Portraits de quelques figures importantes de la musique éthiopienne moderne urbaine. 2006policeorchestra-early70s Source: Falceto, Francis. – Abyssinie Swing.
A Pictorial History of Modern Ethiopian Music. Images de la musique éthiopienne moderne. 1. Tezeta 12:29 Mahmoud Ahmed Ethiopiques 19 2. Riff Led Zep-Whole Lotta Love 3:19 Harar (Police ?) 8. 9. Ce vendredi, nous vous présentons la dernière partie de notre trilogie éthiopienne. Mulatu Astatke et Duke Ellington Source: Falceto, Francis. – Abyssinie Swing. Françis Falceto dont le travail d’archivage et de collecte continue d’être une source d’inspiration pour des centaines de formations autour du monde, partagera avec nous sa passion contagieuse et érudite pour l’Éthiopie. Éthiopiques (musique) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Éthiopiques est une série totale d'une trentaine de disques compacts dédiés aux chanteurs et musiciens de musique éthiopienne et érythréenne des années 1960 aux années 2000. Ils sont édités par le label français de Buda Musique et regroupent l'essentiel des disques de l'Éthio-jazz des années 1970 avec des artistes majeurs comme Mahmoud Ahmed ou Mulatu Astatke. Francis Falceto et le label Buda Musique décident en 1996 d'acquérir les droits et de rééditer les enregistrements des majors éthiopiennes Amha Records, Kaifa Records, et Philips-Ethiopia publiés dans les années 1960 et 70 en Éthiopie. Parmi les artistes d'Éthiopiques peuvent être cités : Alèmayèhu Eshèté, Asnatqètch Wèrqu, Mahmoud Ahmed, Mulatu Astatke, et Tilahun Gessesse.
Certains disques concernent cependant des enregistrements actuels. 822662 Ethiopiques #17. Francis Falceto. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Francis Falceto est un musicographe et producteur de musique français, spécialiste des musiques du monde et en particulier de la musique éthiopienne qu'il a contribuer à diffuser à l'international à partir de 1986[1],[2]. Biographie[modifier | modifier le code] Francis Falceto propose également à Lili Boniche de réaliser un retour sur scène au début des années 1990 et deviendra son impressario[8].
Prix et distinctions[modifier | modifier le code] 2008 : World Music Award de la BBC[5],[2]2011 : Professionnal Excellence Award du Womex[4],[9] Ouvrages[modifier | modifier le code] (en)/(fr) Abyssinie Swing: A Pictorial History of Modern Ethiopian Music - Images de la musique éthiopienne moderne, Francis Falceto, éditions Shama Books, 2001 (ISBN 978-1-931253-09-3).Les Nuits d'Addis-Abeba, Sebhat Gebre Egziabhér trad. L'Éthiopie contemporaine.
ETHIO-JAZZ. Ethiopian Jazz Music. Éthio-jazz. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Historique[modifier | modifier le code] L'éthio-jazz est né dans les bars d'Addis-Abeba sous les influences du jazz et de la musique traditionnelle éthiopienne dite azmari, de la musique latine, de la pop music anglo-américaine. L'influence du musicien d'origine arménienne Nersès Nalbandian (1915-1977) fut aussi très importante pour l'essor de la musique éthiopienne moderne[1]. De nombreux groupes officiels, alors seuls autorisés à jouer par le gouvernement, tels que l'Orchestre de la Garde impériale, le Police Orchestra, l'Alèm-Girma Band, ou le Ras Hotel Band développeront sur une période de 15 ans cette musique avec le soutien de Philips Ethiopia. Parmi les plus grands succès nationaux et internationaux de l'éthio-jazz, se trouve l'album Erè Mèla Mèla de Mahmoud Ahmed[2] publié en 1975. Ethiopia’s revolutionary sixties « African Music Treasures.
Over the last ten years, thanks largely to the herculean efforts of French researcher Francis Falceto (he’s the man behind the Ethiopiques CD series released by Buda Musique: each of the twenty-three volumes so far released are essential listening), curious music lovers have discovered the glories of 1970s ‘Ethiopian Groove’, a potent brew of traditional rhythms, brilliant arrangements, swinging horns and soulful vocals.
These stirring recordings from the 1970s were the fruit of a decade of musical innovation. This new style of music was nurtured by two of the country’s great musical incubators, the Police Orchestra and Emperor Haile Selassie’s Imperial Bodyguard Band: these ensembles, like all music ensembles in Ethiopia at the time, were controlled by the government. The greatest singers, and musicians, of the 1970s-Tlahoun Gessesse, Mahmoud Ahmed, Bzunesh Beqele, to name just three-honed their skills through thousands of performances with these ensembles.