Le militant et le politique: Les deux logiques pour changer le monde. Tout le monde sera d’accord sans doute pour dire que notre monde a besoin de changement, même si personne ne sera d’accord, passé les unanimités de façade temporaires durant une crise aiguë, sur ce qu’il faudrait changer.
Mais ce dont on parle moins, et qui compte plus, c’est comment changer le monde. Or c’est là la clé de tout bien-sûr. Deux événements récents, parmi tant d’autres, ont mis en lumière l’importance de cette question. Ces deux événements sont très liés, il s’agit du redémarrage des centrales à charbon en Europe et des coupures d’électricité en Californie. Les associations Les amis de la terre et Greenpeace protestaient il y a quelques semaines contre la mise en service d’une nouvelle centrale à charbon en Allemagne. Deux façons de changer le monde Le sociologue Saul Alinsky écrivait il y a cinquante ans que le premier devoir de celui qui veut vraiment changer le monde est d’accepter la réalité, quelque déplaisante que celle-ci soit. California dreaming (Source: Wikipedia) Fondation Abeona.
L’intelligence artificielle, source de progrès L'intelligence artificielle commence à être utilisée dans notre vie de tous les jours, changeant la manière dont nous apprenons, travaillons… En santé par exemple, à partir des données disponibles en quantité et qualité de plus en plus importantes, les nouvelles techniques d’apprentissage automatique deviennent une aide précieuse au diagnostic et à la recommandation de traitements personnalisés.
Données et algorithmes : des risques de biais Dans l'apprentissage automatique, les algorithmes sont nourris par les données à partir desquelles ils apprennent. Cela permet des recommandations et des décisions à la fois plus précises et plus justes, puisque les mêmes règles s’appliquent à tout le monde. Mais les données historiques peuvent être biaisées et défavoriser des personnes en fonction de leur origine sociale, de leur sexe, de leur race, de leur âge... Une intelligence artificielle équitable : une garantie ? Portrait de Fondation.
Adel : Label éthique pour l’exploitation des Big Data. [eBook] Face à la pollution numérique : la sobriété - Verda Mano. Sobriété numérique : au-delà des éco-gestes, changer d'échelle Big data, deep learning, smart grid, IA…le numérique, utilisé à bon escient, pourrait jouer en faveur de l’écologie.
Pourrait, parce que ce n’est pas encore le cas aujourd’hui. Entre autres raisons, le fait que l’empreinte même du secteur est bien trop lourde et ne cesse d’augmenter. Entre la miniaturisation des… La transition numérique, un atout pour l'écologie ? Nos sociétés vouent un culte à l’innovation. [DOSSIER] Contre la pollution numérique : la sobriété "La pollution numérique est différente des autres pollutions en cela qu’elle n’a pas de “coupable” unique et identifié, comme l’industrie pétrolière ou agroalimentaire. Ethique : n’y a-t-il que l’intention qui compte. Chroniques d’experts Stratégie Le 04/05/2020 © Getty Images Temps de lecture : 6 minutes Faire des choix éthiques, c’est choisir entre ce qui est facteur de satisfaction, ce qui est juste, ce qui est utile et ce qui est gratuit.
On entend beaucoup parler d’éthique en entreprise. Agir en conscience Depuis une vingtaine d’années, les considérations éthiques ont petit à petit été externalisées par les entreprises. L'éthique est une compétence professionnelle. Alors que la morale définit des principes ou des lois générales, l'éthique est une disposition individuelle à agir selon les vertus, afin de rechercher la bonne décision dans une situation donnée.
La morale n'intègre pas les contraintes de la situation. L'éthique au contraire n'a de sens que dans une situation. La morale ignore la nuance, elle est binaire. L'éthique admet la discussion, l'argumentation, les paradoxes. L'approche de l'éthique professionnelle doit reposer à la fois sur la dimension morale (il ne peut s'agir d'ignorer les principes) et sur la dimension éthique (quelle décision est la meilleure dans le cas présent ?). Quels sont les facteurs de développement du management éthique ? Quand la technologie impose de repenser l'éthique. Chroniques d’experts Davos, Digital Le 05/02/2020 © Getty Images Temps de lecture : 5 minutes Deepfake, 5G, reconnaissance faciale… Les évolutions technologiques ne sont pas sans conséquences pour les entreprises et la société.
L’essor des technologies représente l’un des plus grands changements que notre espèce ait jamais connus. Les dirigeants doivent rester au fait non seulement des développements techniques et des applications de ces nouvelles technologies, mais également des implications stratégiques plus larges telles que la nécessité de mettre en place un cadres réglementaire pour promouvoir une utilisation plus éthique des données, de détecter les biais liés aux algorithmes ou encore de veiller à la protection de la vie privée. Un niveau sans précédent Michelle Obama et Leonardo DiCaprio Mais les technologies de pointe posent aussi un problème d’ordre moral : certaines entreprises ayant, disent-elle, du mal à continuer à innover tout en maintenant des pratiques éthiques.