Algirdas Julien Greimas : Le carré sémiotique. Suivez-nous Greimas Développé par Greimas et Rastier, le carré sémiotique permet de raffiner les analyses par oppositions en faisant passer le nombre de classes analytiques découlant d’une opposition donnée de deux (par exemple, vie/mort) à quatre (par exemple, vie, mort, vie et mort : un mort-vivant, ni vie ni mort : un ange), huit voire dix.
Ce texte se trouve en version longue dans le livre suivant : Louis Hébert, Dispositifs pour l'analyse des textes et des images, Limoges, Presses de l'Université de Limoges, 2007. Ce texte peut être reproduit à des fins non commerciales, en autant que la référence complète est donnée : Louis Hébert (2006), « Le carré sémiotique », dans Louis Hébert (dir.), Signo [en ligne], Rimouski (Québec),
50 Nuances de Grey, les féministes et la culture populaire – (É)toiles sociales. En attendant la sortie d’un article présentant ses premiers résultats, vous trouverez ici quelques réflexions relatives à l’enquête que je mène depuis plus de 2 ans sur la réception de 50 Nuances de Grey.
Cette enquête se base sur une ethnographie en ligne menée depuis 2015 au sein de deux groupes de discussion consacrés à la trilogie sur Facebook, ainsi que sur des entretiens. Mon objectif est d’analyser la réception de 50 Nuances de Grey en tant qu’expérience sociale, dans une perspective féministe qui outrepasse la norme distinguée consistant à exprimer son dégoût pour l’objet. Je m’interroge ici spécifiquement sur la réception féministe de 50 nuances de Grey, et plus largement sur les rapports entre féminisme et culture populaire.
Difficile de passer à côté du phénomène 50 Nuances de Grey. Le ‘Codage/Décodage’ par Stuart Hall. Stuart Hall est sociologue d’origine Jamaïcaine né en 1932.
Il est considéré comme l’un des plus grands chercheurs des Cultural Studies dont il sera directeur (du Centre for Contemporary Cultural Studies). Encodage/décodage et lectures plurielles : l’exemple de 300 (Zack Snyder, 2007) Algirdas Julien Greimas : Le carré sémiotique. SÉMIOLOGIE. La sémiologie ou sémiotique (du grec σημε̃ιον, « signe ») tend aujourd'hui à se construire comme une science des significations.
En tant que telle, et par conséquent, la sémiologie est la méthodologie des sciences qui traitent des systèmes signifiants, donc des « sciences humaines », puisqu'elle considère les pratiques socio-historiques qui font l'objet de ces sciences (le mythe, la religion, la littérature, etc.) comme des systèmes de signes. Les fonctions du langage - E-Classroom. En 1963, le linguiste Roman Jakobson définit les fonctions du langage, c'est-à-dire les raisons pour lesquelles l’homme recourt au langage.
Complété dans les années 1970 par les théories des actes du langage, le cadre ainsi défini peut s’appliquer à l’ensemble de la communication. Voyons cela ensemble... Les fonctions du langage définies pas Jakobson Le linguiste Roman Jakobson définit six fonctions du langage, chacune centrée sur un des éléments du schéma de la communication Rappel du schéma de communication par Jakobson Le schéma de Jakobson est un modèle décrivant les différentes fonctions du langage. D'après Roman Jakobson, « le langage doit être étudié dans toutes ses fonctions ».
Les six fonctions de la communication telles que les identifie Roman Jakobson sont chacune liées à un de ces éléments. Les fonctions du langage sont les suivantes : Le mythe des "Mythologies" La sociologie de la réception : une autre façon de penser l’image et son spectateur. En 1991, les sociologues Jean-Claude Passeron et Emmanuel Pedler publient Le temps donné aux tableaux.
Compte-rendu d’une enquête au Musée Granet, qui conceptualise et met en pratique un nouveau type de sociologie : la sociologie de la réception. Souvent cité depuis – l’introduction générale, courte mais théoriquement très riche, étant aussi l’un des chapitres de Le raisonnement sociologique de Passeron, paru la même année –, l’ouvrage a permis l’avènement d’une façon de penser la réception inédite, et qui se prolonge encore de nos jours, la méthodologie et ses outils ayant certes évolué mais dont les principes ont conservé leur pertinence. Le temps donné aux tableaux (cf référence complète de l’ouvrage en fin d’article) devait initialement s’incorporer au sein d’un ouvrage collectif – L’œil et l’oreille à l’œuvre – dont la parution n’eut finalement jamais lieu.
Si vous n'avez pas lu les “Mythologies" de Roland Barthes... - Arts et scènes. Le critique design se sent tout petit devant Roland Barthes, dont on fête le centenaire.
L'écrivain est l'incomparable auteur de Mythologies, un des grands textes du XXe siècle, paru en 1957 (éditions du Seuil, collection Points). Études culturelles. Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes »(février 2017).
Améliorez sa vérifiabilité en les associant par des références à l'aide d'appels de notes. L'article doit être débarrassé d'une partie de son jargon(février 2018). Sa qualité peut être largement améliorée en utilisant un vocabulaire plus directement compréhensible. Discutez des points à améliorer en page de discussion. Genèse[modifier | modifier le code] Dans les années 1970, les cultural studies sont introduites aux États-Unis où elles sont mises en relation avec la French Theory, expression servant à désigner les travaux de philosophes comme Jacques Derrida, Gilles Deleuze ou Michel Foucault[1]. Cultural studies et politiques de la discipline : talk dirty to me! Ce texte doit être considéré comme un document de travail. « Qu’est ce qui se passe lorsqu’une démarche universitaire et théorique essaye de s’engager dans des pédagogies qui incluent l’engagement actif des individus et des groupes et essaye de faire la différence dans le lieu institutionnel où elle est située?
(…) Cela requiert d’assumer que la culture fonctionnera toujours à travers ses textualités et que la textualité n’est jamais assez. Mais assez de quoi, pour quoi? C’est là une question à laquelle il est extrêmement difficile de répondre parce que, philosophiquement, il s’est toujours révélé impossible dans le champ théorique des cultural studies -que celui ci soit conçu en termes de textes et de contextes, d’intertextualité, de formations historiques dans lesquelles se logent les pratiques culturelles- d’arriver à quelque chose qui correspond à une formulation adéquate de la culture et de ses effets. 1964-1980 cultural studies et médias 1980-2000 Cultural studies & gender studies.