Tous tricheurs ? La fabrique des tricheurs Dernière minute : 125 étudiants de Harvard, la prestigieuse universités américaine, soupçonnés de triche.
La présentation de La fabrique des tricheurs par l'éditeur : "Juin 2011 : après qu'une cascade de fraudes et de fuites ait entachée les épreuves du bac mais aussi celles de plusieurs examens universitaires, Luc Chatel, alors ministre de l'Education nationale, commande un rapport sur la triche à l'école, de la primaire à l'Université. Juin 2012 : le fameux rapport se fait toujours attendre, mais les autorités promettent que, désormais, " la tolérance zéro " sera strictement appliquée aux fraudeurs.
Le plagiat, une pratique qui se banalise. Les scandales de plagiat, comme celui qui a touché l'Université de Neuchâtel, se multiplient.
Certains chercheurs se demandent s’il ne faudrait pas revoir entièrement la notion d’originalité. En avril 2013, Philippe Gugler, vice-recteur de l’Université de Fribourg, est accusé de plagiat. Ses chroniques, publiées dans le quotidien La Liberté, seraient largement inspirées de textes parus dans le journal français Le Monde. Mai 2013, la conseillère nationale Doris Fiala (ZH) se retrouve dans la même situation: son mémoire de fin d’études à l’EPFZ comprendrait plusieurs centaines de pages sans attribution de sources. Le plagiat, une pratique qui se banalise. Plan anti-fraude au bac : des profs sur la réserve.
Copies © Tomfry — Fotolia.com Les fraudeurs sont dans le viseur : la chasse aux smartphones s'intensifie.
Vincent Peillon a notamment rappelé le 6 juin dernier que toute fraude, ou tentative de fraude le jour du bac, pouvait avoir des conséquences graves, comme l'annulation du diplôme ou l'interdiction de repasser l'examen pendant cinq ans. La tricherie a toujours existé mais elle s'est perfectionnée : « La jeune génération tente tout le temps de tricher, c'est devenu un jeu ! », confie Elise (1), professeure de mathématiques dans la région parisienne, « certains élèves vont jusqu'à recopier leurs cours en transparence sur leur règle.
Triche aux examens : une montre antisèche vendue sur Internet. Une société croate a récemment mis en vente une montre spécialement conçue pour tricher aux examens sans se faire surprendre.
La triche aux examens a encore de beaux jours devant elle ; si le gouvernement s'attaque actuellement à la fraude par smartphone en interdisant l'usage des téléphones dans les salles d'épreuve, les tricheurs ont déjà une longueur d'avance. Une montre "qui rend les études plus faciles" L’école de la triche. Dans son livre "L'école de la triche", la journaliste Marie-Estelle Pech revient sur un phénomène de société : 70% des étudiants admettent en effet avoir déjà triché au cours de leur scolarité.
La triche a rythmé l'actualité de cet été, avec la fuite d'un sujet de mathématiques au bac S et la fraude au BTS NRC. Dans L'école de la triche, la journaliste du Figaro Marie-Estelle Pech a mené l'enquête pour déterminer l'étendue de ce phénomène qui toucherait plus de 70% des étudiants(1). La fraude aux examens a pris une ampleur inégalée ces dernières années avec l'apparition des smartphones, qui permettent d'échanger facilement photos ou e-mails, et qui sont impliqués dans la moitié des cas de fraude repérés. La triche, facilitée, banalisée, en devient parfois une source de fierté pour les jeunes, comme en témoigne le succès de certains groupes Facebook signalés par l'auteure.
On triche plus en sciences qu'en droit ou en lettres. Les surveillants «ferment, semble-t-il, souvent les yeux».
À l'université, les champions de la triche, ce sont les étudiants de sciences et de technologie. Ces derniers déclarent significativement plus tricher que les étudiants de droit ou sciences économiques, selon l'étude de 2009 sur les « facteurs de la fraude ». Il est évident que les étudiants auront plus de difficultés à tricher lors d'une dissertation que pour un exercice de mathématiques. Mais leurs pratiques antérieures sont assez différentes: 63,1% des étudiants inscrits en droit déclarent n'avoir jamais utilisé d'antisèche lorsqu'ils étaient au lycée contre seulement 26% des étudiants inscrits en DUT (diplôme universitaire de technologie), par exemple. Le plagiat scolaire à laide des technologies. Focus: nouvelles techniques de triche aux examens - RTBF Le 15 minutes. Pour éviter la triche, certaines écoles fournissent le papier d'examen.
Des mesures nécessaires car de tout temps, les élèves ont triché. La nouvelle génération n'y fait pas exception, même si les méthodes évoluent. Le téléphone En matière de tricherie, le gsm est la nouvelle bête noire. Tour du monde de la triche aux examens scolaires et universitaires. Suisse romande (2013): épreuve annulée à Fribourg Dernier cas en date en Suisse, une affaire de tricherie a été découverte le 12 juin à l'Ecole de culture générale de Fribourg (ECG).
Un élève a réussi à obtenir le sujet avant un examen de français en se connectant sur l'ordinateur d'une enseignante. Les étudiants devront repasser l'épreuve vendredi. L'année passée, près de 300 élèves de première année de l'Ecole de gestion à Genève (HEG) avaient dû repasser un examen après que l’énoncé et les réponses d’un test avaient été volés. En Suisse comme en France, le plagiat ronge l’Université. Avec Internet, le plagiat est devenu un fléau.
L’Université française intensifie sa lutte contre l’explosion du «copier-coller». Sur les traces de Michelle Bergadaà, professeure à l’Université de Genève qui a crée un site francophone de référence de lutte contre le plagiat. C'est en corrigeant des mémoires de master, en 2005, que Jean-Noël Darde, maître de conférences en communication à l'université Paris-VIII, a pris conscience du problème. Deux travaux étaient largement entachés de copier-coller.
Plagier, c'est frauder et risquer des sanctions. Le jeu en vaut-il la chandelle ?
La substitution d’identité pour passer un examen, un coup d’œil sur la copie de votre voisin ou sur vos cours soigneusement pliés sur vos genoux, ou encore du copier/coller pour votre dissertation ou votre mémoire en « omettant » les guillemets et la source... voilà quelques exemples à ne pas suivre car il peut vous en coûter très cher ! Si vous vous faites prendre, vous serez traduit devant la commission disciplinaire de votre université, présidée par son vice-président et composée d’enseignants, d’étudiants et de membres de l’administration, devant laquelle vous pourrez être défendu par un élu étudiant de votre choix.
Le degré de sévérité de la sanction dépend de plusieurs éléments, et notamment de l’organisation nécessaire à la triche traduisant son aspect prémédité ou non, l’utilisation d’outils ou de documents formellement interdits pour l’épreuve en question, etc. Enfin, plagier est un délit. Crédits photo : Loop_oh (CC BY ND 2.0) Le plagiat à l'école. L'inquiétant essor de la triche à l'école. Sujet du bac volé et mis en ligne la veille de l'épreuve, comme ce fut le cas en juin dernier, smartphone caché sous un pull, oreillette planquée dans un foulard, travaux personnels encadrés (TPE) directement copiés de Wikipedia... Avec les nouvelles technologies, la fraude scolaire est devenue massive. Plus de 7 étudiants sur 10 avouent avoir triché au cours de leurs études !
Pis, quantité de sites glorifient les petits malins qui ont fraudé aux examens sans se faire prendre. Plagiat et internet : un cours avec F.Lombard et J.P Blanc. Pour des cours par J.P Blanc et F.Lombard On peut atteindre ce document ici : Quelques notes pour structurer ma pensée et illustrer la discussion A) Plagiat par l'élève lors de travaux. Un phénomène nouveau ? ...dans ses formes en tous cas Peyrières, ?. Vers une clarification Distinction entre : Citation explicite, référencée clairement. Portait-type du plagieur ? Les statistiques du site révèlent les mots-clés utilisés : simple ! Éviter le plagiat. 1. État de la situation. Triche, fraude, plagiat : les profs s’organisent.
Alamosbasement/Flickr. Plagier, c'est tricher. Comment lutter contre le plagiat à l'école ? Avec les logiciels anti-plagiat ? On trouve sur le marché des logiciels anti-plagiat comme par exemple Compilatio.net (pour ne citer qu'un des plus connus [1].Ces logiciels sont de plus en plus utilisés dans les universités où les étudiants peuvent déposer leurs travaux sur un serveur qui analyse leur contenu. Le verdict tombe ensuite selon trois critères : moins de 10%, entre 10 et 35%, plus de 35% d'éléments copiés-collés.Il faut néanmoins rester prudent et garder à l'esprit que l'utilisation de cet outil peut parfois être tout-à-fait aléatoire. En effet, comme le rappelle Dominique Maniez, ce logiciel « détecte les similitudes entre le document analysé et l'ensemble des sources disponibles sur Internet » [2], ce qui signifie que des expressions extrêmement courantes dans la langue française vont être assimilées comme étant du plagiat.Les logiciels anti-plagiat ne peuvent donc pas être considérés comme des solutions miracle au problème.
Par la formation des élèves. Le plagiat et autres types de triche scolaire à l'aide des technologies : une réalité, des solutions. Triche à l’université : le plagiat encore peu sanctionné. Triche au bac et aux examens : ce que vous risquez vraiment. Triche à l’université : le plagiat encore peu sanctionné. L’Éducation nationale face à la triche : un réveil difficile. Lutte contre la triche : comment les autres pays s’en sortent. 10 mauvaises bonnes raisons d’utiliser une photo sans permission / Photojournaliste basé à Québec, Canada. English version Vous pensez avoir une bonne raison pour utiliser une photo trouvée sur Internet sans demander l’autorisation au photographe?
Voyons voir si elle est valide… (PS: Vous êtes un photographe et quelqu’un utilise votre photo sans votre consentement? Consultez mon billet Quoi faire en cas d’utilisation non-autorisée d’une de vos photos?) 1.