Le masque de papier. Coronavirus : et si les masques faisaient plus de mal que de bien ? Le masque est devenu dans le débat public l'élément central du déconfinement.
Plusieurs études attestent de son efficacité contre la transmission du SARS-Cov-2. Pourtant, d'autres scientifiques dénoncent des conclusions biaisées et mettent en gardent contre la fausse sécurité conférée par le port du masque. Cela vous intéressera aussi [EN VIDÉO] Coronavirus : demain, tous masqués ? SARS-CoV-2. . « Si vous êtes en bonne santé, vous ne devez utiliser un masque que si vous vous occupez d'une personne présumée infectée par le Covid-19 », indique clairement sur son site l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Une position qu'a longtemps défendue le gouvernement, avant de faire une volte-face à 180° devant les arguments d'autres scientifiques, jusqu'à imposer le port du masque dans les transports obligatoires.
Tout d'abord il faut se rappeler que le masque n'est pas vraiment une protection pour vous, mais plutôt pour les autres. Les études contradictoires s’enchaînent. [Vidéo] COVID-19 : Face aux ''mensonges officiels'' et à la propagande mercantiliste, un collectif international de 2000 médecins et experts créé en Allemagne, pour des enquêtes indépendantes. L'épidémie de coronavirus tient le monde entier en haleine depuis le mois de décembre 2019...
Face aux mesures gouvernementales "disproportionnées et nuisibles à la population", à l'absence d'enquêtes indépendantes et au manque de transparence dans la gestion des informations épidémiologiques, un collectif d'enquête internationale regroupant 2 000 médecins et experts a été constitué à Stuttgard (en Allemagne), avec plus de 5 000 membres. Dénommé ACU(Commission d'enquête extraparlementaire Corona), cette commission d'enquête indépendante qui se veut internationale et citoyenne, a été lancée à l'initiative de 2 000 médecins et experts le 31 mai 2020 à Stuttgard en Allemagne, avec plus de 5 000 membres.
L'ACU s'insurge contre l'absence d'une commission d'enquête indépendante et contre nombre de mesures gouvernementales de lutte contre la maladie à COVID-19 qu'elle juge "disproportionnées et nuisibles à la population". "Autocontamination, lésions cutanées, difficultés respiratoires…" Les effets du masque selon l'OMS. Selon un document baptisé “Conseils sur le port du masque dans le cadre de la COVID-19” publié par l’Organisation Mondiale de la Santé, (téléchargement ici), voici la liste des effets indésirables et inconvénients potentiels liés au port du masque par le grand public, suivie de la liste des bénéfices potentiels dont le fascinant “impression donnée aux gens de contribuer à stopper la propagation du virus” : Pages 9 & 10: « Effets indésirables/inconvénients potentiels. – Dans le grand public, le port du masque par des personnes en bonne santé peut notamment présenter les désavantages suivants : • risque potentiellement accru d’autocontamination dû au fait de manipuler un masque facial puis de se toucher les yeux avec des mains contaminées ; • autocontamination possible si un masque non médical humide ou sale n’est pas remplacé, favorisant ainsi la prolifération de microorganismes ;
Fabrication de masque en INDE. Expérience de Milgram. Graphique montrant que 65% des sujets de l'expérience infligent des souffrances maximales si on le leur ordonne Reconstitution de l'expérience de Milgram (extrait)[1].
L’expérimentateur (E) amène le sujet (S) à infliger des chocs électriques à un autre participant, l’apprenant (A), qui est en fait un acteur. La majorité des participants continuent à infliger les prétendus chocs jusqu'au maximum prévu (450 V) en dépit des plaintes de l'acteur. L’expérience de Milgram est une expérience de psychologie publiée en 1963 par le psychologue américain Stanley Milgram[2]. Cette expérience évalue le degré d'obéissance d'un individu devant une autorité qu'il juge légitime et permet d'analyser le processus de soumission à l'autorité, notamment quand elle induit des actions qui posent des problèmes de conscience au sujet.
Expérience de Stanford. L’expérience de Stanford (parfois surnommée effet Lucifer) est une étude de psychologie sociale menée par Philip Zimbardo en 1971 sur les effets de la situation carcérale, ayant eu un très grand écho social et médiatique.
Elle fut réalisée avec des étudiants qui jouaient des rôles de gardiens et de prisonniers. Elle visait à étudier le comportement de personnes ordinaires dans un tel contexte et eut pour effet de montrer que c'était la situation plutôt que la personnalité autoritaire des participants qui était à l'origine de comportements parfois à l'opposé des valeurs professées par les participants avant le début de l'étude. Les 18 sujets avaient été sélectionnés pour leur stabilité et leur maturité, et leurs rôles respectifs de gardiens ou de prisonniers leur avaient été assignés ostensiblement aléatoirement.
Les petits esprits parlent de personnes. Le masque est une frontière de classe. Terrorisme étatique du coronavirus. (12) Guerre de Classe. Alerte à la santé, alerte à la liberté. Silvano Trotta, J.J Crèvecoeur, Tal Schaller, T. Casasnovas. Videos & Articles.