Enquête. État islamique : comment tout a commencé. Grâce au témoignage inédit d’un djihadiste de la première heure, Foreign Policy a pu retracer très précisément la manière dont Abou Bakr Al-Baghdadi a fondé le groupe qui allait devenir l’organisation terroriste la plus redoutée du monde.
Depuis sa création, tout ce que nous savons de l’État islamique (EI) nous vient de témoignages de ses ennemis. Son histoire nous a été racontée par ses adversaires qui le combattent en Irak et en Syrie, des civils traumatisés qui ont échappé à sa loi barbare, et quelques rares transfuges. Voilà qui est sur le point de changer, grâce au récit du Syrien Abou Ahmad [nom d’emprunt], membre de l’EI, qui était aux premières loges pour assister à l’ascension fulgurante de l’organisation terroriste et a côtoyé pendant plusieurs mois ses combattants étrangers les plus notoires. Abou Ahmad n’a jamais hésité un instant à soutenir l’insurrection syrienne. Antoine Leiris, auteur de "Vous n'aurez pas ma haine"
La fuite en avant de Poutine. André Orléan : "Évoquer le négationnisme pour parler des hétérodoxes est violent" Marianne : Dans une tribune publiée sur le site d'Alternative économique, vous écrivez au sujet de l'ouvrage de vos confrères Pierre Cahuc et André Zylberberg, Le négationnisme économique et comment s'en débarrasser, que "ce livre n’éclaire pas ; il obscurcit et déforme sciemment".
Pourquoi ? Ce livre est un livre à tiroirs. Il y a au départ une thèse proposée qui semble être l'objet du livre. LinkedIn. La démocratie aux champs. Tandis que des initiatives agricoles telles que les amap tentent de rétablir le lien entre paysans et consommateurs, Joëlle Zask, professeure de philosophie politique à l’université d’Aix-Marseille, témoigne des valeurs démocratiques portées par une forme singulière d’agriculture : les jardins communautaires.
La nouvelle servitude volontaire. Enquête sur le projet politique de la Silicon Valley - FYP Editions - Editeur indépendant. Prospective et questions de société. La nouvelle servitude volontaire.
Enquête sur le projet politique de la Silicon Valley de Philippe Vion-Dury en librairie le 12 octobre 2016. Bill Gates says that capitalism cannot save us from climate change. The world’s richest man, Bill Gates, has said that the private sector is too selfish and inefficient to produce effective energy alternatives to fossil fuels.
While announcing his plan to spend $2 billion of his own wealth on green energy during an interview with The Atlantic, the Microsoft founder called on fellow billionaires to help make the US fossil-free by 2050 with similar philanthropy. He said: There’s no fortune to be made. Even if you have a new energy source that costs the same as today’s and emits no CO2, it will be uncertain compared with what’s tried-and-true and already operating at unbelievable scale and has gotten through all the regulatory problems.Without a substantial carbon tax, there’s no incentive for innovators or plant buyers to switch.Since World War II, US-government R&D has defined the state of the art in almost every area.
Trump’s Proposals Won’t Help The White Working Class — Or The Urban Poor. This is In Real Terms, a weekly column analyzing the latest economic news.
Comments? Criticisms? Ideas for future columns? Face à la dictature de l'UE: vous avez dit... "révolution"!?? Le néolibéralisme est un fascisme. Philippe Légé : « L'État est coupable de n'avoir rien fait pour Alstom. Philippe Légé est maître de conférence en économie à l’université de Picardie, membre de l’Association française d’économie politique (AFEP), et du collectif des Économistes atterrés.
Quel récit collectif ? Grillons les feux rouges ! Et si la circulation des vélos s'apparentait à celle des piétons ?
En tout cas, la tolérance faite aux vélos signifie que la place des modes de circulation dans l'espace public qu'est la rue doit être renégociée. Les voyez-vous ces cyclistes, serpenter sur leur vélo, hésiter, regarder de droite de gauche et, finalement, d’un coup de pédale assuré, griller les feux rouges et passer les stops ? « Nous avons oublié l’intelligence du travail » Percutée par la révolution digitale et la robotisation, l’entreprise vit une crise de ses modes de production et de management.
Mais il ne suffit pas de changer sa gouvernance, explique Pierre-Yves Gomez, qui publie L’intelligence du travail. Pour l’auteur, la clé réside dans la place qu’il faut donner au travail et au travailleur gouverné par ses désirs infinis de consommateur. Les entreprises sont dans une situation paradoxale.
Episode inside ceta. Eric Guéguen, de la misère du matérialisme - Agoravox TV. @JL"Les croyants autant que les athées se pressent dans les temples de la consommation, et rêvent de belles maisons, belles bagnoles et bonne bouffe" Vous faites là une généralité qui prétend réfuter l’affirmation selon laquelle "l’âme humaine et la spiritualité sont les véritables antidotes au monde marchand".
Energie : la transition est là, il faut l’accélérer. L’Agence internationale de l’énergie (AIE) a publié aujourd'hui son rapport prospectif annuel, le World Energy Outlook. A trois jours de la fin de la COP 22, son message aux dirigeants de la planète est clair : poussée par le boom des renouvelables, la transition énergétique est désormais une réalité, mais son rythme est beaucoup trop lent pour contenir le réchauffement. Il faut donc accélérer les investissements pour la transition bas carbone, les deux tiers des émissions de gaz à effet de serre étant liées à la combustion de l’énergie. La transition énergétique est là. Entre gains d’efficacité énergétiques et progrès rapides des renouvelables (que l’AIE a systématiquement sous-estimés par le passé, voir graphique), la folle progression des émissions de CO2, au rythme moyen de 2,4 % par an depuis 2000, est pratiquement stoppée depuis 2015.
Zygmunt Bauman et la société liquide. Philippe Légé : « L'État est coupable de n'avoir rien fait pour Alstom.