Le PS refuse de prendre la mesure de la crise. Par delà le spectacle d’une “union retrouvée” et les postures stratégiques des différents futurs candidats aux futures primaires, par delà l’hallali anti-Sarkozy convenu, il apparaît qu’à l’issue de son université d’été, le Parti socialiste n’a toujours pas pris ou voulu prendre la mesure véritable de la Grande Crise.
Les titres du programme… sans le programme Ce qui frappe dans les différents discours des différents responsables socialistes, c’est l’absence quasi totale de programme détaillé. Inconséquence ? Stratégie infantile (ne pas dévoiler ses batteries à ses adversaires) ? Craintes de révéler des intentions peu populaires ? Pas tout de lancer les grandes titres ronflants d’un programme comme les relations entre le travail et le capital, la répartition des richesses, la justice fiscale ou la sécurité des citoyens.
Aucune réponse concrète aux problèmes concrets Qui parmi nos opposants officiels pour réguler et taxer le système bancaire et financier ? Une base de réflexion obsolète. Une partie sécurisée. N’y allons pas par quatre chemins, le principal facteur d'amertume et de désintérêt envers le processus démocratique chez l’électeur c’est un certain mimétisme comportementalentre le PS et l'UMP.
Il est sottement lié à ce stupide complexe qu’ont, depuis des décennies, les barons de la gauche vis-à-vis de ceux de la droite, couplé à la certitude crasse chez certains de réussir l'OPA sur le parti. 1 / Le complexe Bon, ne chipotons pas. Si l'on met de côté les années de cohabitation et les accompagnements de texte du capitalisme[1], telle qu’elle est comprise dans l’inconscient collectif, la gauche a vraiment eu le pouvoir peu de temps : de 1981 à 1983. Ce qui manque d'après moi dans le projet du PS part #1. Hollande : 89% de Sarkozy un petit calcul s’impose , au sujet de la dette.
D’après son projet de 2012 , le nain pestilentiel Sarkozy proposait de réduire la dette en faisant un total de 75 Milliards d’euros d’économies d’ici 2016 soit en 4 années pleines. et rajouter 40 Milliards d’impôts nouveaux pour arriver a l’équilibre budgétaire en 2016. Je pose : 75 / 4 = 18,75 Milliards par an. François Hollande propose de réaliser 50 milliards d’économies en 3 années pleines. Je pose : 50 / 3 = 16,67 Milliards par an Calculons le ratio Hollande/Sarkozy, soit 16,67/18,75, ça donne 0,89 donc 89% Au secours: On se croirait en septembre 2007. Posted by Rva in Hollandie L’ami Sarkofrance est devenu blogueur d’opposition. (more…) l’odieux rapport sur la santé Un odieux rapport sur la santé circule et fait du bruit. (more…) Lamy du petit déjeuner. Pascal Lamy (encarté PS) est l’ancien directeur général de l’organisation mondiale du commerce. (more…) RTT : la semaine de 4 jours. Le projet du PS veut conjuguer rigueur et ancrage à gauche - VIE POLITIQUE ELECTIONS. 04/04/2011 - Le projet du PS pour 2012 lance (enfin) le vrai débat, actualité Le parti pris d'Hervé Gattegno : Le Point.
Le PS doit adopter demain son projet pour 2012.
Le Journal du dimanche en a publié hier les grandes lignes. Pour vous, c'est le vrai lancement de la campagne présidentielle. Votre parti pris : enfin, le vrai débat ! On peut parier que les propositions des socialistes vont beaucoup plus stimuler le jeu démocratique, la confrontation des idées que ce trop fameux vrai-faux débat sur l'islam et la laïcité - ce débat mistigri dont l'UMP ne sait plus trop comment se débarrasser. Exclusif: le programme du PS in extenso. Yann-savidan.typepad.fr/ProgrammePS_Marianne2.pdf. Première analyse du programme PS pour 2012. La présentation du programme de gouvernement du PS pour les cinq prochaines années est maintenant partiellement connu. 10 milliards d'euros par an de marge de manœuvre pour financer des politiques que tous parti de gauche pourrait défendre.
Un premier socle d'idées qui ressemble à une plateforme de revendications communes à toutes les forces de gauche. Et je dois dire que je suis étonné que mes amisblogueurs ne s'emparent pas d'un tel sujet, certes il faut attendre les détails pour se plonger plus précisément sur les modalités d'application, les financements, etc... Les coulisses du programme du PS. La patronne du PS en avait assez de "l’eau tiède, des textes en l’air".
"Un texte ambitieux et sérieux, une plume qui parte des Français", telles étaient les consignes de la patronne. "Pour que les socialistes défendent bien le projet, il fallait qu’ils s’y retrouvent et qu’ils y soient associés", reconnaît Bachelay. Pour discuter du projet, Aubry a créé au début de l’année une nouvelle instance, le conseil politique, qui réunit de Hollande à Royal en passant par Fabius, Delanoë, Hamon, Emmanuelli, Montebourg, Moscovici, Valls, les quinze principaux dirigeants du PS. Bachelay est allé les voir en tête à tête dans leur bureau. Et tous ont été sensibles à cette attention. Gilles Finchelstein, penseur et plume de DSK, a aussi été consulté et il a apprécié: "La cheville ouvrière du texte, Guillaume Bachelay a veillé à l’état d’esprit positif.
" "On sent qu’on en envie de gagner", s’amuse un dirigeant.