Tis vol3 n1 6 131 148. La stratégie digitale de demain. 30 nov 2012, by Aurelie Magniez Pourquoi le Strategic Planning est-il « vital » pour les DSI en 2013 ? En cette période de profondes mutations de l’exercice du Business par les entreprises, il est nécessaire de disposer des bons leviers pour répondre aux tensions toujours plus nombreuses et en dégager des pistes d’opportunités. La crise s’est installée dans la durée, la croissance a quitté les zones matures (Europe, Amérique du Nord…) pour se poursuivre en Asie, Amérique du Sud, Afrique, mais, à contrario, le développement du « Digital » laisse entrevoir de nouveaux univers d’opportunités. Ce positionnement de stratège, le DSI pourrait penser le détenir via ses responsabilités de « garant » du système d’information de l’entreprise et de mobilisation d’approches de type : Enterprise Architecture, Schémas Directeurs SI, Budget… dont l’objectif est d’aligner les SI sur la stratégie de l’entreprise. Les bouleversements du travail à l’ère numérique.
9 sept. 2014 Comment concilier progrès technologique, progrès environnemental et progrès social à l’heure de la révolution numérique ? C’est le thème d’un programme de recherche lancé lundi à Berlin par la ministre allemande de l’Éducation et de la recherche, Johanna Wanka. L’État fédéral y consacrera pas moins d’un milliard d’euros au cours des sept prochaines années. Un milliard d’euros d’ici à 2020 Ce programme, baptisé « Innovation pour la production, les services et le travail », sera mené en étroite concertation avec les partenaires sociaux. « La numérisation et l’industrie 4.0 bouleversent la production, les services et le travail dans leurs fondements mêmes.
Le programme fait partie de la nouvelle stratégie gouvernementale pour la haute technologie, qui vise à soutenir la compétitivité de l’Allemagne en accélérant la transformation d’idées novatrices en innovations concrètes. Industrie 4.0 La numérisation représente aussi la promesse d’un avenir plus sobre sur le plan énergétique.
Analyse sectorielle SSII. Les salariés restent méfiants quant aux effets des innovations sur l'emploi - Les Echos. Énergie - Environnement Total : Christophe de Margerie meurt dans un accident d’avion DE NOTRE CORRESPONDANT A MOSCOU Le jet privé du PDG de Total a percuté au décollage une déneigeuse à l’aéroport de Vnukovo. Christophe de Margerie venait... Politique Quand le PDG de Total s'interrogeait sur "le modèle français" A l’approche de la rentrée, cinq personnalités nous livrent leur regard sur les sujets qui rythmeront l’actualité des semaines à venir. Emotion et stupeur après le décès de Christophe de Margerie Les hommages se multiplient après la mort du patron de Total.
Peut-on vraiment gérer l’e-réputation. Si certains proposent même de la « maitriser », il peut sembler de prime abord que « gérer » une perception et une forme d’évaluation souvent irrationnelle est difficilement faisable. Qui plus est lorsque l’on souhaite industrialiser cette gestion, au risque de passer à côté de nombreuses subtilités en privilégiant une approche court-termiste. Gérer quelque chose c’est le diriger dans le sens que l’on souhaite lui donner, avec une certaine souplesse (sinon on retombe dans l’idée de maitrise). Sur le web, l’on peut généralement gérer ses propres flux d’informations mais rarement ce que les autres en feront (les exemples de débordements sur des pages Facebook sont légions).
Ceci étant, il est intéressant de voir les éléments constitutifs de la réputation en ligne, avant de se questionner sur ce qu’une entreprise peut « gérer » ou non : Gérer l’e-réputation ce n’est pas faire (que) du CRM L’e-réputation n’est pas globale et évolue dans le temps Gérer des opinions : non… Mais les influencer ? Enjeux et mesure de l'e-réputation - AT Internet. Développement économique et social. Le développement économique nécessitant notamment de la création de richesses, on associe développement économique et « progrès », puisqu'il entraîne, généralement, une progression du niveau de vie des habitants. On parle alors d'amélioration du bien-être social (au sens économique). La volonté de concilier simple développement économique et progrès ou amélioration du bien-être a amené à forger, à côté des indicateurs de développement traditionnels (PNB, PIB), d'autres indicateurs, tels que l'indice de développement humain (IDH), qui prend en compte la santé, l'éducation, le respect des droits de l'homme (dont font partie, depuis 1966, les droits économiques et sociaux)[2].
Les paramètres économiques et sociaux pour la mesure du développement sont indiqués dans l'article « Pays en développement ». La différence entre croissance économique et développement social est mal perçue dans le grand public[3]. Le bien-être social doit être distingué de la production économique[4]. Notions. E-réputation. L'e-réputation, parfois appelée web-réputation, cyber-réputation, réputation numérique, sur le Web, sur Internet ou en ligne, est la réputation, l’opinion commune (informations, avis, échanges, commentaires, rumeurs…) sur le Web d'une entité (marque), personne morale (entreprise) ou physique (particulier), réelle (représentée par un nom ou un pseudonyme) ou imaginaire.
Elle correspond à l’identité de cette marque ou de cette personne associée à la perception que les internautes s'en font[1]. Le terme e-réputation est apparu en 2000 dans l'une des nombreuses études suisses-allemandes et américaines consacrées aux relations entre réputation du vendeur et performances des ventes sur les sites d'enchères en ligne[3]. En 2001, le terme e-réputation apparaît plus franchement sur un article titré « E-réputation et le management des marques »[4]. Selon le sociologue Antonio Casilli, la confiance numérique dépend principalement du niveau de sociabilité des acteurs concernés[10],[11],[12].