Sur les traces des autochtones. Revendications autochtones. Les revendications des Autochtones ont trois buts principaux : acquérir plus d'autonomie politique, obtenir des territoires plus grands et préserver leur identité et leur culture.
On distingue les revendications globales des revendications particulières. Les droits accordés aux Autochtones leur ont permis d'atteindre la pleine reconnaissance de leurs droits civils ainsi que la reconnaissance du statut de premiers habitants du pays. Dans les traités gouvernementaux, le terme autochtone désigne les Amérindiens, les Inuits et les Métis. Les revendications globales Ces revendications rassemblent toutes celles qui concernent le territoire (titres fonciers, droits de chasse, de pêche et de piégeage, indemnisations et autonomie politique).
Les revendications particulières Ces revendications regroupent celles qui sont liées aux obligations des traités historiques et passés. Histoire des revendications autochtones Carte du territoire indien après la Proclamation royale Source. Le territoire des Cris 2. Situation géographique Le territoire Le territoire traditionnellement occupé par les communautés autochtones cries se situe autour de la baie James et de la baie d’Hudson.
Ces terres sont riches en gibiers, en poissons et en animaux à fourrure. Cette abondance de nourriture a permis aux groupes amérindiens de vivre dans ces terres depuis des milliers d’années. Ce territoire cri couvre une superficie équivalente aux deux tiers de la France et on y trouve des milieux naturels variés : forêt boréale, marais salés, îles côtières, hautes terres intérieures, végétation subarctique. Le territoire cri : villages et hydrographie (cliquer pour agrandir) Aujourd’hui, le sud du territoire est desservi par des voies ferrées et des routes, dont le développement s’est fait simultanément à l’expansion industrielle de la région (forêt, mines).
Hydrographie. Le territoire des Cris de la Baie James. Premières nations au Québec. Les Cris 1. Secrétariat aux affaires autochtones Au Québec, la population crie s’élève à plus de 14 500 personnes, répartie dans neuf villages situés sur les rives de la baie James et de la baie d’Hudson ainsi qu’à l’intérieur des terres.
La nation crie appartient à la grande famille linguistique et culturelle algonquine. La totalité de la population parle la langue crie, tandis que l’anglais est la langue seconde de la majorité. Objectif Nord. Avec près de 200 000 membres, les Cris sont la nation autochtone la plus importante du Canada.
De l’Ouest canadien au Nord-du-Québec, en passant par l’Ontario, ils occupent un vaste territoire et sont divisés en trois groupes distincts : Cris des Plaines, les Cris des Bois et les Cris des Marais. Leur nom est un diminutif de l’appellation Kristineaux – elle-même dérivée de Kenistenoag, leur nom amérindien – une dénomination donnée à un groupe d’autochtones qui vivait dans les environs de la baie James par les explorateurs français au 17e siècle. Québec et les Cris signent une entente pour un gouvernement régional. Cette entente prévoit notamment la mise en place d'un gouvernement régional qui remplacera la municipalité de Baie-James.
Les Cris et les Jamésiens y auront un nombre égal de votes. Le premier ministre du Québec, Jean Charest, et le grand chef du Grand Conseil des Cris, Matthew Coon Come, ont paraphé l'entente de nation à nation au cours d'une cérémonie, qui a duré une heure quinze, au Salon rouge de l'Assemblée nationale. «Nous allons jouer une partie importante de l'histoire du Québec», a lancé M. Charest, qui a évoqué «un niveau de coopération et de collaboration jusqu'ici inégalé» entre les nations québécoise et crie. «Je suis convaincu que les leaders des Premières nations du Canada vont regarder de près cette entente» avec les Cris, a ajouté le premier ministre. Pensionnats autochtones: Ottawa devra divulguer de nombreux documents. Toronto — Le gouvernement fédéral est obligé de transférer ses documents d'archives sur les pensionnats autochtones à la Commission de vérité et réconciliation, a tranché une cour ontarienne, mercredi.
Dans son jugement, le magistrat Stephen Goudge a indiqué que cette obligation de fournir les documents était claire dans l'entente qui a mené à la création de la commission. Cette décision survient alors qu'une dispute de plus en plus acrimonieuse oppose Ottawa et la commission, à propos de millions de documents qui, affirme cette dernière, sont nécessaires pour effectuer son mandat principal. Le gouvernement maintenait qu'il n'était pas forcé de fournir ces documents entreposés à Bibliothèque et Archives Canada. Au dire de la commission, toutefois, et du juge Murray Sinclair, l'intransigeance d'Ottawa aurait rendu impossible la fin complète des travaux à l'intérieur du budget octroyé, et ce, à la date limite du 1er juillet 2014. Victoire importante Site complet.