Total lance Yamal, son mégaprojet gazier dans l’Arctique russe. Une première cargaison de gaz liquéfié a quitté, vendredi, le site sibérien inauguré par Vladimir Poutine.
Ce projet va permettre à la Russie d’exporter du gaz vers le monde entier. Un désert de glace battu par les vents, des milliers d’hommes qui s’affairent autour de bâtiments métalliques, une tour qui crache du feu : Yamal semble l’endroit idéal pour tourner un remake de L’Empire contre-attaque. A plus de 4 000 kilomètres au nord de Moscou, le mégaprojet gazier de Total et Novatek semble avoir poussé sur une autre planète. La construction du site – parfois qualifié de plus grand chantier du monde – a mobilisé plus de 60 000 personnes pendant quatre ans. Le temps de bâtir dans cette zone totalement vierge une usine de liquéfaction de gaz, un port, un aéroport et une zone d’habitation entièrement tournée vers l’exploitation gazière.
Le delta du Niger ravagé par le pétrole. Cette région, souillée par plus de 7 000 fuites entre 1970 et 2000, devrait bénéficier du plus vaste programme de dépollution jamais mis en œuvre.
Stanley a songé à prendre les armes et peut-être l’a-t-il déjà fait. Ce quadragénaire courtaud et souriant dit disposer d’un petit stock de kalachnikovs caché quelque part. Il ne s’en vante pas mais c’est comme ça, dans les criques du delta du Niger. Les jeunes ont plus facilement accès aux fusils et aux bandes armées qu’à l’école et à un emploi. Le potentiel d'énergie renouvelable de l'océan mondial. Qui n’a pas, un jour de tempête, été frappé par la furie des éléments ?
Qui en même temps, ne s’est pas interrogé sur les difficultés de maîtriser une telle débauche d’énergie, en mettant en comparaison cette brutalité de la nature avec d’autres formes d’énergie, plus secrètes, plus constantes ou plus faciles à domestiquer ? Il est vrai que l’énergie contenue dans ces mouvements de l’air et de l’eau arrive la plupart du temps à s’exprimer de manière moins violente que pendant de telles phases paroxystiques, grâce à des flux d’intensité variable, qu’ils soient liés aux courants ou aux ondes animant les masses d’eau, ou qu’ils soient engendrés par des mouvements atmosphériques, dépendant eux-mêmes des échanges entre les eaux de surface et l’air sus-jacent. 1.
A la recherche des environnements favorables aux EMR Les différentes énergies marines renouvelables et leur stade technologique 2. Droits, juridiction et obligations de l'État côtier dans la zone économique exclusive 1. Biocarburants : des filières en forte croissance. Les biocarburants sont des combustibles liquides d'origine agricole obtenus à partir de matières organiques végétales ou animales non fossilisées (contrairement au charbon et au pétrole).
Mais comme le préfixe bio- a acquis au fils des ans, en France, une connotation particulière, celle de la production agricole sans pesticides ni engrais chimiques (dans d'autres langues le problème ne se pose pas puisqu'on parle plutôt d'agriculture organique), certains préfèrent plutôt parler d'agrocarburants. Exploitation des ressources minières sous-marines. L’intérêt porté aux ressources minières des grands fonds marins est de plus en plus importante, surtout autour des pays du Pacifique.
La croissance de la demande mondiale en métaux encouragerait l’exploitation des fonds marins. Rédigé par Elise, le 17 Aug 2012, à 16 h 49 min Le gouvernement de Papouasie-Nouvelle-Guinée (PNG) a accordé un permis de 20 ans à une compagnie minière canadienne pour explorer et exploiter son fond marin, pour la recherche de cuivre et d’or. Quand ce projet, baptisé Solwara 1, débutera en 2013, ce sera la première opération commerciale minière sous-marine jamais menée. L’oléoduc Keystone XL : étude de cas en Amérique du Nord. En annonçant, vendredi 6 novembre 2015, que les États-Unis rejetaient la demande de permis de la société TransCanada pour la construction d’un nouvel oléoduc Keystone XL, Barack Obama a mis un terme, au moins provisoire, à 7 ans de polémiques.
L’objectif était d’acheminer rapidement 830 000 barils de brut par jour, extraits des sables bitumineux de l’Alberta, au Canada, vers les raffineries texanes du golfe du Mexique. Pour raccourcir le tracé de l’oléoduc actuel, il faudrait construire un segment long de 1 900 kilomètres dont 1 400 sur le territoire des États-Unis, à travers le Montana, le Dakota du Sud et le Nebraska pour un coût de 8 milliards de dollars. Des cartes : - La Documentation photographique : « Des projets d’oléoducs contestés en Amérique du Nord (2013) », DP n° 8092 : Etats-Unis/Canada. Les partisans du projet et leurs arguments : le site en anglais la page du projet Keystone Xl aux États-Unis, les milieux économiques qui mettent en avant le parti républicain :
Arguments de débat : Le nucléaire, pour ou contre ? Voici quelques arguments avancés par les partisans du nucléaire, et ce qu'y répondent les opposants à cette technologie.
"Le nucléaire permet de lutter contre le réchauffement climatique. " Méthadoux - Usine de méthanisation.