Des ours victimes de tirs d’effarouchement en Ariège. La préfecture de l’Ariège vient d’autoriser des tirs non létaux contre les ours sur deux estives dans les Pyrénées.
Des mesures rendues possibles par l’arrêté du 12 juin 2020 qui a prolongé l’expérimentation, initiée en 2019, visant à permettre aux préfets d’autoriser le recours à des moyens d’effarouchement des ours. La Fondation 30 Millions d’Amis regrette qu’une fois de plus, un procédé dangereux et inutile soit préféré à des alternatives pacifiques et efficaces. Sans titre. Cette première manif ubiquitaire en temps réel 1 organisée par de nombreuses associations environnementales — chacun·e étant mobilisé·e en simultané devant son ordi — a démontré la forte sensibilisation des Français·es à la cause de l’ours dans les Pyrénées et leur volonté de s’impliquer, même sur un temps extrêmement limité de deux heures.
Constaté par un huissier choisi intentionnellement hors de la région, le nombre impressionnant de 28 735 signataires. Le dossier complet comprenant cette liste, son comptage attesté et le rapport des associations a été transmis au Gouvernement français qui doit maintenant, selon l’engagement écrit de l’État dans le Plan Ours 2018-2028, annoncer sa décision de “remplacer” l’ours victime de l’action humaine en juin dernier. L’État avait par ailleurs annoncé, par la voix de la ministre de la transition écologique, qu’il allait porter plainte, ce qui est également le choix de l’association Pays de l’Ours. M. Notes. France – Manifestations pro et anti-ours suite à l’abattage d’un animal. Quelque 150 personnes soutenues par 14’000 pétitionnaires à Toulouse, environ 2000 manifestants autour de l’Étang de Lers en Ariège: les camps pro et anti-ours se sont mobilisés samedi en France après l’abattage d’un ours au début juin.
À Toulouse, les manifestants ont réclamé le remplacement de ce spécimen, un mâle de quatre ans, abattu en juin dans les Pyrénées ariégeoises. «Nous sommes 14’000 à manifester», a lancé aux manifestants le chef de file du camp pro-ours, invoquant le résultat, «constaté par huissière», d’une «télé-manifestation» en ligne organisée conjointement. Parallèlement, près de 2000 éleveurs, élus, syndicalistes agricoles et chasseurs, étaient réunis en Ariège. Ils réclament notamment la fin des lâchages d’ours et la suppression des spécimens les plus prédateurs. Sans titre. Pour que l'ours ne devienne pas "le patron des montagnes", le camp des anti s'est offert samedi une démonstration de force en Ariège, après l'abattage d'un spécimen qui a relancé le conflit avec les défenseurs de la biodiversité.
"Nous c'est pas l'ours qu'on veut voir, c'est des moutons, des sangliers, des mouflons, des bêtes inoffensives": pour Claude Durand, président du groupement pastoral d'Oust, présent au rendez-vous, l'enjeu est d'empêcher "le grand prédateur" de "devenir le patron des montagnes". Avec lui, environ 1.800 personnes selon la préfecture, éleveurs, élus, syndicalistes agricoles... sont venus en famille participer à un pique-nique géant sur les rives de l’étang de Lers, à 1.264 m d’altitude, au milieu des estives.
Sans titre. Sans titre. L'essentiel Quelque 150 personnes soutenues par 14 000 pétitionnaires à Toulouse, quelque 2 000 manifestants autour de l'Etang de Lers en Ariège: les camps pro et anti-ours se sont mobilisés samedi après que l'abattage d'un ours début juin a relancé le conflit les opposant.
À 11 heures, le collectif des "Amis de la nature" dont France Nature Environnement a organisé un rassemblement devant la Préfecture de Toulouse, place Saint-Etienne, sur la thématique "Tous pour l’ours dans les Pyrénées". Environ 150 personnes étaient présentes. Les organisateurs revendiquent 14 000 manifestants en ajoutant les soutiens d'une manifestation virtuelle en cours.
Une délégation a été reçue en préfecture. Ils ont égrené les revendications du tract notamment le remplacement de l'ours tué en Ariège début juin. Tous pour l’Ours dans les Pyrénées, à Toulouse (Haute-Garonne) Une nouvelle manifestation des pro-ours organisée ce samedi 4 juillet à Toulouse. Les associations de défense de l’ours des Pyrénées ne désarment pas.
Trois semaines après la découverte d’un ours tué par balle en Ariège à Ustou, une quinzaine d’associations lancent un appel à se rassembler ce samedi 4 juillet à Toulouse, à 11 heures, devant la Préfecture de Région, à Toulouse. La première manifestation à Foix le 20 juin avait été interdite par la Préfète de l’Ariège, une cinquantaine de militants s’étaient rassemblés dans le calme. A LIRE AUSSI : Un ours tué par balle en Ariège : l'Etat va porter plainte Une réaction « molle » de l’Etat Dans leur communiqué, les associations qui appellent à ce nouveau rassemblement à Toulouse devant les fenêtres du préfet de la région Occitanie en charge du dossier ours, dénoncent "la réaction très molle de l’État" et "l’impunité accordée depuis trop longtemps aux anti-ours violents".
Elles souhaitent "une politique enfin claire et ferme de restauration de la population d’ours, comme l’imposent les lois européennes et nationales". Une manifestation pro-ours organisée samedi à Toulouse. L'essentiel Trois semaines après la découverte d’un ours abattu par balles en Ariège, les pro-ours appellent à manifester samedi 4 juillet à 11 heures, devant la Préfecture de Région, à Toulouse.
Suite à la découverte d'un ours abattu par balles à Ustou, dans les Pyrénées ariégeoises, le 9 juin dernier, une manifestation est organisée samedi 4 juillet à Toulouse par plusieurs associations pro-ours. Le rendez-vous est fixé à 11 heures, devant la Préfecture de Région, place Saint Étienne. Les associations dénoncent "la réaction très molle de l’Etat" et "l’impunité accordée depuis trop longtemps aux anti-ours violents". Ils réclament "une enquête sérieuse pour identifier les responsables et les éventuels complices", avec "une surveillance efficace pour éviter d’autres destructions".
Sans titre. Une manifestation pour réclamer "une enquête sérieuse pour identifier les responsables et les éventuels complices" de la mort d’un ours, retrouvé tué par balles le 9 juin en Ariège, est organisée ce samedi 4 juillet à 11 heures devant la préfecture de Région Occitanie, place Saint-Étienne à Toulouse.
Les organisateurs espèrent être reçus par le préfet de Région. Sans titre. Sans titre. Un ours a été abattu en Ariège début juin.
Face à la réaction très molle de l’Etat et à l’impunité accordée depuis trop longtemps aux anti-ours violents, nous appelons tous les amis de la Nature à se rassembler Samedi 4 juillet 2020 à 11H devant la Préfecture de Région, Place Saint Étienne, à Toulouse Nous demanderons à l’Etat : Une enquête sérieuse pour identifier les responsables et les éventuels complices ; une surveillance efficace pour éviter d’autres destructions. Un rappel aux élus locaux de ne pas cautionner, par leurs propos, des actes délictueux illégaux. Nous appelons le public à se rassembler pacifiquement, en conservant une attitude et des propos respectueux de tous, et en observant les mesures sanitaires en vigueur (respect des distances, port du masque).
Nous demandons au Préfet de recevoir à cette occasion une délégation des organisateurs.