Rethink What You “Know” About High-Achieving Women. As researchers who have spent more than 20 years studying professional women, we have watched with interest the recent surge in attention paid to women’s careers, work-family conflict, and the gender gap in leadership.
Among the most visible contributions to this public conversation have been Anne-Marie Slaughter’s 2012 Atlantic article “Why Women Still Can’t Have it All” and Sheryl Sandberg’s book Lean In, both of which ignited fierce public debate. A lot of ink has been spilled on these topics, and both individuals and organizations have focused on gender gaps in business and other sectors. Can anything more be said? The 50th anniversary of the admission of women to Harvard Business School’s MBA program inspired us to find out—specifically, to learn what HBS graduates had to say about work and family and how their experiences, attitudes, and decisions might shed light on prevailing controversies.
We trained our analytical lens on these graduates for two reasons. Are Women Opting Out? Société. Nous avons brûlé nos soutifs, pourquoi ne pas brûler nos talons ? Alors qu’au Royaume-Uni une réceptionniste fraîchement embauchée a été licenciée parce qu’elle refusait de porter des talons hauts, une Américaine signe un texte dans The New Yorker pour dire son ras-le-bol des chaussures à talons, qu’elle a pourtant portées pendant des décennies.
Nicola Thorp a 27 ans. A son premier jour de travail dans l’entreprise PwC, à Londres, on lui a demandé de porter des talons de 5 à 10 cm. Ce qu’elle a refusé de faire. Résultat, elle a dû quitter son travail, rapporte la BBC. Comme en écho à cette actualité, The New Yorker publie un texte de Mary Karr sur les talons. Mary Karr s’interroge : “Donner ces talons, n’est-ce pas perpétuer la souffrance auprès de mes sœurs d’armes –et de pieds?” Esclave du désir Elle se souvient alors des pieds sublimes avec lesquels elle est entrée dans l’âge adulte, qui lui ont même valu d’être “mannequin pied” pour une paire de sandales. “J’étais esclave de ce désir qui régit notre culture libidinale.
« Théorie du genre », dix liens pour comprendre. Ce qui existe, ce sont les « gender studies », venues des Etats-Unis.
Un champ d'études universitaires né dans les années 1960, en parallèle du développement du féminisme. Son propos : étudier la manière dont la société associe des rôles à chaque sexe. Exemples : « pourquoi les hommes font moins le ménage », « pourquoi une femme mécanicienne ou un homme sage-femme paraissent insolites », etc. L'un des postulats de ces études était de distinguer le « genre », la construction sociale (les filles aiment le rose, les garçons le bleu) du sexe physique.
D'où le recours croissant à l'utilisation du terme « genre », par exemple pour dénoncer les « stéréotypes de genre ». Ce qui n'existe pas : Mais il n'y a pas de « théorie » au sens idéologique ou scientifique du terme, pas de programme secret ou caché visant à « manipuler » les enfants. 2. >> Lire : Cinq intox autour de la « théorie du genre » 3. >> Lire : que sont les ABCD de l'égalité ?
4. Violences faites aux femmes : une chronologie en dix dates avec Benoîte Groult. "Ce qu’il y a de curieux, c’est cette espèce de complot tacite qui a toujours admis que la femme était l’esclave de l’homme...
" En 1976, la militante féministe et écrivain Benoîte Groult, disparue en juin 2016, était reçue sur France Culture, au micro de Jacques Paugam pour s'exprimer sur la violence faite aux femmes. Dans cet entretien, l'auteur d'Ainsi soit-elle (1975), forte de sa culture sur le sujet, tissait une sorte de chronologie de la violence subie par les femmes depuis l'Antiquité. En complément de cette archive sonore, redécouvrez ces annales de l'oppression en 10 citations, enrichies de quelques précisions historiques, en ce 8 mars, Journée internationale des droits de la femme.
Depuis toujours, que ce soient les mutilations physiques, les pieds bandés en Chine, les femmes girafes en Birmanie, les négresses à plateau…(…) on a essayé de maintenir les femmes dans un état d’infériorité, de demi-humanité. Écouter 24 min Durée : 24 min 1 - En l'an 343 av. Rethink What You “Know” About High-Achieving Women. Court-circuit - Spécial "Bizarre ta mère" Pacifique Court métrage de Bertrand Dezoteux, 26 minutes, inédit Simon, 20 ans, essaye de résister à un amour maternel un peu étouffant mais tellement bienveillant qu'il ne peut s'émanciper.
Zoom – Pacifique.