Les médias sociaux, au coeur du quotidien des Québécois. L'enquête NETendances 2014 a été réalisée par le CEFRIO avec la collaboration de BIP et financée par le Mouvement des caisses Desjardins et Services Québec.
Au cours des dernières années, les médias sociaux se sont démocratisés pour prendre aujourd’hui une place proéminente sur le Web. Utilisés par plus de sept adultes québécois sur dix (71,7 %), ils font désormais partie intégrante de nos vies et modifient la manière dont nous utilisons Internet. Par le biais de l’étude NETendances 2014, le CEFRIO s’est penché sur la question et vous présente ses conclusions. De manière générale, plus de huit internautes québécois sur dix (85,0 %) utilisent les médias sociaux pour consulter du contenu, se connecter à leur compte, relayer ou partager du contenu, interagir avec d’autres ou créer du contenu. L’usage des médias sociaux chez les jeunes : les deux côtés de la médaille. Utiliser les médias sociaux représente l’une des activités les plus courantes chez les jeunes d’aujourd’hui.
Un récent sondage mené aux États-Unis démontre que 51 % des adolescents se connectent à leur réseau social favori au moins une fois par jour et que 22 % des jeunes le font plus de 10 fois quotidiennement (Common Sense Media, 2009). Les sites comme Facebook, YouTube ou Twitter, qui se sont développés à grande vitesse au cours des dernières années, s’avèrent hautement populaires auprès des jeunes, notamment parce qu’ils leur offrent l’opportunité de se divertir, mais également de communiquer entre eux (O’Keeffe et Clarke-Pearson, 2011). Il demeure cependant essentiel que les jeunes sachent en faire une utilisation saine et appropriée, sans quoi, certains problèmes pourraient survenir. Un rapport clinique paru dans la revue américaine Pediatrics (2011) met en perspective les différents impacts des médias sociaux sur les enfants, les adolescents et les familles.
Vie privée Références. Nos amis sur Internet. Qu'est-ce qu'un vrai ami ? - Dossier. La solidarité humaine. Clonage humain. Illustration représentant deux êtres humains de patrimoine génétique identique.
Le clonage humain consiste en la création d'un être humain ou de cellules embryonnaires humaines à partir de la totalité du matériel génétique d'un humain déjà conçu. On pourrait comparer ce concept à une gémellité retardée, et obtenue à la suite d'une décision. Le clonage a donné l'espoir d'ouvrir un large éventail de possibilités médicales, telles par exemple que le remplacement d'un organe vital endommagé par un clone de celui-ci ou sa régénération par des cellules souches issues de l'embryon. Son utilisation potentielle soulève cependant de nombreux questionnements éthiques et actuellement aucun débouché thérapeutique ne s'est concrétisé par une pratique médicale. Suite aux avancées du clonage animal à la fin des années 90, de nombreux pays ont légiféré sur la question.
Clonage d'embryon[modifier | modifier le code] Qu est-ce que le clonage et a-t-on d j clon quelqu un ? / Qu bec Science. Pose ta colle09/05/2014 Le clonage, c’est une façon très particulière de faire des bébés.
Aucun être humain n’a encore été cloné, même si certaines personnes essaient d’y parvenir. Le premier mammifère cloné a été la brebis Dolly, morte au début de 2003. Depuis, on a créé des clones de moutons, de vaches, de lapins, de cochons… Le mariage de moins en moins populaire. Le Québec est la province qui compte le plus de couples vivant en union libre au Canada, le plus de célibataires et le plus de familles recomposées, selon les derniers résultats du recensement de 2011 publiés mercredi par Statistique Canada.
Au Canada, les deux tiers des familles canadiennes sont constitués de couples mariés, ce qui marque un léger recul par rapport à 2006. Il s'agit toutefois d'une forte baisse par rapport à 1961, alors que 90 % des couples étaient mariés. Le nombre de Canadiens célibataires a continué sa progression, représentant 27,6% de tous les foyers en 2011, soit plus du double par rapport à 2006 (10,4%). Solitude. Certains individus se sentent seuls dans un groupe ou une collectivité.
La solitude (du latin solus signifiant seul) est l'état, ponctuel ou durable, plus ou moins choisi ou subi, d'un individu qui n’est engagé dans aucun rapport avec autrui. Certains auteurs parlent de solitude objective pour distinguer cet état du sentiment subjectif associé à l'isolement social. La solitude est un sujet étudié sur le plan scientifique depuis la fin du XIXe siècle, avec les débuts de la sociologie (avec Durkheim et le concept d'anomie), et de la psychologie de l'enfant (Bowlby et ses études sur l'attachement), les études sur le deuil et la mortalité associée.
Depuis le début du XXIe siècle, la solitude est particulièrement étudiée par les neurosciences sociales. Des études sur les moyens de remédier ou de prévenir la solitude et les problèmes qui lui sont souvent associés se multiplient. Définitions[modifier | modifier le code] Psychologie sociale[modifier | modifier le code] Anachorète endormi (1751).