When Whiteness is the Standard of Beauty. By Lisa Wade, PhD, May 16, 2014, at 09:00 am Flashback Friday.
One manifestation of white supremacy is the use of whiteness as the standard of beauty. When whiteness is considered superior, white people are considered more attractive by definition and, insofar as the appearance of people of other races deviates from that standard, they are considered ugly. Non-white people are still allowed to be considered beautiful, of course, as long as they look like white people. This collection of images is a nice illustration of the way in which black women, in particular, are expected to look white in order to qualify as beautiful. This is Flashback Friday, so these are ads I collected and posted in 2008.
How to Even Out Your Eyelids Without Surgery. We Need To Talk About 'Butt Selfie' Queen Jen Selter. Raciste, la mode ? Manifeste pour l'emploi du mot "beige" Pondu par Maia Mazaurette le 30 juin 2010 La mode est un univers impitoyable.
On y tue des bestioles pour leur fourrure, on y appelle « pulpeuses » les grosses mais sans oser les prendre en photo (quand finalement on s’y résout c’est pour proposer le fameux concept de grosse sans cellulite…), on y exploite des adolescentes, on y fait pression pour que les femmes se comportent de manière frivole en cramant leur carte bleue, on y accepte quelques mannequins non-Blanches, mais à condition qu’elles ressemblent à des Blanches trempées dans du chocolat… La plupart du temps, les consommatrices n’y peuvent rien.
A part râler – ce qui commence à devenir un sport national. J’ai rarement rencontré des femmes dénuées d’esprit critique par rapport à la presse féminine, aux tendances cosméto et aux demandes hallucinantes de la mode. Quand Nivea propose aux hommes noirs de se "reciviliser" Il y a deux ans Angelina Jolie défrayait la chronique.
Les faits étaient graves. Elle avait laissé sortir sa fille Zahara les cheveux non peignés. Entendez au naturel. Les Afro-Américains dépensent chaque année des milliards de dollars en produits divers et variés pour leurs cheveux. La relation des noirs avec leurs cheveux est compliquée. Pour revenir à la fille d'Angelina Jolie, la pression est donc forte comme le montre cet article : "Any self-respecting black mother knows that she must comb, oil, and brush her daughter’s hair every night (...) "Wild" : le mot est lâché. Le modèle des beautés - y compris dans les pays africains - n'est pas noir et crépu ; il est un être hybride aux cheveux soigneusement lissés. Publicité à Dakar C'est dans ce contexte que Nivea sort une publicité pour des produits de rasage pour homme. Alors, est-ce que cette publicité est raciste ?
Peaux Noires Cheveux Crépus, l'Histoire d'une Aliénation. Un cliché dit que les noir-e-s vouent une attention excessive à leurs cheveux.
Or ces crispations n’ont rien de futiles ou d’innées. Et ils ne sont pas les seuls à focaliser sur ces cheveux là. Ceci est l’objet d’ un livre vraiment instructif, critique et complet : Peau noire, cheveu crépu. L’histoire d’une aliénation, de Juliette Sméralda édité en 2004. « Les esclaves allaient finir par méconnaître la valeur inestimable de leurs cheveux. Plus tard, lorsqu’ils consentiront à répondre à la demande d’hygiène corporelle formulée par leurs esclaves, c’est à l’imposition d’une nouvelle culture esthétique participeront les esclavagistes, en suppléant le manque d’accessoires africains par des accessoires de la culture occidentale. Dès lors, le peigne européen sera regardé par ces derniers comme l’accessoire à l’aune duquel se décernera le label de bon ou de mauvais cheveu : si le cheveu se coiffait facilement au moyen du peigne offert par le maître, alors il s’agissait d’un bon cheveu.
Société : Pourquoi des cheveux défrisés ? Aliénation : Selon J.S : « éloignement de soi-même » (source B World Connection) En majorité locksé ou alors arborant une tignasse naturelle ainsi pouvait on décrire le public venu nombreux à l’espace Régional du Raizet, écouter la conférencière.
Afin d’exposer ses recherches sur le cheveu naturel, Juliette Sméralda a choisi de faire une remontée dans le temps. Ainsi, elle nous a expliqué qu’avant la période esclavagiste, la peau et les cheveux des noirs étaient très entretenus. En effet, le noir, le plus scintillant était considéré comme étant le plus beau. Quant à la coiffure, elle est est porteuse de symboles forts : âge, clan, statut social, occupations.
Avec une telle valorisation comment expliquer le passage au cheveu défrisé ? Juliette Sméralda développe l’argumentation suivante : le contact entre blancs et noirs s’est toujours déroulé dans un rapport de domination. Il s’en suit alors un processus de « dénaturation ». Good Hair 1-3 (Vostfr) Good Hair (Vostfr) 2-3. Good Hair (Vostfr) 3-3. New York Fashion Week: Diversity Talks But White Faces Walk. Front Row to Fashion Week - Interactive Feature.