Etude - Loi Élan, innovation : Les bailleurs sociaux doivent-ils se … Etude : Loi Élan et autres chamboulements => des bailleurs sociaux parés à INNOVER ! Quadropolis — Le shop by pop-up urbain. Dans Quadropolis, vous incarnez le maire d’une ville moderne en plein développement.
À l’aide de vos architectes, vous allez faire construire différents bâtiments dans votre ville pour répondre aux besoins de vos citoyens et surpasser vos adversaires (2 à 4 joueurs). Préférerez-vous des habitations pour loger vos administrés, des usines pour l’énergie, des parcs pour la détente ? Faites votre choix avant qu’un des autres architectes ne verrouille les choix ! L'avis de Philippe Gargov Inutile de tourner autour du pot : Quadropolis est le meilleur jeu d’urbanisme disponible actuellement. A l’instar de Sim City, Quadropolis fonde son gameplay sur la capacité des joueurs à définir un maillage urbain régulé et systémique.
Santorini — Le shop by pop-up urbain. Les Castors à Noisy-le-Sec : heurs et malheurs d’une expérience d’autoconstruction. Dossier : Effervescences de l’habitat alternatif Face à l’intense crise du logement que l’Europe a connue après la Seconde Guerre mondiale, certains particuliers se sont dirigés vers l’autoconstruction.
En pointillé sur le territoire ont alors surgi des initiatives coopératives singulières, souvent élevées au rang de mythe par les témoignages qui sont parvenus jusqu’à nous : les Castors. Retour sur l’aventure contrastée d’une poignée de ces habitants-constructeurs à Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis). Symbole d’un travail architectural collectif et laborieux, l’originalité du mouvement résidait dans son organisation communautaire : les Castors se montaient en associations et mettaient en commun leurs ressources financières et techniques pour acheter un terrain et y construire eux-mêmes leurs maisons, en dehors des heures de travail. Par l’autoconstruction de l’habitat, le mouvement Castor entendait proposer une solution concrète, effective et matérielle au problème des mal-logés. . © Selvon. Les architectes de l’habitat participatif, entre militance et compétence. Dossier : Effervescences de l’habitat alternatif L’expertise architecturale et l’expertise urbaine tirent bénéfice, comme nombre de professions dotées de hautes qualifications, de « l’asymétrie de l’information » (Ramau 2000) : le praticien est supposé disposer d’un savoir-faire théorique et pratique qui lui confère un certain ascendant sur son client.
On sait combien il peut être structurant, pour des professionnels et des artistes, de minimiser la capacité du public « profane » à comprendre et apprécier leurs œuvres et productions. Il leur est également essentiel de développer des doctrines et des pratiques prenant le contre-pied des valeurs consensuelles, des goûts ou du sens commun partagés par les « profanes ». L’histoire de l’architecture est scandée par les périodes de flux et reflux de cette revendication d’autonomie de la conception. Des architectes militants Le développement actuel de l’habitat coopératif ou en autopromotion est à un point critique. Bibliographie. La concertation numérique plébiscitée par les habitants. Parce que la ville est un espace fédérateur, EpaMarne est convaincu que sa création se fait pour et avec les habitants et usagers.
C’est pourquoi, dans le cadre de la concertation publique pour l’aménagement du futur quartier de la Plaine des Cantoux à Ormesson-sur-Marne, un serious game à l’échelle de la ville a été créé, BIM Citoyen, pour inviter les citoyens à co-construire le projet urbain. Les résultats présentés fin septembre lors de la dernière réunion publique montrent une forte adhésion. L’ambition partagée par EpaMarne et la ville a été de positionner les habitants et les usagers au cœur de la démarche de concertation et de permettre à tous de s’impliquer dans la conception et la construction de ce futur quartier qui accueillera à terme 350 logements. Grâce au BIM Citoyen, il est désormais possible de toucher un public beaucoup plus large que celui traditionnellement présent dans les réunions publiques. Les règles du jeu Les résultats En chiffres : Sur le fonds :
Effervescences de l’habitat alternatif. Futurs habitants de la coopérative Le Grand Portail, lors de la pose de la première pierre, à Nanterre (92), 3 décembre 2011. © Hervé Saillet ▼ Voir le sommaire du dossier ▼ À la marge des deux secteurs historiques dominants, la promotion immobilière privée et le secteur social, c’est un véritable essaim d’initiatives qui se développe, visant à financer, construire et/ou vivre le logement autrement.
Des petits ensembles d’une dizaine de logements, le plus souvent à la pointe des exigences environnementales en matière de construction et dotés d’espaces partagés (salle commune, buanderie, jardin partagé etc.), ont ainsi vu le jour récemment. Quelques opérations médiatisées sont actuellement en chantier et 200 autres sont actuellement à l’étude. Ces idées ne sont pas, à proprement parler, nouvelles dans le champ de l’habitat.
Au sommaire de ce dossier : L’habitat alternatif : une question ancienne Mouvement unifié ou nébuleuse ? Le Grand RECHO - Le RECHO.