Les jeux vidéo bientôt concernés par la Hadopi ? Dans le rapport sur les autorités publiques indépendantes (API) du projet de loi de finances 2013, on apprend que les jeux vidéo devraient s'inscrire dans la liste des ayants-droit à la réponse graduée de la Hadopi dès 2013.
Pour l'instant, un seul organisme lié à la production vidéo (Alpa) et quatre autres concernant la musique (Sacem, SDRM, SPPF et SCPP) font figure d'ayants-droit aux mesures de lutte contre le piratage de la Hadopi. Selon la Hadopi, les acteurs de l'industrie du jeu vidéo auraient déposé une demande d'autorisation à la Commission nationale de l'informatique et des libertés.
L'aval de la Cnil est un passage obligatoire pour pouvoir constater les délits de piratage en collectant automatiquement les informations et profiter des avertissements prévus dans le cadre des réponses graduées de la Hadopi. Pourtant, selon le site PC INpact, la Cnil assure ne pas avoir reçu de demande d'autorisation de la part de l'industrie du jeu vidéo.
Libertés : Google classe et défie les gouvernements, actualité Tech & Net : Le Point. Le règlement européen sur les données personnelles inquiète les professionnels du marketing direct. L'annonce a fait l'effet d'un coup de tonnerre.
En pleine crise, c'est une potentielle catastrophe qui plane sur la tête des professionnels du marketing direct et de leur écosystème. Au nom de la protection du consommateur, Bruxelles réfléchit à la mise en place, au niveau européen, d'un opt-in postal. La Commission européenne a soumis à la consultation des États membres un projet de règlement, dont le vote du Parlement est prévu avant fin juin 2013. Les professionnels français du marketing direct s'inquiètent des conséquences néfastes que ce projet de loi pourrait avoir sur l'activité et sur l'emploi.
Se sentant menacée, la filière s'est mobilisée pour sensibiliser le gouvernement français aux impacts socio-économiques du projet. La lettre stipule : " En effet, l'adoption des amendements proposés conduirait notamment à : Ces deux mesures auraient pour conséquences immédiates : « Le droit à l'oubli ne doit pas aboutir à une possible censure » Peter Fleischer : Imaginer une charte sur le droit à l'oubli nous semble être une bonne approche.
Nous sommes d'accord sur le fait qu'un effort important doit être fait en termes d'éducation. Là où nos points de vue divergent, c'est sur la frontière entre le droit à l'oubli et la liberté d'expression. Il est très difficile d'écrire une charte sur le droit à l'oubli sans que cela ne tourne à une possible censure. Si je mets en ligne une photo de quelqu'un, cette personne a-t-elle le droit de supprimer cette photo ? Cela peut être évident dans certains cas, pas du tout dans d'autres. Alma Whitten : nous détenons trois types d'informations. A. P.F. : Oui, c'est un défi pour nous. A.W. : Plusieurs dizaines de milliers de personnes visitent déjà Google Ads Preferences tous les jours.
Maîtriser son identité numérique sur Facebook. Maîtrisez-vous votre identité numérique?
Autrement dit, est-ce que vous parvenez à gérer les traces que vous laissez de vous sur Internet, sur les blogs, forums de discussion, et réseaux sociaux tels que Facebook? Le sujet, fait débat, avec par exemple ces étudiants pris en flag’ après une soirée festive . Or, d’après un sondage réalisé par l’institut Scanblog et Opened Mind, les internautes savent parfaitement ce qu’est la e-réputation, ils font ce qu’ils peuvent pour la maîtriser, mais sans forcément y parvenir. Une bonne part des sondés (57%) sont utilisateurs de Facebook, tandis que LinkedIn et Twitter restent confidentiels (5 à 10%). 70% des sondés déclarent avoir déjà vérifié leur «identité numérique», en tapant leur nom et prénom sur un moteur de recherche, pour voir les pages web les concernant qui ressortaient en tête.
Pourtant, seuls 7% des sondés pensent bien maîtriser les informations les concernant, et 51% aimeraient mieux les contrôler. Profil public ou semi-public ?