Développement durable: quels sont les 8... Bénéficiant de 10 ans de recul -la première étude datant de 2004- Ethicity note globalement un engagement de plus en plus fort de la part des Français dans ce domaine.
"Alors que les engagés représentaient 39,3 % en 2004, ils sont 50,9 % aujourd'hui. Avec une vraie féminisation (57 % de femmes engagés contre 51 % en 2004) et démocratisation de l'action (36 % seulement sont des cadres, professions intermédiaires et retraités de CSP supérieures ", note l'enquête. Alors, quel est le profil de ces engagés ? Il se décompose en quatre groupes: Les modernes humanistes, qui représentent 15,3 %. Les Share Activistes (8,2 %).
Les Green twees (18,2 %): Plutôt des femmes, de moins de 50 ans et aux revenus plus élevés que la moyenne. Les Slow fast (9,2 %): Principalement des femmes et CSP supérieures, ce groupe peine à s'en sortir financièrement. Aux côtés de ce groupe impliqué, un quart de la population attend qu'on les soutienne plus dans leur implication. 1083, le jean 100% « made in France » et écoconçu.
Pour être certain de ne pas s’habiller made in Bangladesh, il suffit de se « relookaliser ».
Comprenez « s’habiller bien et proche », c’est-à-dire local. Si si, c’est possible avec la jeune marque française 1083 qui propose des jeans en coton bio et des sneakers (des chaussures) écoconçus, 100% made in France. Thomas Huriez, 32 ans, est le créateur de la marque. Il y a un an, il se lance dans un projet fou : produire un jean entièrement fabriqué en France. « Quand on sait qu’un jean parcourt jusqu’à 65 000 km lors de sa fabrication, j’ai voulu relever le défi : fabriquer un jean « Borne in France », qui parcourt moins de 1 083 km pour arriver chez le consommateur », explique l’entrepreneur. 1083 c’est exactement le nombre de kilomètres qui séparent les deux villes les plus éloignées de l’Hexagone, Menton, à la frontière italienne et Porspoder, un petit village breton.
Tout commença avec... la chaussette Pourquoi alors ne pas poursuivre avec des jeans et des chaussures ? Le supermarché collaboratif arrive en France A Paris, un supermarché collaboratif veut rendre les bonnes choses accessibles à tous.
Ce n’est pas un loup, mais une Louve qui est aux portes de Paris. Venue d’outre-Atlantique, elle couve une jolie portée d’idées coopératives pour développer un modèle de distribution alternatif pour bons produits locaux et pas chers. Rencontre avec ses instigateurs. La passion des bonnes choses Brian Horihan vient du Minnesota, et Tom Boothe de l’Indiana. Tom, Brian et Maëlanne Brian a lui aussi fait du cinéma, tout en s’intéressant au jardinage, à l’agriculture, aux potagers urbains, aux coopératives... « Ni Tom ni moi ne venons de familles riches, on vient des lower middle class, on ressentait le besoin de trouver un lieu où l’on peut acheter les produits bons et pas chers », souligne-t-il pour expliquer comment a germé en eux l’idée de créer à Paris un supermarché coopératif.
Consommation collaborative et marques (opportunité ou menace ?) Le collaboratif a le vent en poupe.
Bien plus qu’une simple mode, ce mouvement challenge les modes de consommation traditionnels. Nathalie Damery (Obsoco) explique les raisons de l’émergence de la consommation collaborative ; Antoine Jouteau (Leboncoin.fr) et Nicolas Ferrary (Airbnb) analysent les succès de leur entreprise respective ; Louis-David Benyayer (Without Model) expose les réponses stratégiques des acteurs historiques confrontés à cette nouvelle donne. Un Atelier proposé par La Poste et animé par Maryse Mougin, Directeur de la Relation Client à La Poste. La synthèse de l’Atelier de la Performance Client Exceptionnel Première partie – Le contexte : l’émergence d’une nouvelle consommation Nathalie Damery détaille les différents facteurs qui ont contribué à la poussée de la consommation collaborative, ainsi que les motivations et les caractéristiques des consommateurs collaboratifs. Les intervenants Les échanges : la parole aux participants Interviews vidéo L’Atelier en photos.
Les chiffres de la consommation responsable / MesCoursesPourLaPlanète. L’année 2013 n’a pas dérogé au climat de crise à l’œuvre depuis déjà plusieurs années.
Le recul historique du pouvoir d’achat des ménages en 2012 (-0,9% selon l’INSEE) a directement impacté les dépenses de consommation. Quid de la consommation responsable ? Même si les chiffres de vente peinent à décoller, ils ne faiblissent pas. Certains produits responsables arrivent même à tirer leur épingle du jeu par rapport à leurs marchés de référence. Surtout, la crise amène les Français à se tourner vers des modes de consommation alternatifs, à (ré)inventer de nouvelles manières de consommer moins et mieux. Téléchargez le rapport Taux de chômage en hausse, multiplication des plans sociaux, pronostics économiques moroses : le marché français peine à sortir de la crise économique... Téléchargez le rapport Téléchargez le rapport Après plusieurs années de crise économique mondiale, les marchés commencent doucement à se remettre et les activités (comme la croissance) repartent...