Production vidéo Québec Émeute de la St-Jean Baptiste à Québec 1994. Le HENRI BAND et La Légende des Pitcheuses de Roches de St-André. Fête de la St Jean Baptiste à Montréal. Saint jean baptiste. Saint jean baptiste. Saint jean baptiste. Saintjean. Quelles leçons tirer des patriotes de 1837-38? C’est aujourd’hui la Journée nationale des patriotes, décrétée par Bernard Landry en 2002.
Leur histoire fut longtemps inconnue, car on ne l’enseignait pas dans nos écoles dans les cours d’histoire du Canada. Il est vrai qu’avant la création du ministère de l’Éducation dans les années 60, le contenu de ce que l’on enseignait était décidé par l’Église. Souvenons-nous que pour protéger ses privilèges, le clergé avait condamné les patriotes. Heureusement, nous connaissons mieux aujourd’hui l’histoire des patriotes. Le gouvernement responsable Les patriotes se battaient pour que les élus prennent les décisions sans être assujettis à la Couronne britannique. Les Fils de la Liberté attaqués par le Doric Club [Montréal, 1837] Les Patriotes de 1837@1838. Montréal honore les Patriotes de 37-38 [1926] Action catholique, 26 juin 1926 LA METROPOLE HONORE LES PATRIOTES DE 37-38 Le dévoilement du monument érigé à la mémoire de ces héros donne lieu à une grande démonstration patriotique – Discours de l’hon.
N. Pérodeau et de l’hon. A. David. – La fête nationale. – Elle est célébrée avec éclat. S’ensuit une description de la parade de la Saint-Jean-Baptiste. Pour en savoir plus sur le monument aux Patriotes, oeuvre d’Alfred Laliberté: L’art public à Montréal, collection municipale (site internet de la ville de Montréal). Billets reliés Pendaison de cinq Patriotes [Montréal, 15 février 1839] Déportation des Patriotes aux Bermudes [juillet 1838] Dr Wolfred Nelson, 1848 par Théophile Hamel Extrait du journal l’Ami du Peuple, de l’ordre et des lois du 4 juillet 1838 racontant le départ de huit Patriotes, soit le major Toussaint-Hubert Goddu , Siméon Marchesseault , le Dr Henri-Alphonse Gauvin, le Dr Wolfred Nelson , Robert-Shore-Milnes Bouchette , Bonaventure Viger , Rodolphe Des Rivières et le Dr Luc-Hyacinthe Masson condamnés à l’exil aux Bermudes pour leur rôle dans la rébellion au Bas-Canada.
DEPART DES PRISONNIERS – POISSON D’AVRIL EN JUILLET Lundi après-midi, les huit prisonniers politiques ont été embarqués à bord du bateau à vapeur l’Aigle, pour être conduits à Québec et de là à la Bermude, où ils sont exilés. L’autorité craignait sans doute quelque trouble ou quelque démonstration bruyante et peu convenable, car elle a pris les moyens d’écarter la foule au moment de leur départ. Le moyen employé nous semble un peu singulier. Les Patriotes purent quitter les Bermudes en novembre 1838. Billets reliés WordPress: Pendaison des patriotes Cardinal et Duquette [21 décembre 1838] Pendaison de cinq Patriotes [Montréal, 15 février 1839] Dès sa fondation, la Saint-Jean est la fête nationale de tous les Québécois. Tandis qu’Anglais, Écossais, Irlandais et Allemands du Bas-Canada s’organisent d’abord en sociétés nationales sur une base ethnique, les premières célébrations de la Saint-Jean-Baptiste sont, au contraire et dès le départ, ouvertes aux représentants de toutes les communautés, prémices à ce qui allait devenir la fête nationale des Québécois.
Ces sociétés nationales qui se forment spontanément au Bas-Canada à l’époque des patriotes sont à la base des clubs pour l’élite économique destinés à secourir les ressortissants de leurs communautés respectives. Les Anglais s’organisent les premiers. Reprenant le nom de leur saint patron, ils créent la St-George’s Society of Montreal en décembre 1834, présidée tour à tour par George Moffat et John Molson fils.
La charte de la société dit bien que ses membres doivent absolument être d’origine anglaise ou galloise. Les Écossais s’unissent à leur tour, le 6 février suivant. La première Saint-Jean Décidément, le passé est bien garant de l’avenir. Fête nationale du Québec. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Cette date est d'abord celle de la fête religieuse célébrant Jean le Baptiste qui s'est plus tard imposée comme fête nationale des Canadiens français, qu'on appelait alors « canadiens », dans le premier tiers du XIXe siècle. Reconnue jour férié par la province de Québec dans les années 1920, le gouvernement souverainiste du Parti québécois l'a déclarée « fête nationale du Québec » en 1977. Depuis 1984, le Mouvement national des Québécoises et Québécois est officiellement responsable de la coordination des festivités qui se déroulent les 23 et 24 juin de chaque année. Origines[modifier | modifier le code] Chez les païens, le solstice d'été qui, selon le calendrier julien, tombait le 24 juin, était célébré par des feux de nuit (voir le Collier des Brísingar) symbolisant la puissance fertilisante du soleil, ces feux de joie demeurant encore aujourd'hui le symbole le plus ancien de la fête[2] .
Saint Jean Baptiste Montreal 1867. St Jean!042. Saint jean22.