Diaporama Noël Uguen Barcamp Nancy. Programme du Barcamp de l'Université de Lorraine sur le "créacollage" du 4 au 6 07/2018. " Littératies et créacollage numérique" Language and Literacy Volume 18, Issue 2, 2016 Page 62 Littératies et créacollage numérique MARTINE PETERS, SYLVIE GERVAIS Université du Québec en Outaouais. Schéma tiré de l'artice M Peters sur le creacollage. Le fin mot : créacollage numérique. Enseigner les stratégies de créacollage numérique pour contrer le plagiat.
La professeure Martine Peters, du Département des sciences de l’éducation, vient de recevoir un prix remis par la Revue canadienne de l’éducation (RCÉ) pour son article Enseigner les stratégies de créacollage numérique pour éviter le plagiat au secondaire qui a été choisi comme étant le meilleur parmi les 32 articles publiés en français par la Revue canadienne de l’éducation dans les volumes 38 et 39.
Selon Martine Peters, les stratégies de créacollage numérique sont des actions cognitives de traitement et d’exécution que les étudiants mobilisent en utilisant des outils numériques pour exercer leurs compétences informationnelles et leurs compétences rédactionnelles. Le terme créacollage numérique a fait l’objet d’un Fin mot dans le numéro de février 2017 Perspectives du SSF. Le copier/coller/citer fait partie des stratégies de créacollage numérique à enseigner, car copier/coller sans citer comporte un réel potentiel de dérive vers le plagiat.
Source – UQuébec. Les formations dans les bibliothèques scientifiques et médicales de Sorbonne Université. La translittératie est une notion, un concept, une démarche d’apprentissage non encore stabilisée, sur laquelle la recherche française réfléchit et publie depuis plus de cinq ans.
D’un point de vue étymologique, la translittératie est le « passage d’un système d’écriture à un autre » (Delamotte, Liquète, Frau-Meigs, 2014) mais est traversée par plusieurs courants. De l'EMI à la translittératie : sortir de notre littératie ? Éduquer les jeunes aux images, un enjeu de citoyenneté. Esprit critique et information : de l'élève au citoyen. A l’occasion de la journée académique des professeurs-documentalistes du 6 décembre 2016 autour de la désinformation, des ressources et supports sont mis à disposition.
Ainsi, vous trouverez : *La liste des ouvrages proposés par la Librairie Colbert à la journée académique, qui est disponible dans la rubrique "colloques" de leur site. *Les interviews vidéos des deux conférenciers du matin et des intervenants en table ronde de l’après-midi. *Le diaporama de chacun des deux conférenciers du matin : Celui de F.B. Désinformation, les armes du faux Celui d’O.Chenevez sur la démarche d’enquête. Quand la lecture devient écriture. Quand la lecture devient écriture : doit-on apprendre à éditorialiser un parcours de lecture ?
Ce travail, réalisé dans le cadre des traams Toulouse et présenté sous forme de storify, a pour objectif de proposer une synthèse des réflexions de ces cinq dernières années autour de la méthode du document de collecte. Voici le storify qui présente une réflexion sur la question : Depot institutionnel. Bélanger, Charlène (2018). « Apprendre à exploiter les sources informationnelles expertes et médiatisées dans l'argumentation socioscientifique au secondaire » Thèse.
Montréal (Québec, Canada), Université du Québec à Montréal, Doctorat en éducation. Fichier(s) associé(s) à ce document : Résumé Cette recherche doctorale se veut un apport aux réflexions dans le champ de l'éducation scientifique à propos du type de formation qui doit être offert aux élèves pour les préparer à affronter des problèmes socioscientifiques. L’éducation aux médias est-elle nécessaire ? A quelles conditions ? / E-dossier de l'audiovisuel : qu’enseigne l’image ? qu’enseigner par l’image ? Divina Frau-Meigs, normalienne, agrégée.
Boursière Fulbright et Lavoisier, elle est diplômée de l’université de la Sorbonne, de l’université de Stanford (Palo Alto) et de l’Annenberg School for Communications (université de Pennsylvanie à Philadelphie). Sociologue des médias, elle est spécialiste des contenus et comportements à risque (violence, pornographie, information, paniques médiatiques,…) ainsi que de questions de réception et d’usage des technologies de l’information et de la communication (acculturation, éducation, réglementation,…). Elle est professeur à l’université Sorbonne nouvelle ( Voir ) Au tournant du troisième millénaire, après des années de travail pionnier aux marges, l’éducation aux médias a finalement attiré l’attention des décideurs. Elle a le vent en poupe parmi les membres des trois secteurs, public, privé et civique. Quand la lecture devient écriture. Quand la lecture devient écriture : doit-on apprendre à éditorialiser un parcours de lecture ?
Ce travail, réalisé dans le cadre des traams Toulouse et présenté sous forme de storify, a pour objectif de proposer une synthèse des réflexions de ces cinq dernières années autour de la méthode du document de collecte. Voici le storify qui présente une réflexion sur la question : En réinterrogeant la notion de document de collecte, nous avons cherché à relier nos questionnements autour de la lecture sur support numérique, des liens entre veille, lecture, et editorialisation. Qu’est-ce qu’un document de collecte ? C’est un document secondaire. Le terme nous a été donné par Nicole Boubée, chercheuse en SIC, dès 2008 pour qualifier l’activité informelle des élèves qui constitue à empiler les copiés-collés sur un traitement de texte lors d’une recherche d’informations.
Document 1 Le plagiat universitaire, seulement une question d’éthique ? 1 Au sein du département dans lequel j’exerçais, cet épisode a été le début d’une réflexion sur les m (...) 1Tout universitaire ayant quelques années d’expérience a déjà été confronté à des cas de plagiat étudiant.
En 2005, un collègue et moi avons reçu pour un entretien une étudiante dont le mémoire de master – qu’il avait dirigé et dont je devais être examinatrice – n’était qu’une compilation d’écrits non référencés qu’elle avait tirés du web. Simonnot CahiersDEsquisse2014n4. Canet Florence. SP1310 md. Du performatif à la performance.
L’abondance des théories sur la performativité et les polémiques qu’elles suscitent peuvent rapidement se transformer en casse-tête1.
Plusieurs idées, notions, conceptions – souvent divergentes – ont été proposées à ce sujet, dans plusieurs domaines et sous l’égide de plusieurs écoles, laissant à celui ou celle qui veut réfléchir et articuler ces concepts d’innombrables et d’incontournables questions. Qu’ont réellement en commun l’énonciation performative, le performatif, la gender performativity, la performance sportive, les performance studies, la représentation théâtrale et les arts de performance ?
Assez peu de choses en effet, sinon un ensemble d’échos et de réinterprétations. Jonathan Culler, dans « Philosophy and Literature : The Fortunes of the Performative2 » (2000), et J. Hillis Miller, dans « Performativity as Performance3 » (2007), ont chacun à leur tour et à leur manière fait l’histoire de ces concepts tout en montrant la complexité d’une telle entreprise. 13 Voir John R. Simonnot2016 VF version auteur. Cultures numériques.