Semaine de lutte contre le racisme et les discriminations : sitographie. Education civique. "Ça fait bien longtemps que je ne prononce plus mon prénom quand je me présente au téléphone" "Le Monde" a demandé à un de ses journalistes, Mustapha Kessous, 30 ans, d'écrire ce qu'il racontait en aparté à ses collègues : les préjugés contre les Maghrébins, qui empoisonnent sa vie privée et professionnelle.
LE MONDE | • Mis à jour le | Par Mustapha Kessous Brice Hortefeux a trop d'humour. Je le sais, il m'a fait une blague un jour. Jeudi 24 avril 2008. Le ministre de l'immigration et de l'identité nationale doit me recevoir dans son majestueux bureau. Trois mois plus tard, lundi 7 juillet, jour de mes 29 ans. Je pensais que ma "qualité" de journaliste au Monde allait enfin me préserver de mes principaux "défauts" : être un Arabe, avoir la peau trop basanée, être un musulman.
J'en parle souvent à mes collègues : ils peinent à me croire lorsque je leur décris cet "apartheid mental", lorsque je leur détaille les petites humiliations éprouvées quand je suis en reportage, ou dans la vie ordinaire. Et pourtant, s'ils savaient à quel point la banlieue m'était étrangère. De l'urgence d'en finir avec le « racisme anti-blanc » Parler de « racisme anti-blanc » c’est confondre ce qui relève des émotions, de la colère et ce qui a trait aux discriminations.
En d’autres termes, c’est confondre les relations interpersonnelles et les rapports sociaux [1]. Ainsi, si Fatima, Mohammed, ou Fatou traitent Marie et Louis de « sales français » (relation interpersonnelle), le désagrément certain que constitue l’insulte sera mis sur le même plan que le fait que Fatima, Mohammed et Fatou risquent de voir leur CV refoulés en raison de leur couleur de peau, celle-ci signifiant une origine « autre », qu’elle soit réelle ou supposée (rapport social). Par ailleurs, on pourrait réfléchir au fait qu’être anti français, c’est être anti blanc, aux yeux de ceux qui s’émeuvent des ravages dudit « racisme anti-blanc ». Or dans ce contexte, il ne peut y avoir de commune mesure entre les positions de ceux qui discriminés, peuvent insulter par rage, et ceux qui se retrouvent privilégiés par un rapport social. “il y a des blancs pauvres ! La classe côté professeur » Accueil. Éducation contre le racisme - Réseau Canopé. Apprends à parler, 'spèce de boloss.
"Genre tu kiffes le çaisfran !
Du coup tu taffes grave. " Traduction : "C'est parce que tu aimes le français que tu travailles autant. " Si seulement ! Le français a bien changé depuis la Gaule romaine. Entre le verlan, les anglicismes, les défauts de prononciation et les produits de l'imagination purs, les jeunes, les djeun's d'aujourd'hui partagent un vocabulaire encore étranger à leurs aînés. Avoir le seum : Autrefois, on disait avoir les boules. Avoir le swag ou du swag : Dans son acception la plus limitée, le swag signifie le style, "la classe". Frais / fraîcheur : Généralement quand on entend "Ce débardeur est très frais", dans un magasin, on pense tout de suite à un motif délicat, coloré et floral ; alors que l'on devrait se dire "Waouh ! Il ou elle fait crari : On pourrait le dire d'une fraîcheur qui fait tout pour se donner un genre.
Discrimination positive. Eloge de la différence. Cinq livres pour les 5-13 ans. Des lycéens de Barentin, près de Rouen, sensibilisés aux problèmes de discrimination - France 3 Haute-Normandie. Éducation A l’invitation des infirmières et des assistantes sociales du lycée Auguste Bartholdi de Barentin, un psychologue est intervenu dans une classe afin d’y faire passer un message de tolérance.
Par Didier Meunier Publié le 20/02/2015 | 19:03, mis à jour le 20/02/2015 | 19:03 © France 3 Haute-Normandie Atelier de sensibilisation aux problèmes de discrimination "Trop vieux, trop jeune, trop féminine" …. Les situations de discrimination sont nombreuses et souvent banalisées. Des jeux de rôle pour prévenir la violence et l'agressivité. A travers des ateliers ludiques, ces jeunes ont pu jouer et vivre des scènes discriminantes. Pour connaître la liste des fondations et associations luttant contre le racisme et les discriminations : cliquez ici. "Stéréotype toi même" - Stéréotypes de Genre en chiffre et en BD. Les critères de discriminations retenues par la loi. Dans le domaine de l’emploi, du logement, de l’éducation et de l’accès aux biens et services, sur la base de 20 critères prohibés par la loi : La Lutte contre les discriminations Le Défenseur des droits combat les inégalités fondées à partir des 19 critères prohibés par la loi, comme l’origine ou le handicap, dans le domaine de l’emploi, du logement, de l’éducation et de l’accès aux biens et services.
Discrimination sur l’engagement syndical dans une entreprise de fruits et légumes Focus du : 16/11/2012Simone est commerciale en contrat à durée déterminée depuis 2005, dans une entreprise de fruits et légumes. Discrimination sur la couleur de peau dans un centre de formation Focus du : 13/11/2012Nathalie, Florence, Martine et Karine préparent dans un centre de formation des Yvelines un diplôme d’Etat d’auxiliaires de vie sociale. « Les discriminations liées à l'âge augmentent » "Jeu multimédia et interactif" sur les discriminations / DEFENSEUR DES DROITS.
"Moi raciste?!" - BD qui désigne les mécanismes de la xénophobie. Dossier sur la discrimination dans les médias / Lucide. Histoires d'ado.