Les cryptides, tome 3 : A la poursuite du Chupacabra. Par l'intermédiaire d'un partenariat du Dimanche de Blog-O-Book, j'ai reçu cet exemplaire d'un roman jeune public, à charge pour moi de le lire et d'en produire une critique.
La lecture, c'est fait, la critique, c'est sur le point de l'être, mais je souhaite remercier tout d'abord mes partenaires dans cette poursuite cryptozoologique... La cryptozoologie est la (pseudo)science s'intéressant à l'étude des animaux mystérieux ou inconnus. Vous savez, le Yéti par exemple... A noter que parfois, on découvre en effet un animal dont l'existence n'était connue qu'à travers des rumeurs tenues pour de simples rumeurs, auquel cas l'étude de la bête devient de la zoologie scientifique, et permet à nombre de biologistes du Dimanche d'ironiser sur les limites de la "science officielle"...
Résumé : Les enfants Abelmans ne le savent pas encore, mais l'une de leurs relations (un antiquaire allemand) vient de se faire massacrer par un groupe de trois créatures humanoïdes assoiffées de sang. CHERUB tome 4 : Chute libre. Suite de ma lecture de la série CHERUB dont mes précédents compte-rendus sont classés ici.
CHERUB est une série jeune public s'adressant, à mon sens, à des lecteurs âgés d'au moins une bonne dizaine d'années. Résumé : Cette fois-ci, James Adams est allé trop loin. De toute évidence, une blessure ramenée lors d'une mission de routine, la fatigue d'un exercice pénible et s'être fait larger par sa copine Kerry ne sont pas des excuses suffisantes pour cogner un gosse de onze ans qui a surpris l'altercation. Surveillé de près par l'administration, mis en quarantaine par ses amis, James est prêt à n'importe quoi pour sortir un peu du campus de CHERUB. Toujours autant de tonus dans la série. Comme toujours, Robert Muchamore prend soin de ne jamais faire dans le manichéisme.
CHERUB tome 3 : Arizona Max. J'ai poursuivi ma lecture systématique de la série CHERUB.
Les précédents compte-rendus sont disponibles ici mais, une fois de plus, au cas où vous ne souhaiteriez pas avoir à les relire pour comprendre celui-ci, voici les prérequis : CHERUB est une agence britannique d'espionnage dont tous les agents sont des enfants et des adolescents âgés de dix à dix-sept ans.
Leur âge leur permet d'accomplir des missions très particulières (en général de l'infiltration) dans des conditions inaccessibles aux agents adultes. Ils sont surentraînés afin de compenser leur jeunesse. James Adams a été recruté à onze ans, peu après son entrée dans un orphelinat. CHERUB tome 2 : Trafic. La suite de la série CHERUB dont j'ai présenté le premier tome il y a quelques jours.
Autant vous prévenir tout de suite, j'ai bien accroché avec ces romans jeune public, et je pense les lire à la chaîne : je prévois la publication cette semaine des compte-rendus des tomes deux à quatre... Bref rappel pour ceux qui auraient la flemme de lire le précédent article manqué le début : CHERUB est une organisation d'espions placée sous le contrôle du gouvernement britannique. Petite particularité : les agents de CHERUB sont des enfants et des adolescents âgés entre dix et dix-sept ans, ce qui leur permet de réaliser des missions inaccessibles à des agents adultes. Pour entrer dans le service actif, les jeunes agents doivent passer par une session de trois mois d'entraînement, les fameux "cent jours en enfer".
James Adams, orphelin depuis peu, a été recruté par CHERUB et s'est déjà illustré dans une première mission. CHERUB tome 1 : Cent jours en enfer. Henderson's Boys, tome 1 : L'Evasion. Découvert grâce à Télérama (encore), voici un livre "pour le jeune public", le premier d'une série.
Robert Muchamore est un écrivain anglais dont le filon, semble-t-il, est le "jeune public" rétif à la lecture. A ce qu'il paraît, les tomes de la série CHERUB (pas lu, je verrai à terme si cela vaut le coup de s'y intéresser) s'arrachent et je suis même surpris de ne pas en avoir entendu parler auparavant. Millenium 2 : La fille qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une allumette / Millenium 3 : La reine du palais des courants d'air. Cela fait un moment que j'ai terminé ces deux livres et que je remets chaque jour à plus tard la critique prévue.
Ce n'était pas simple, de toute évidence, car si ces deux livres, les deux derniers de la trilogie, sont dans la continuité narrative du premier, ils présentent avec lui une différence fondamentale, à savoir qu'ils réalisent une véritable unité narrative. Là où Les hommes qui n'aimaient pas les femmes pouvait très bien se lire seul voire même après les deux autres, il m'apparaît difficile de lire La fille qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une allumette sans lire La reine du palais des courants d'air après, ou de faire le contraire, car il est clair qu'il s'agit en réalité d'un seul et même roman divisé en deux fragments complémentaires. Je me suis donc demandé s'il convenait de faire deux articles différents avant de vite écarter cette possibilité, car l'intrigue de La fille... ne se conclut en fait pas à la fin du volume. Résumé : Millenium 1 : Les hommes qui n'aimaient pas les femmes.
Il existe deux types d'adaptations de fictions littéraires au cinéma : celles où l'on lit le roman au préalable et celles où on le lit après coup.
C'est une façon de dire que la lecture du roman et le fait de voir son adaptation au cinéma sont deux exercices différents, que l'on n'entreprend pas pour les mêmes raisons et qui n'ont pas les mêmes effets : le chemin vers une fiction est très personnel et donc, très subjectif. Par une commodité qui n'est que l'expression de ma paresse, je range la série des Millenium dans le genre "policier", ignorant quelle est au juste la différence entre cette désignation et celle du polar ou du thriller. Millenium est, dans cet univers de fiction, le titre d'une revue économique assez critique à l'égard des liaisons dangereuses entre le capitalisme suédois et les journalistes économiques du pays. Mikael Blomkvist en est la figure de proue.
Mais peut-être que Millenium est une fausse série policière ? Wikio.