario) définit d’ailleurs bien mieux ce genre très divers que la mention trompeuse de la notion de « reality shows. » Quand il s’agit de fictions, on désigne par dramales séries dramatiques, par comedyles séries humoristiques, par soap opera les feuilletons quotidiens, par miniséries les séries à nombre d’épisode fixé d’emblée, et par TV movie le téléfilm. "De quoi les séries américaines sont-elles le symptôme ?", de François Jost. J’ai testé Netflix : la révolution a un goût d’inachevé. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Michaël Szadkowski Récemment débarqué à San Francisco pour des raisons professionnelles, l’un de mes premiers réflexes sur place, à peine la valise et l’ordinateur déballés, fut de m’abonner à Netflix.
Un nom, une adresse mail (non, je ne veux pas utiliser mon compte Facebook pour savoir ce que mes amis regardent), un numéro de carte bleue (sur lequel seront débités huit dollars chaque mois, soit le prix de la pizza d’en face), et ça y est, j’étais plongé dans la masse des 48 millions d’utilisateurs du service de vidéo en ligne. « C’est le nouveau Burger King quand on part aux Etats-Unis », s’est amusé en retour un fin gastronome. La comparaison va encore tenir pour quelques mois, même si les burgers trop gras ont précédé Netflix dans leur (re)conquête de l’Hexagone. #Calzonaisendgame. Reblogged from everyday is a crisis Jessica: Obviously Sara is immeasurably talented” Sara: It’s great having Jessica as a partner because she is so giving and presented and talented” reblogged from Did you say it ?
I love you. reblogged from Just one moment can change everything. for maylene - you don’t need medicine; just jcap. "Breaking Bad", série télévisée par excellence. Benjamin Simmenauer livre son analyse d'une série télévisée emblématique, "Breaking Bad", aux étudiants IFM. Cette série écrite par Vince Gilligan, qui comporte 62 épisodes de 47 minutes, raconte l'histoire d'un professeur de chimie en collège qui se transforme en cuisinier de méthamphétamines après avoir appris qu'il était atteint d'un cancer. Exemple parfaitement addictif de la "série feuilletonnante", Breaking Bad permet d'expliquer pourquoi les séries télévisées sont devenues en quelques années un champ culturel à part entière, loin de la "pop culture" dans laquelle elles semblaient confinées. Regarder des séries TV ... pour la recherche! Billet initialement publié le 6 octobre 2013 par Mélanie Bourdaa Je suis Maitre de Conférences à l’Université Bordeaux 3 et je travaille sur la télévision, plus précisément sur la réception des séries télévisées américaines et sur les stratégies de production transmédiatiques.
Là où des collègues ont pour objet d’étude des films de la Nouvelle Vague, ou d’autres des romans noirs par exemple, les séries télévisées américaines constituent mon corpus, certes vaste, d’étude.