Guide prevention. Addictions : la Mildeca cherche les mots qui touchent les jeunes. Les jeunes sont les cibles prioritaires des plans d'action de la Mildeca, qui peine encore à trouver les mots pour les atteindre. Au-delà du style, de la personnalité et de la perception, l’action. Le plan gouvernemental de lutte contre les drogues et les conduites addictives 2013-2017 s’est fixé plusieurs objectifs, qui ont guidé toute l’action de la Mildeca au cours de ces années. Une première enveloppe de 58 millions d’euros a été consentie pour le plan d’actions 2013-2015.
Evaluer Le premier objectif a consisté à « fonder l’action publique sur l’observation, la recherche et l’évaluation », précise le plan. Parmi les domaines investigués : efficacité des politiques pénales, coût social du tabac et de l’alcool, conduites addictives à l’adolescence (Inserm), efficacité des dispositifs médicosociaux de prise en charge des addictions...
Prévenir Parler aux jeunes Car les adolescents sont la cible première de la Mildeca. Revoir la politique pénale ? Rapport OEDT. INFOGRAPHIE. Réveillon 2016 : les effets de la consommation d'alcool sur l'organisme - 31 décembre 2015. Une consommation excessive et régulière d'alcool risque d'endommager à peu près tous les organes du corps : les organes internes (comme le foie, le pancréas, l'œsophage, l'estomac et l'intestin) et la circulation sanguine (artères, cœur, système nerveux, santé mentale, etc.), comme le montre l'infographie ci-dessous. Alors, quelle dose d'alcool ne faut-il pas dépasser ? À l’heure actuelle, la plupart des autorités médicales recommandent de ne pas boire plus de 3 verres par jour pour les hommes (voir encadré ci-dessous) et 2 pour les femmes. Les seuils établis par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) préconisent ainsi de ne pas boire plus de 21 verres par semaine pour les hommes et 14 pour les femmes.
Surtout, l'OMS recommande de s'abstenir au moins un jour par semaine de toute consommation d'alcool. UNITÉ D'ALCOOL. Des effets parfois réversibles Infographie réalisée par Damien Hypolite/Sciences et Avenir. Alcoolémie : après combien de bière peut-on conduire ? Ce ne sont pourtant pas des infos à prendre à la légère, et ce d’autant plus si vous avez eu le talent et la chance d’obtenir votre permis de conduire. Alors oui, on connait tous Sam, le type à la tête de smiley censé prendre le volant quand vous avez forcé sur les mojitos. Mais savons-nous vraiment à quel moment il devient nécessaire de condamner notre ivresse à la banquette arrière de la voiture ? « Oh ça va, j’ai bu que 2 pintes ! ». Très bien les gars, mais selon la loi et la science, c’est déjà trop. Avant de prendre connaissance de la superbe infographie qui succède ces quelques lignes (et avant que vous râliez en disant que, « franchement, il m’en faut beaucoup plus pour être bourré »), sachez que les premiers effets de l’alcool se font sentir dès 0,30 g/l de sang, soit 0,15 mg/l d’air expiré.
Parce qu’on vous entend déjà dire qu’une femme de 50kg résistera beaucoup moins à l’alcool qu’un molosse de 90kg, autant le dire tout de suite : oui, c’est vrai. L’alcool a moins la cote chez les collégiens. LE MONDE | • Mis à jour le | Par François Béguin Faut-il y voir un effet de l’interdiction de la vente d’alcool aux mineurs en 2009 ? L’impact des messages de sensibilisation ? Qu’il s’agisse de l’âge de la première initiation ou de consommation régulière, l’alcool a aujourd’hui moins la cote chez les collégiens. Ce phénomène est le principal enseignement de la dernière édition de l’enquête HBSC (Health Behaviour in School-aged Children), dont le volet français a été mené en 2014 auprès d’environ 10 000 adolescents âgés de 11 à 15 ans et dévoilé mercredi 20 janvier. Les chiffres du tabac, eux, affichent une légère baisse. Ceux du cannabis sont stables. Premier constat de l’étude copilotée par l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) et le rectorat de Toulouse : la consommation du premier verre d’alcool, bien souvent du cidre ou du champagne proposé lors d’une fête familiale, a lieu à un âge plus avancé.
. « Rupture significative » Popularité de la chicha. Repousser l’âge pour boire de l’alcool pour freiner les accidents? En 2013, chaque jour en moyenne au pays 4 personnes mourraient et 175 autres étaient blessées dans des collisions directement liées à l’alcool et aux drogues derrière le volant. Cela équivaut à 3,5 décès par 100 000 personnesCrédit photo : IS / iStock Il y a quelque temps, l’Association canadienne de santé publique recommandait que l’âge légal pour boire soit rehaussé à 19 ans à travers tout le pays. Ce sentiment est maintenant partagé par le Dr Russ Callaghan et son équipe de recherche à l’Université du Nord de la Colombie-Britannique (UNBC).
Le Dr Callaghan affirme qu’une modification à la législation sur l’âge légal pour boire au Canada pourrait avoir un impact national majeur sur les jeunes conducteurs. Plusieurs considèrent cette mesure extrême. Écoutez Dr Russ Callaghan – UBNCLisez : Drinking age laws have a significant effect on collisions among young drivers – UNBC Méthodologie et résultats Faire passer l’âge minimum pour boire à 21 ans partout au pays?
Le saviez-vous? Sur le même thème. Alcool, drogues: participez à la grande enquête GDS 2016. La Global Drug Survey (GDS) est une grande enquête qui donne la parole aux consommateurs de drogues légales (alcool, tabac, médicaments sur ordonnance…) ou non (cannabis, cocaïne…), de façon anonyme et confidentielle. Quelles drogues prenez-vous ? A quelle fréquence ? A quel prix ? Que faites-vous quand ça se passe mal ? Où l’achetez-vous ? Votre avis compte, il permettra de mieux connaître les usages, de renseigner les experts et les politiques et d’inspirer des conseils de précaution dont vous serez les premiers bénéficiaires. Pour y participer, cliquez ici.
Libération est, pour la troisième année consécutive, le seul média français associé à ce projet qui couvre une vingtaine de pays (lire les résultats 2015 ici). La GDS aimerait aussi savoir si la pureté accrue de certains produits (cocaïne, MDMA), combinée à une minimisation de leur dangerosité, accroît le risque pris par les consommateurs. Etude sur l’alcool Codes de bonne conduite Michel Henry. L'alcool chez les jeunes: "Celui qui ne boit pas est considéré comme un looser"
Quel est le rôle de l'alcool dans la vie des jeunes ? Lacha : Il sert d'outil de divertissement mais aussi de moyen d'être normal. En soirée, la personne qui ne boit pas est considérée comme un looser. Elle est vite mis à l'écart. Quand j'étais plus jeune, j'avais la naïveté de croire que boire en soirée était obligatoire. Tom : Il y a aussi un côté rite initiatique. Lors de sa première cuite, on a l'impression de devenir grand.
L'alcool est-il un fléau pour la jeune génération ? Tom : c'est devenu un gros problème pour la société toute entière. Lacha : Notre mode de consommation est un phénomène relativement nouveau. Tom : Une fois, quand j'avais 15 ans, cela m'a valu un coma éthylique. Cet incident t'a-t-il fait réfléchir ? Tom : Oui... enfin, c'était il y a longtemps. Lacha : Je n'ai jamais été aussi loin que Tom. Surtout quand cela dérape... Lacha : Oui. Tom : Des dérapages, il y en a toujours eu ! Tous ces excès ne vous font-ils pas peur ? Quel rôle les parents peuvent-ils tenir ? L'étude santé du jour : "les jeunes consomment l'alcool comme une drogue" "Ce qui semble avoir changé dans la consommation d’alcool des adolescents d’aujourd’hui, c’est qu’ils sont plus nombreux depuis dix ans à utiliser l’alcool comme une drogue, c'est-à-dire à s’en servir exclusivement pour son effet psychotrope", s'inquiète Marie Choquet, présidente du comité scientifique de l'Institut de Recherches Scientifiques sur les Boissons (Ireb).
C'est le triste constat que onze chercheurs font dans une synthèse d'études sur la consommation d'alcool chez les jeunes, publiée sur le site de l'Ireb. Les scientifiques révèlent aussi que certains modes d'alcoolisation ont progressé, notamment la fameuse "Alcoolisation Ponctuelle Importante" (API, soit la version française du binge drinking). Ils relèvent également que ce phénomène s'accélère dès l'âge de 17 ans. Dommages importants pour consommation précoce. Focus n16. Veille législative. Veille législative Dans le cadre de ses activités de documentation, l'OFDT produit chaque mois un bulletin de veille législative. Les bulletins déjà parus sont listés ci-dessous et peuvent être téléchargés au format PDF. Il est possible de recevoir les nouveaux liens directement par mail en s'abonnant à la lettre Actu OFDT. Dernière édition : janvier 2016 Édition de décembre 2015 Édition de novembre 2015 Édition de octobre 2015 Édition de septembre 2015 Édition d'août 2015 Édition de juillet 2015 Édition de juin 2015 Édition de avril-mai 2015 Édition de mars 2015 Édition de janvier-février 2015 Édition de novembre-décembre 2014 Édition d'octobre 2014 Édition de août-septembre 2014 Édition de juillet 2014 Édition de mai-juin 2014 Édition de mars 2014 Édition de février 2014 Édition de janvier 2014 Archives veille législative mensuelle 2013, 2012, 2011, 2010, 2009 Restez informé Lettre actu Toute l'actualité de l'OFDT par courriel : abonnez-vous!
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