Le bonheur est une affaire d’égalité. LONDRES – Il se trouve que le roi du Bhoutan aspire à faire de nous tous des individus plus heureux.
Les États, avance-t-il, devraient avoir pour objectif de maximiser le de la population, bien avant leur produit national brut. Cette nouvelle tendance à se soucier du bien-être marque-t-elle le franchissement d’une étape, ou ne constitue-t-elle qu’une mode passagère ? Il n’est pas difficile de comprendre pourquoi les gouvernements devraient relativiser les considérations de croissance économique, compte tenu du caractère insaisissable qu’elle revêt. Il est prévu que la zone euro ne connaisse aucune croissance cette année. Le bonheur et l’égalité. C’était en 2013.
Le gouvernement lançait un plan pluriannuel de lutte contre la pauvreté et pour l’inclusion sociale. Parmi les 10 mesures phares : la création de la « garantie jeunes », censée favoriser un « accompagnement intensif » dans l’emploi. Trois ans plus tard, le voilà contraint d’écrire une loi « égalité et citoyenneté », examinée hier en Conseil des ministres. Parmi les principaux objectifs : favoriser l’insertion des jeunes des quartiers. On peut multiplier les placebos, ils ne guérissent pas les maux. « Ce sont les faits que l’on juge, et non les intentions », écrivait Zola. Des intentions, Manuel Valls en a plein sa musette. Manuel Valls a beau dire que « la bataille de l’égalité ne se règle pas à coupsde milliards seulement », les milliards, ça aide, pour peu qu’on ne les laisse pas filer dans les paradis fiscaux.
Ingrid Chauvin enceinte : "Le bonheur est égal à l’appréhension" - LCI. JOIE - La rumeur se faisait de plus en plus insistante après la révélation de Paris Match, mais cette fois c'est officiel : Ingrid Chauvin est enceinte, comme elle l'a confirmé à nos confrères de Téléloisirs.
Le service METRONEWS "Le bonheur est égal à l’appréhension et j’ai bien du mal à réaliser ce miracle qui arrive. J’ai besoin d’un peu de temps encore pour gagner en sérénité". C'est en ces mots qu'Ingrid Chauvin a confirmé la nouvelle à nos confrères de Téléloisirs : l'actrice est bien enceinte. Les rumeurs se faisaient insistantes après un article publié par Voici ce mercredi 3 février, aujourd'hui c'est officiel. Un miracle pour l'actrice La comédienne avait évoqué son désir d'avoir un enfant "par les voies naturelles" en juillet dernier, mais le traumatisme après la perte de Jade, âgée de 5 mois, des suites d'une malformation cardiaque était toujours aussi fort. Consommation égale bonheur ? Article publié le 7 avril 2008 Drôle de question n’est ce pas ?
En fait je me la pose parce que j’ai appris l’autre jour que l’indice appelé « moral des ménages » n’avait comme seule base de mesure le degré de capacité à consommer. En gros un ménage heureux serait un ménage capable de consommer… Merci l’INSEE ! C’est à ce genres de détails que l’on comprend que notre société s’est ultra engluée dans le consumérisme, au point de ne plus pouvoir imaginer vivre sans. Tout n’est plus que performances : il faut pouvoir acheter pour être heureux, avoir le meilleur salaire pour exister, être le meilleur en tout (sport, connaissances techniques, sexe).
L'argent est-il égal au bonheur ? La vérité est que nous (les êtres humains) avons besoin chaque fois plus que ce que nous avons déjà.
Donc, les gens riches se plaignent que l’argent a volé leurs jours heureux et ceux qui ne sont pas aussi chanceux financièrement disent que seul l’argent pourrait arranger leur vie, qu’ils obtiendraient sûrement tout seuls si seulement ils avaient les moyens de le faire. La vérité se situe quelque part au milieu. Il est inexact de dire que l’argent apporte le bonheur, parce qu’il ne le fait pas.
Mais en même temps on ne peut pas prétendre que l’argent n’a rien à voir avec cela. Nous ne sommes jamais vraiment heureux, peut-être juste lors de brefs moments où nous atteignons nos objectifs ou nous réalisons un de nos rêves. (8) «La croissance harmonise le bonheur de tous» La croissance rend-elle les gens plus heureux ?
Question hautement polémique au moment où la France s’enlise dans la récession, où la menace écologique est une urgence et où une partie des citoyens et des chercheurs militent pour un modèle décroissant. En interrogeant les ressorts de la croissance au regard du bien-être dans son nouveau livre l’Economie du bonheur, Claudia Senik, professeure à l’université Paris-Sorbonne et à l’Ecole d’économie de Paris, relance le débat. Cette chercheuse travaille sur un matériau assez nouveau, le bonheur, qui aussi subjectif et insaisissable soit-il, affine la compréhension des comportements humains dans une économie de marché. Ainsi se développe une approche psychologique de la crise, basée sur de grandes enquêtes de satisfaction auprès de la population.