Le virus zika transmis par les moustiques détecté en Martinique et en Guyane. Par Julien Absalon , Avec AFP En Guyane et en Martinique, deux personnes ont été contaminées par le virus zika, une maladie transmise par les moustiques et qui fait partie de la famille de la dengue et de la fièvre jaune et de l'hépatite C. Le ministère de la Santé, qui a officialisé samedi 19 décembre ces deux cas, dit suivre de très près l'évolution de ce virus potentiellement épidémique.
Identifié pour la première fois en 1947, le zika peut entraîner l'apparition de plusieurs symptômes similaires à ceux de la grippe dans les 3 à 12 jours qui suivent la piqûre du moustique infecté. Les malades peuvent ainsi souffrir de fièvre peu élevée, de maux de tête ou encore de courbatures. Un risque en France métropolitaine Face à cette maladie, les femmes enceintes sont particulièrement vulnérables.
Ce retour tonitruant de la menace a d'ailleurs conduit les autorités sanitaires françaises à mettre en alerte les agences régionales de santé des Antilles. Le virus zika pourrait arriver en France métropolitaine (franceinfo.fr) Une nouvelle maladie auto-immune découverte en Asie- 24 août 2012. Une curieuse maladie qui ne touche que des personnes vivant en Asie ou d’origine asiatique intrigue des chercheurs américains. Apparaissant à l’âge adulte, vers 50 ans en moyenne, cette maladie se caractérise par un affaiblissement du système immunitaire, comme dans le cas du VIH/sida (syndrome de l’immunodéficience acquise), et le développement de maladies dites opportunistes –qui profitent de cette faiblesse pour prospérer.
Sauf qu’aucun des patients concernés par la nouvelle maladie n’est infecté par le VIH. Une équipe financée par les Instituts nationaux de la santé (NIH, États-Unis) a mené une étude en Thaïlande et à Taiwan pour mieux comprendre cette maladie. Les chercheurs ont constaté, en comparant plusieurs groupes de patients, que ceux qui souffrent de ce nouveau syndrome produisent des anticorps dirigés contre leur propre organisme. Le déclenchement de cette maladie demeure inexpliqué. Coronavirus MERS: Faut-il craindre son arriv e en France? Les cas de dengue se multiplient au Yémen en raison du conflit. Ce n’est que l’une des conséquences dramatiques du conflit sur les populations civiles yéménites. Depuis les premiers bombardements aériens menés par la coalition conduite par l’Arabie saoudite pour tenter de freiner l’avancée de la rébellion chiite houthiste, en mars, plus de 3 000 cas de dengue ont été signalés, notamment dans le sud du pays, a indiqué mardi 23 juin l’Organisation mondiale de la santé (OMS). « Plus de 3 000 cas suspects de dengue ont été signalés […] mais les chiffres devraient être largement supérieurs, a précisé un porte-parole de l’organisation, Christian Lindmeier.
Certaines ONG parlent de 6 000 cas, le double des chiffres officiels. Des centaines de cas sont attendus dans les prochaines semaines à Aden », le principal port du pays. Lire aussi : Au Yémen, « c’est une guerre contre les civils » Une crise sanitaire majeure Lire aussi : L’Etat islamique perturbe les négociations de paix au Yémen. Alerte européenne à la grippe aviaire. La Commission européenne s’est félicitée des mesures de précaution prises par les deux pays. > Où la maladie a-t-elle été détectée ? C’est dans un élevage de 150 000 poulets du village d’Hekendorp, au Pays-Bas (près d’Utrecht) qu’une souche hautement pathogène du virus de la grippe aviaire a été détectée dimanche 16 novembre. Une interdiction nationale de transport de volailles ou d’œufs a été immédiatement décrétée et l’abattage (au gaz selon les médias néerlandais) de toutes les volailles de l’exploitation devait être terminé lundi 17 novembre.
La circulation était fermée dans le village et des barrages routiers ont été mis en place à ses abords… Par ailleurs, des agents de l’autorité sanitaire néerlandaise (NVWA) effectuaient ce même lundi des contrôles sur d’autres fermes dans le centre des Pays Bas, dans un rayon d’une dizaine de kilomètres. Deux fermes voisines de celle qui était infectée ont été déclarées saines.
> Cette souche est-elle dangereuse pour l’homme ?
Après le sida, le SRAS ou la grippe H1N1, le monde doit-il craindre Ebola ? Après le sida, le SRAS, les grippes aviaires, le coronavirus et le chikungunya, le virus Ebola nous renvoie à nos peurs ancestrales des grandes épidémies, même si les situations sont loin d'être comparables, selon l'historien de la santé Patrick Zylberman. Q : Le monde doit-il craindre l'épidémie actuelle de fièvre hémorragique Ebola ? R : La peur ancestrale d'une épidémie tuant tout le monde reste profondément ancrée en nous mais on peut difficilement comparer la fièvre Ebola avec les grandes épidémies du passé comme la peste contre laquelle nos ancêtres n'avaient guère que les prières. Lors de la grippe espagnole de 1918-1919 qui a fait 50 millions de morts dans le monde, dont 250.000 en France, les antibiotiques n'existaient pas (pour traiter les complications, ndlr), on ne connaissait pas le virus et on ne disposait pas de services d'urgence et de réanimation.
Q: Quels sont les principaux facteurs de gravité de l'épidémie actuelle? Infections à coronavirus.