Les Françaises dépensent en moyenne 30 euros par mois en maquillage - L'Express Styles. Les Françaises sont coquettes et la moitié d'entre elles ont adopté blush, eyeliner et rouge à lèvres, dans leur rituel beauté quotidien.
Pourtant, pour 84% des femmes interrogées, le budget maquillage ne dépasse pas les 30 euros par mois, -une tendance accrue par la crise- dévoile une récente étude menée par BVA pour Intermarché. Et tandis qu'un quart des femmes avouent acheter la plupart de leurs produits de maquillage en grande surface -une aubaine pour le groupe de grande distribution qui s'est récemment lancé dans le monde de la beauté, avec sa propre ligne de cosmétiques à petits prix, Labell Paris- 45% des Françaises se laissent séduire par la présentation du produit en rayon. Elles sont presque autant à faire attention à sa composition, son prix et la réputation de la marque. Et vous, quel budget consacrez-vous au maquillage chaque mois? Avez-vous modifié vos habitudes à cause de la crise? Quel poids pour l'industrie de la beauté en France ?
France : Parfums et maquillage soutiennent le marché sélectif. « Cette fois encore, le marché français de la beauté montre qu’il résiste dans un contexte économique difficile, » souligne The NPD Group.
Selon la société d’études de marché, les ventes de cosmétiques sélectifs affichent un recul de -0,6% en 2014 (contre -0,9% en 2013), soit un chiffre d’affaire total de près de 2,9 milliards d’euros. Deux semestres contrastés L’année a été marquée par deux grandes phases. D’abord une récession marquée sur le premier semestre (-1,5%), puis un rebond des ventes à partir du mois d’août, grâce à un retournement de tendances sur les parfums et le maquillage permettant au second semestre de se clore sur une progression de 0,1%, en dépit d’un mois de décembre cette année encore en retrait. Les parfums tirent le marché Ce sont les parfums, la principale catégorie de la beauté sélective (2/3 des ventes en valeur), qui tirent le marché, avec une progression des ventes de +0,2% en valeur sur l’ensemble de l’année 2014. Infographies-L’Oréal Groupe.
Analyse du secteur du marché des cosmétiques. Le cross canal pour revaloriser les cosmétiques. Ce qui donne, si l’on calcule, un CA total de 1,4 milliard d’euros pour les GSA.
On peut donc considérer que Xerfi prend en compte une définition de cosmétiques au sens de produits de beauté. Et non d’hygiène, ni même de capillaire. Selon l’étude, ce marché est épargné par les arbitrages des ménages. Avec un panier moyen de 125 euros par personne en moyenne en 2013, il n’est pas soumis à la pression qui pèse sur la consommation. De même, les cosmétiques, au sens où l’entend Xerfi, ne sont pas soumis au phénomène de consommation collaborative. La valeur en berne Cependant, selon Xerfi, il se dévalorise. . « En clair, établie Xerfi, les distributeurs se sont adaptés à l’évolution de la demande, et en particulier à la propension des consommateurs à descendre en gamme, à acheter des produits moins chers. » Ce foisonnement d’offres à bas coûts auraient pu être fatal aux parfumeries, en général positionnées premium.
Harris Interactive France. News Quel est aujourd’hui le parcours d’achat du consommateur ?
Illustration par une étude Harris Interactive, réalisée sur le secteur de l’hygiène beauté, visant à décrypter les nouveaux enjeux pour les marques et enseignes et présentée le 15 octobre 2013 dans le cadre des Harris Cafés. Blogs consommateurs, e-commerce, émergence des marques enseignes, montée du digital in-store, réorganisation des linéaires : des premiers points de contact à l’acte d’achat, comment le consommateur, de plus en plus « zappeur » et « connecté », fait-il son choix ? Notre étude, réalisée auprès d’hommes et de femmes sur différentes catégories de produits cosmétiques, nous a permis de mesurer le poids des différents circuits aujourd’hui et de réaliser une typologie des principaux comportements d’achats.
Les 4 profils de shoppers beauté. Popai France, l’association des professionnels du marketing sur le point de vente, a fait réaliser une étude sur les consommateurs d’hygiène-beauté.
Menée par le cabinet Sens’O, le premier volet était consacré au parcours d’achat beauté. La deuxième partie dévoilée par Popai est centrée sur le profil des shoppers beautés. L’étude a permis d’en identifier quatre différents : les fans du point de vente, les digitaux pragmatiques, les fans du multicanal et les shoppers opportunistes. La moitié privilégie l’efficacité de son parcours (digitaux pragmatiques et shoppers multicanal), l’autre moitié recherche plus une expérience globale (fans du point de vente et shoppers opportunistes). 60% des acheteurs (digitaux pragmatiques et fans du point de vente) vont surtout rechercher le bon rapport qualité/prix. Les autres prennent plus de temps pour leurs achats et se disent plus influençables (shoppers multicanaux et shoppers opportunistes). Voici les fiches d'identités des différents shoppers : 1.