Clim'city - Créer un plan climat. Ma commune face aux risques majeurs. Un jeu vidéo pour survivre aux inondations en Thailande. Les eaux montent.
Sai Fah, un petit Thaïlandais, est en danger de mort. Pour survivre, il va se battre contre les éléments, échapper à l'électrocution, aux crocodiles, aux serpents, et finalement, à la noyade. Mais Sai Fah n'est pas un enfant comme les autres. Il est le héros virtuel d'un jeu vidéo éducatif dont l'objectif est de limiter le nombre d'enfants tués lors d'inondations, en Thaïlande et dans le reste de l'Asie. A l'automne 2011, la Thaïlande a été frappée par des inondations historiques touchant 65 des 77 provinces et tuant plus de 800 personnes, dont plus d'une centaine d'enfants.
L'Unesco a alors voulu trouver un moyen de "disséminer auprès des enfants les informations" nécessaires pour les préserver du danger, explique Ichiro Miyazawa, responsable du développement du jeu "Sai Fah, The Flood Fighter" pour l'agence onusienne chargée de l'éducation. Le jeu se déroule dans la province d'Ayutthaya, particulièrement touchée par les inondations de 2011. Source : AFP. Le changement global dans les atolls des Kiribati. En 2014, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) [1] a publié son cinquième rapport d’évaluation.
L’illustration du volume portant sur les « conséquences, l’adaptation et la vulnérabilité » met en évidence les États atolliens : des habitants de Tuvalu ont été photographiés à planter des palétuviers dans le but de développer une mangrove. Tuvalu, Kiribati, les Îles Marshall dans l’océan Pacifique et les Maldives dans l’océan Indien ont pour particularité d’être des États entièrement composés d’atolls. Les atolls sont des systèmes fragiles.
Ils présentent un système de ressources terrestres limité dont les sociétés atolliennes sont fortement dépendantes. En effet, seules quelques espèces végétales se maintiennent sur des sols pauvres et alcalins, et l’eau douce est présente uniquement sous la forme de minces lentilles souterraines. Les risques en Haïti : Ouragan Matthew. Selon le ministre de l’intérieur haïtien, l’ouragan a tué au moins 283 personnes dans le pays.
Il menace désormais les côtes américaines. L’ouragan Matthew, le plus violent à frapper les Caraïbes depuis près de dix ans, a atteint, jeudi 6 octobre, le centre des Bahamas après avoir fait des centaines de morts en Haïti. Rétrogradé en catégorie 3, sur une échelle qui en compte 5, il menace à présent le sud-est des Etats-Unis. Haïti ravagée Le ministre de l’intérieur haïtien, François Anick Joseph, a assuré que l’ouragan avait fait au moins 283 morts dans le pays. L’organisation non gouvernementale CARE estime sur son compte Twitter que quelque 80 % des bâtiments de Jérémie, le chef-lieu du département méridional de Grande Anse comptant environ 30 000 habitants, ont été rasés. « Toutes les lignes téléphoniques et électriques sont coupées.
DONATE: Help CARE deliver clean water & emergency supplies to #Haiti. Etats-Unis : plan d’urgence fédéral pour trois Etats › Accéder au portfolio. Coût annuel et conséquences des catastrophes naturelles. La Banque mondiale estime que les inondations, tempêtes, séismes et tsunamis plongent chaque année 26 millions de personnes dans la pauvreté.
L’ouragan Matthew, qui s’est abattu sur les îles Caraïbes et sur la côte sud-est des Etats-Unis entre le 3 et le 6 octobre, a provoqué 2 milliards de dollars (1,85 milliard d’euros) de dommages en Haïti et 7 milliards aux Etats-Unis. Pourtant, il a été beaucoup plus dévastateur en Haïti, où il a fait au moins 546 morts, et 128 disparus, et laissé totalement démunis et sans domicile des centaines de milliers de personnes.
Alors que le Maroc, pays hôte de la COP22, a fait de la lancinante question du financement par les pays du Nord des projets d’adaptation pour faire face aux impacts du réchauffement dans les pays du Sud un des enjeux de la conférence climat, la Banque mondiale publie, lundi 14 novembre, un rapport appelant à prendre la pleine mesure des dommages subis par les populations les plus vulnérables victimes d’une catastrophe naturelle. Sécheresse dans les Côtes-d’Armor. Les chutes de pluie ayant été très faibles fin 2016 en Bretagne, les pouvoirs publics ont décrété de nouvelles restrictions afin de se prémunir contre un manque d’eau cet été.
LE MONDE | • Mis à jour le | Propos recueillis par Volodia Petropavlovsky Face à la sécheresse qui persiste depuis cet hiver en Bretagne, la préfecture des Côtes-d’Armor a pris un arrêté le 11 mai visant à économiser l’eau potable. Désormais, entre 10 heures et 18 heures, il sera interdit d’arroser les pelouses et jardins, les terrains de sport ou encore les champs de culture. Pierre Bessin, directeur départemental des territoires et de la mer, fait le point sur la situation.
Comment qualifiez-vous cet épisode de sécheresse ? La situation est absolument exceptionnelle, c’est probablement la plus grave sécheresse connue de l’histoire. Lire aussi : Les nappes phréatiques françaises en déficit Les conséquences de ce déficit pluviométrique sont-elles déjà visibles ? S’agit-il seulement de mesures de prévention ?