Les secteurs porteurs en Nouvelle-Zélande. Économie de la Nouvelle-Zélande. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’économie de la Nouvelle-Zélande, pays développé prospère, repose essentiellement sur le secteur tertiaire notamment le tourisme (on a recensé plus de 2 millions de touristes en 2012[1]) même si le secteur primaire, via l'agriculture et le secteur minier, y joue un rôle plus important que dans les autres pays développés. Le pays est fortement dépendant du commerce international, notamment avec l'Australie, l'Union européenne, les États-Unis, la Chine, la Corée du Sud et le Japon.
Les réformes de libéralisation des dernières décennies ont supprimé les barrières empêchant l'investissement étranger. En 2005, la Banque mondiale déclare que la Nouvelle-Zélande est le pays le plus accueillant pour faire des affaires, avant Singapour[2],[3]. Le pays est la 64e puissance économique mondiale selon la Central Intelligence Agency en 2012[4]. Historique[modifier | modifier le code] 1950 : le wool boom[modifier | modifier le code] Économie de l'Australie. L'actualité des marchés en Nouvelle-Zélande - Business France. L’exception agroalimentaire néo-zélandaise : une diversité à découvrir à l’occasion du SIAL 2014 - Cap & Cime PR, relations médias, relations publics, agence de relations presse. Avec près de 80% de sa production agroalimentaire exportée, la Nouvelle-Zélande est le plus grand exportateur de produits laitiers et d’agneau, et un acteur incontournable sur les marchés du bœuf, du kiwi, de la pomme et des produits de la mer.
Depuis une vingtaine d’années, de nouveaux marchés prennent également une place de plus en plus importante à l’instar du vin, du miel et de l’avocat. A l’occasion du SIAL, l’agence nationale de développement économique de la Nouvelle-Zélande (New Zealand Trade and Enterprise – NZTE) valorise la diversité des produits premium issus du terroir néo-zélandais . « La France fait partie du Top 10 des pays vers lesquels nous exportons. Nous souhaitons renforcer ces relations en nous appuyant notamment sur l’exceptionnelle qualité et la grande diversité de notre offre agroalimentaire » affirme Ariane Gonzalez, Chef de la Mission Commerciale de NZTE en France.
Pour plus d’information, contacter l’agence Cap & Cime PR. Nouvelle Zélande un marché à potentiel injustement méconnu - Business France - France. Laurent Contini, Ambassadeur de France, expose les nombreux attraits du marché néo-zélandais pour les entrepreneurs français. Un pays dans lequel il faut investir, selon lui. Avec sa grande sœur australienne qui lui fait de l’ombre, la Nouvelle-Zélande (4,5 millions d’habitants, capitale Wellington) est mal connue et souvent boudée par les entrepreneurs français.
Marché lointain et trop petit, pensent-ils. A tort, observe Laurent Contini, Ambassadeur de France en Nouvelle Zélande : « C’est au contraire une petite économie ultra-performante. Elle bénéficie d’une inflation et d’une dette maîtrisées, d’excédents commerciaux importants et le taux de chômage en 2013 était à 6% seulement ». Selon l’OCDE, c’est le pays le plus performant au monde. Aujourd’hui, l’économie de « la terre du long nuage blanc », comme l’appellent les Maoris, repose principalement sur l’exploitation de ses ressources naturelles. Deux des plus importantes villes de l’Archipel sont symptomatiques de ces besoins.
Le commerce bilatéral franco-néo-zélandais en 2014 - La France en Nouvelle Zélande. Le commerce bilatéral a sensiblement progressé en 2014 : telles que mesurées par les douanes françaises, les exportations françaises augmentent de 12,1% à 497 MEUR, essentiellement portée par les livraisons aéronautiques (+34% à 179 MEUR) tandis que les importations de Nouvelle-Zélande augmentent de 11% à 397 MEUR, soutenues par la bonne performance des produits agricoles et agroalimentaires (+13,9% à 304 MEUR). Le solde bilatéral s’établit pour la 4ème année consécutive en excédent, en hausse de 16% à 99 MEUR. La Nouvelle-Zélande reste un marché lointain et de petite taille (60ème client et 42ème excédent bilatéral). C’est une économie en croissance tirée par les exportations et où la France peut au-delà des grands contrats diversifier et développer sa présence. 1.Des flux bilatéraux modestes et volatiles En moyenne depuis 10 ans, les flux bilatéraux sont de l’ordre de 800 MEUR par an, avec des montants comparables pour les exportations et les importations.