These TV Shows Are Finally Giving Queer Women Happy Endings. 'Black Mirror's Gay Love Story In "San Junipero" Is The Best Romance Of 2016. It is a universally accepted truth that an episode of Black Mirror must end with a shocking revelation that leaves viewers with an extreme sense of dread and a general distrust of technology.
However, for one brief moment in the "San Junipero" episode of Black Mirror Season 3, technology didn't look all bad. Instead of telling audiences how scientific advances could be used to create horrifying virtual reality experiences or robotic killer bees, "San Junipero" showed that technology can be a beautiful thing, and the episode told the definitively best love story of 2016. Spoilers ahead. There are a few obvious things in "San Junipero" that differentiate it from other episodes of Black Mirror aside from its happy ending.
For starters, it's a period piece — introducing the characters as they meander through the party town of San Junipero (a fictional place created for the series). Yorkie and Kelly's experience with their sexuality differs. Image: David Dettmann/Netflix. Collectif Jeudi noir. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Des banderoles Jeudi noir à Paris Le collectif Jeudi noir est un collectif français créé le 28 octobre 2006[1] pour dénoncer la flambée des prix des loyers et contribuer à une explosion de la bulle immobilière. Par le biais d'actions médiatiques, telles que des visites festives d'appartements à louer et des "réquisitions citoyennes" de bâtiments dans de nombreux endroits de Paris, il attire l'attention des médias et de l'opinion publique sur le fait que la majeure partie de la population souffre de la cherté des logements. Méthode[modifier | modifier le code] Le collectif Jeudi noir s'invite en 2006 lors de visites collectives dans des appartements loués à des prix prohibitifs.
Actions[modifier | modifier le code] Le , pour dénoncer les loyers trop élevés qui poussent certains jeunes à se prostituer en échange d'un logement, le collectif Jeudi Noir défile habillé en prostituées, proxénètes et travestis, devant le Ministère du Logement[4]. Sauvons les riches. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Sauvons les riches est un collectif français effectuant du militantisme (plus exactement de l'activisme politique) créé en 2009. Le collectif trouve sa filiation dans la culture Yes Men américaine et se réclame du livre d'Hervé Kempf, Comment les riches détruisent la planète. Il a été créé dans le cadre de la campagne européenne d'Europe Écologie. Ligne idéologique et actions[modifier | modifier le code] « Sauvons les riches » est créé par des militants associatifs, Karima Delli et Manuel Domergue[3] en tête, Julien Bayou et Ophélie Latil, également militants du collectif Génération précaire.
Son activité consiste en manifestations parodiques dirigées contre des personnalités comme Jacques Séguéla. Historique[modifier | modifier le code] La première action du collectif : défiler en carrosse lors d'une manifestation intersyndicale, en mars 2009. Mediacritique s no2. Guillaume Meurice : « Les luttes sociales manquent d'humour » Entretien inédit pour le site de Ballast La satire a bien souvent dénoncé, de Lucilius à Coluche, les prétentions et les bassesses des forces politiques en place.
La légèreté n’est pas l’ennemie du sérieux ; la parole humoristique peut, aiguisée, viser ou accompagner la prise de conscience transformatrice. Guillaume Meurice officie, tous les jours, dans l’émission radiophonique « Si tu écoutes, j’annule tout », entre billet d’humeur et micro-trottoir tirant à l’absurde : au gré de l’actualité, il balade son micro, d’illustres en inconnus, moqueur ou caustique. Sympathisant écologiste, cartésien et récent parrain d’un taureau rescapé de la corrida, il n’entend pour autant pas compter au nombre des « militants » : « Choisir un camp, c’est s’y enfermer. » Meurice aspire à être, à son niveau, le changement qu’il souhaite voir dans le monde — on en discute.
Je n’ai jamais été inquiété pour avoir tenu un discours « trop à gauche ». Peut-être. (Par Stéphane Burlot, pour Ballast) Voilà !