Cosmetics In Russia - YOU CAN READ IT IN THE FACE. Currently, Russia boasts the highest level of make up consumption in Europe; 85% of Russian women use color cosmetics and the manufacturers continue to amaze the consumers.
Market Rainbow In recent years, the Russian market of make-up has been demonstrating a sustainable growth, first and foremost thanks to the expanded regional chains (the number of stores grew by 20-30%) as well as development of federal chains (an increase of 10-20%). According to Euromonitor International survey, the market of color cosmetics showed a steady growth until 2008, whereby in 2009, it had a 4% setback in sales. Today, the Russian market of color cosmetics is on the rise again. The consumption rate of make-up is seen as the highest in Europe. According to various estimates, up to 85% of women use make-up. Cosmetics and Personal Care market in Russia. The cosmetics and personal care market in Russia is slowly recovering following the recession as premium sales grow and manufacturers continue to exploit natural claims.
Even though the financial situation saw Russian consumers become more careful with their spending, they continued to opt for high value-added products such as cosmetics, with brands like Dior, Chanel and L’Occitane performing well. Market on the mend According to market research firm ReportsnReports, the Russian economy continued to recover after the recession in 2009, with GDP reaching pre-crisis value by the end of 2011, accompanied by decreasing unemployment and rising disposable incomes. Consumers became more careful, looking for an optimal price/value ratio when purchasing beauty and personal care products; although many continued to purchase the products they tried during difficult economic times if the experience met their expectations.
Natural appeal Remain cautious. Parfums Christian Dior – Fragrance, make-up, skincare. Christian Dior a lancé la version russe de son site Internet. Véritable pionnier de son secteur, Parfums Christian Dior lance la version russe de son site Internet .
C’est le 18 août 2006 à Moscou que Parfums Christian Dior a présenté l’adaptation de son site Internet en langue russe au cours d’une conférence de presse qui réunissait de nombreux journalistes de mode et rédactrices beauté ainsi que les responsables des magazines online des principales maisons d’édition. Un lancement et une initiative fort bien accueillis par l’ensemble de la presse. www.dior.ru, est en effet le premier site d’une marque sélective de parfums et cosmétiques adapté au marché russe.
Les internautes russes peuvent désormais découvrir tout l’univers de la marque : son histoire, tous les nouveaux produits, parfums, lignes de soin et maquillage, mais aussi localiser tous les points de vente agréés de la marque en Russie. Un plus astucieux : le site propose, pour la ville de Moscou, une recherche par station de métro. Guerlain. Blush Russian Doll de Guerlain sur Beauté. Косметические продукты, продукты по уходу за телом и волосами, краски для волос, декоративная косметика от Л'Ореаль Париж.
Marketing international yves-rocher-interview-bruno-leproux. Accueil Mercator-Publicitor > Interviews d’experts > Les interviews de Mercator-Publicitor > Mercator à Moscou : Yves Rocher Vostok, ou la stratégie de marketing « glocal » d’une entreprise internationale en Russie Mercator à Moscou : Yves Rocher Vostok, ou la stratégie de marketing « glocal » d’une entreprise internationale en Russie Le créateur de la cosmétique végétale made in Bretagne a conquis l’ensemble de la France par la vente à distance.
Cinquante ans plus tard, la marque Yves Rocher est présente dans toute l’Europe, en Amérique du Nord, en Russie et en Chine. C’est aujourd’hui la première marque mondiale de cosmétique végétale. Exemple de développement international réussi, Yves Rocher n’a pas attendu le départ de Gorbatchev pour installer sa première boutique sur les « Champs-Elysées » de Moscou, en 1991. Интервью Ив Роше Восток Mercator : La marque Yves Rocher est connue en Russie depuis les débuts de l’ouverture du pays à l’économie de marché.
Bruno Leproux : Envoyer :