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Déterminer ses objectifs

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Arbre des objectifs. Arbre des objectifs (Exemple) Afin d'identifier la meilleur voie, il faut prendre en considération les points suivants: Quels éléments rentrent dans notre sphère d’influence et quels sont ceux qui nous échappent?

Arbre des objectifs (Exemple)

Les coûts sont-ils en rapport avec l’effet visé? Quels sont les préalables à une réalisation performante? Quels sont les risques? Quelle est leur probabilité d’apparition? Une intervention devrait être aussi efficace que possible et le coût de sa réalisation devrait être proportionnel au bienfait apporté. D finitions : Arbre des objectifs - Goal Tree (GT) Dans la théorie des contraintes (TOC), le But est la raison d'être du système, ce pour quoi il a été créé.

D finitions : Arbre des objectifs - Goal Tree (GT)

L'arbre des objectifs permet de représenter graphiquement cet objectif, puis les facteurs clefs de succès (FCS) qui permettent de rendre possible l'atteinte du But. Pour chaque FCS sont ensuite définies les conditions nécessaires pour détenir le facteur clef de succès. Arbre des objectifs Définition précédente : Arbre des causes d'Ishikawa | Définition suivante : Arbre des prérequis | Page d'accueil : Définitions Auteur : Qualité Management | Une suggestion à nous faire ? Ferrero : « Facebook n’a jamais été là pour le reach, mais pour la conversation. »

Objectifs clics ? (article et exemples des médias « Pute à cliques »  sur Fier Panda) Narines aux vents, l’écharpe autour du cou, je commence ma journée pianotant avec dextérité sur mon smartphone, avant de m’engouffrer dans une bouche de métro où les odeurs corporelles caramélisées succèdent à celles des pots d’échappement.

Objectifs clics ? (article et exemples des médias « Pute à cliques »  sur Fier Panda)

Cette déplaisante, mais ô combien quotidienne, expérience olfactive fait écho à mes pérégrinations sur Facebook ces derniers temps. Je suis saturé de publications qui semblent avoir été écrites pour aspirer les cliques. Le Clickbait plus trivialement appelé « putes à cliques » perclus dorénavant nos balades sur Facebook. C’est à dire qu’il faut générer de l’engagement, ou du trafic sur le site, et que l’on sait qu’une paire de loch, du chaton ou une phrase du type « INCROYABLE, vous nen reviendrai pas de se qu’il va adveunir » a tendance à susciter la curiosité.

C’est un peu pénible. Les articles de Vice sont également vertueux. La Buzzfeedification est l’équivalent de l’ubérisation pour la presse. Like si té triste, partage si tu veux lécher c larmes. Le social média ne fait pas vendre. L’étude que Forrester vient de livrer, portant sur pas moins de 77 000 achats en ligne, apporte à la fois des confirmations et des précisions éclairantes sur les chemins de conversion. 1.

Le social média ne fait pas vendre

Search marketing et e-mailing sont et demeurent les deux meilleurs leviers de conversion Malgré la percée de nouveaux formats comme le mobile et le social média, les deux grands leviers restent indétrônables années après années. - 40 % des nouveaux clients viennent du référencement naturel ou des liens sponsorisés, majoritairement (27%) sans même aucune interaction avec d’autres leviers - l’e-mailing est quant à lui leader pour faire venir des clients qui ont déjà acheté (fidélisation). 30 % de ces clients sont revenus après avoir vu une offre sur un e-mail envoyé par un marchand. Attention, il s’agit de courriers électroniques de fidélisation, et non des locations de base. 2. l’importance des visites en direct sur le site 3. le social média est à la peine.