Anne Boring : « Pourquoi les filles sont-elles moins payées que les garçons ? » Tribune.
Les inégalités salariales persistantes entre femmes et hommes sur le marché du travail s’expliquent en grande partie par le choix des filières d’études lors de leur scolarité. Les inégalités salariales apparaissent en effet dès l’entrée sur le marché du travail. Le constat est le même pour les diplômés des grandes écoles. L’analyse des choix effectués par l’ensemble des étudiants inscrits dans le système universitaire français confirme que les femmes et les hommes ont tendance à faire des choix d’études assez différents. Les hommes sont davantage représentés dans les filières les plus rémunératrices, notamment les métiers liés aux sciences et à l’ingénierie. De nombreuses raisons permettent d’expliquer les différences de genre observées dans ces choix individuels. Comment les stéréotypes de genre influencent-ils ces différents éléments ? Ensuite, les économistes utilisent des méthodes expérimentales (expériences naturelles ou contrôlées).
Invention rediger un discours 2. Ce que l’on sait de l’affaire Baupin. Le député ex-EELV Denis Baupin est accusé d’agression sexuelle et de harcèlement sexuel.
Huit femmes ont témoigné sur France Inter et Mediapart début mai de ces faits qui se seraient déroulés entre 1998 et 2014. L’élu, figure importante du mouvement écologique, a démissionné lundi 9 mai de son poste de vice-président de l’Assemblée nationale, à la demande de Claude Bartolone, mais nie en bloc les accusations le visant. Lundi 30 mai, les deux médias ont publié cinq nouveaux témoignages qui mettent en cause l’élu. Voici ce que l’on sait de l’affaire. Six femmes accusent Denis Baupin à visage découvert pour des faits de harcèlement et d’agression sexuelle Sandrine Rousseau, porte-parole d’EELV, décrit une scène d’agression sexuelle qui aurait eu lieu en octobre 2011 : « Il m’a plaquée contre le mur en me tenant par la poitrine et a cherché à m’embrasser. »Elen Debost, adjointe à la mairie du Mans depuis 2014, dit avoir « reçu pendant plusieurs mois des SMS d’incitation sexuelle de M.
Montauban : prison avec sursis pour le gilet jaune qui avait écrit “flic suicidé, à moitié pardonné” sur sa camionnette. A la barre, ce vendredi matin, il parle "d'une bêtise non réfléchie".
André Rotch, 69 ans, comparaît ce vendredi devant le tribunal correctionnel de Montauban pour avoir apposé le slogan "flic suicidé à moitié pardonné" sur sa camionnette en avril dernier. Cet habitant de Caussade est poursuivi pour "outrage à personnes dépositaires de la force publique". Il encourt une peine d'un an de prison pour ce qu'il avait qualifié à l'époque de "boutade". Le président du tribunal n'est pas de cet avis. "C'est le procès de la bêtise" dit-il ce vendredi matin, "comme un mouton de panurge, vous avez repris un slogan". Agression de Bruno Wiel: le procès de l'homophobie. Passé à tabac, torturé et laissé pour mort un soir de 2006, Bruno Wiel a, pour la première fois mardi, revu le visage de ses quatre tortionnaires présumés qui comparaissent devant la cour d'assises du Val-de-Marne pour s'en être pris à lui parce qu'il était homosexuel.
Noircissant un petit calepin de notes, Bruno Wiel, 33 ans, n'a quasiment pas quitté du regard le box des accusés au premier jour d'un procès qui doit, selon des associations, être aussi celui de l'homophobie. "Il prend des notes parce qu'il a peur d'oublier, parce qu'il cherche son histoire", a commenté son avocate Me Sophie Maltet, rappelant que son client, silhouette fluette et fines lunettes, a perdu tout souvenir de son agression. "L'angoisse c'est d'avoir des flashs et que tout revienne, mais pour le moment cela ne s'est pas produit", a poursuivi l'avocate. Un crime homophobe? C'est dans la nuit 19 au 20 juillet 2006 que Bruno Wiel a croisé le chemin des accusés. Procès pour vol avec arme, enlèvement, séquestration et viol en réunion aux Assises de la Gironde - France 3 Nouvelle-Aquitaine. C’est un procès qui s’annonce difficile et complexe.
Lundi 9 septembre, deux hommes comparaissent devant la cour d’assises de la Gironde pour des accusations de viol en réunion, de vol en bande organisée avec arme, d’extorsion, d’enlèvement et de séquestration. Deux autres sont accusés de complicité de viol et les deux derniers de complicité de vol. Sous la menace Les faits remontent à la nuit du 17 au 18 juin 2016. Vers une heure du matin, trois des accusés s’introduisent par surprise et de force dans l’appartement de la victime, âgée de 18 ans. Après avoir été abandonnée près d’une voie ferrée, l’étudiante se dirige vers une route non loin de là.Recueillie par un automobiliste, elle rejoint aux environs de 3 heures du matin le commissariat central de Bordeaux pour y témoigner des horreurs subies.
Des motifs évasifs Cette affaire est-elle un règlement de compte ? Le procès va durer 8 jours, à huis clos. Elise Galand et Didier Bonnet étaient au tribunal : A Rennes, la relaxe d'un zadiste condamné à de la prison ferme. Maintenu en détention pendant quatre mois, un zadiste vient d’être relaxé en appel à Rennes.
Agé de 33 ans, «JB» (ainsi surnommé par les opposants à l’aéroport) avait été condamné à un an de prison ferme par le tribunal de Nantes le 17 mai dernier. Une décision assortie de six ans d’interdiction de séjour en Loire-Atlantique. «C’était une sanction extrêmement sévère» juge son avocat Me Stéphane Vallée, habitué de la défense de zadistes poursuivis en justice.
Procès des décrocheurs de portraits de Macron : “L'Etat veut nous intimider” Huit militants climatiques et un vidéaste comparaissaient mercredi 11 septembre devant le tribunal correctionnel de Paris pour “vol en réunion”, accusés d'avoir décroché des portraits d'Emmanuel Macron dans trois mairies de la capitale.
France Télécom : cinq moments marquants du procès des anciens dirigeants pour "harcèlement moral" De mai à juillet, des victimes et leurs proches se sont succédé à la barre pour décrire la brutalité de la politique de l'entreprise, à la période où dix-neuf employés se sont suicidés.
Le jugement est attendu vendredi 20 décembre. C'est une affaire devenue le symbole de la souffrance au travail qui doit trouver sa conclusion vendredi 20 décembre. Le blocage anti-migrants de militants d'extrême-droite dans les Alpes s'invite à l'Assemblée. Val-d'Oise: La famille d'Adama Traoré appelle à une marche historique contre les violences policières. La prison pour 52,60 euros de nourriture volée. «Cette affaire me rappelle les Misérables », s'indigne Yves, un internaute dijonnais.
La Cosette d'aujourd'hui est une jeune femme de vingt-sept ans, mère de trois jeunes enfants qui, la semaine dernière, a fréquenté les bancs de la justice bourguignonne pour un vol de nourriture de... 52,60 euros. Le verdict, pris en quelques minutes, fut sans pitié : un mois de prison ferme ! A Gap, le procès de sept militants accusés d’avoir « aidé » des migrants.