Guide des métiers pour les petites filles qui ne veulent pas finir princesses. Barbie princesse, Barbie et son charriot de ménage… C'est en feuilletant le catalogue "jouets" d'un grand magasin que Catherine Dufour a eu l'idée d'écrire un guide des métiers pour les petites filles, parce que "materner, c'est très bien, faire le ménage, c'est nécessaire, et s'habiller sexy peut être agréable, mais ce ne sont pas les trois seules façons pour une fille de gagner sa vie", précise l'auteur en préambule de son "Guide des métiers pour les petites filles qui ne veulent pas finir princesses".
Le livre de Catherine Dufour tombe à pic : aujourd'hui en France, moins d’un métier sur huit peut être considéré comme mixte. C'est le premier ministre lui-même qui le souligne, et c'est pour cette raison qu'il a décidé de faire de l'année 2014 l'année de la mixité hommes-femmes au travail. Objectif : faire qu'un tiers des métiers deviennent rééllement mixtes en 2025. La liste des possibles est infinie. Allaitement maternel: à l'occasion de la Semaine mondiale, qu'en disent les féministes françaises?
EGALITE HOMMES-FEMMES - "L'allaitement est aussi une servitude épuisante", écrivait dans Le Deuxième Sexe Simone de Beauvoir en 1949.
A cette époque déjà, l'allaitement maternel faisait débat au sein des communautés féministes. Fierté biologique ou contrainte allant à l'encontre de l'égalité hommes-femmes? En France et ailleurs, la question agite encore les féministes. A l'occasion de la Semaine mondiale de l'allaitement maternel qui débute ce 1er août, Le HuffPost fait le point. "Femmes contre le féminisme", pourquoi ce mouvement m'agace
Mercredi 30 juillet 2014.
Faut-il que ça soit un homme ? Je suis une fille depuis ma plus tendre enfance.
Si je réfléchis bien, ça date même de ma naissance. L’évidence s’est faite en ce fameux soir de mai 1983 : où un certain gynécologue, plongeant son regard expert sur mon entre-jambe, fut bien obligé d’admettre que le petit frère annoncé à mes parents depuis des mois était en fait… une petite sœur. On avait pensé que je serais un garçon, j’étais une fille. Et je m’en suis toujours bien sortie. Non pas « malgré tout » : tout s’est bien passé pour moi parce qu’au final, être une fille était une possibilité au moins aussi plausible et respectable que celle d’être un garçon. Voilà : est-il nécessaire que ce soit un garçon, de toute manière ?
Non : mes parents avaient choisi de me mettre au monde. Par exemple : quand il fallait désigner le capitaine de l’équipe de foot, à la récré. Et autour de moi, je le voyais : mon grand-père était Président, ma grand-mère était femme au foyer. Je posais la question. Ha bon. Et j’avançais, je construisais. [VI] Allaitement et féminisme. Ca fait quelques jours déjà que ma belle-soeur m’a envoyé ce super article du Pr.
Martine Erzog Evans intitulé : J’ai super envie de vous en parler, parce que je le trouve génial, et il résume très bien ce que je pense en matière de féminisme et de condition de la femme dans la société actuelle. Cet article fait 16 pages, il est très très complet, je pense donc vous en faire un résumé condensé auquel j’ajouterai mes commentaires. L’article commence fort, avec une citation : "L’allaitement est un truc que les hommes ont inventé pour e… les femmes", a un jour apparemment dit une femme. [...] un certain féminisme présente l’allaitement comme étant l’adversaire des femmes, celui qui les astreint à la maison.
J’en parlais un peu dans mon article "Féminisme au rabais", mon incompréhension est toujours totale face à ceux qui se réclament du féminisme tout en interdisant aux femmes d’user de leur condition de femmes comme bon leur semble. Le féminisme libéral. QU’EST-CE QU’ÊTRE FÉMINISTE AUJOURD’HUI ? Récemment, j’ai fait circuler sur Facebook un article intitulé Grandir en Allemagne, la (douce) vie des enfants de la naissance à 6 ans.
Sophie nous y fait part de son expérience de jeune maman en Allemagne, avec, au programme : accouchement en maison de naissance, suivi par une sage-femme & traitement naturel, allaitement encouragé, long congé parental, dévouement à l’enfant, respect de son autonomie, végétarisme, etc. En résumé, un peu l’inverse de ce qui se pratique en France depuis une trentaine d’années… S’en est suivi un débat assez animé. D’un côté, celles (désolé pour le féminin exclusif, je n’ai pas vu un seul homme prendre la parole) qui louaient les bienfaits du modèle allemand, son côté ‘naturel’, l’accent mis sur le bien-être de l’enfant et, surtout, le respect de la parentalité (facilitée notamment par d’importants congés parentaux – 14 mois à se partager entre le père & la mère). Je ne vais pas ici discuter du statut de l’enfant (un autre article ?) La femme Barbara Gould.