La crise du verglas en photos. Des bidonvilles en flammes à Manille. Éruption meurtrière du Volcan de feu. ALOTENANGO — Le décompte macabre pourrait encore s’alourdir aujourd’hui au Guatemala avec la poursuite des recherches des nombreux disparus après l’éruption du Volcan de feu, le bilan au moment de publier faisant état d’au moins 65 morts après la découverte hier par les sauveteurs de nombreux corps calcinés. L’éruption dimanche de ce volcan culminant à 3763 mètres et situé à 35 kilomètres au sud-ouest de la capitale Guatemala a également entraîné l’évacuation d’urgence de plus de 4500 personnes des villages situés sur le flanc du volcan, qui a projeté de la lave et des cendres sur une vaste zone, semant la panique parmi les habitants.
Selon David de Leon, porte-parole de la Coordination nationale pour la gestion des catastrophes (Conred), le bilan s’élevait hier soir à 65 victimes. Quelque 46 blessés ont été recensés, dont la moitié sont dans un état grave. « Il y a des disparus, mais on ne sait pas combien », a déclaré de son côté le directeur de la Conred, Sergio Cabañas. La côte est paralysée par la tempête. Aéroports paralysés à New York, inondations glacées à Boston, des dizaines de milliers de personnes sans électricité : une tempête de neige a balayé hier la côte est des États-Unis, laissant des dizaines de centimètres de neige sur son passage. Les autorités redoutent désormais une chute des températures qui pourrait encore aggraver la situation. Jusqu’à 45 cm de neige en Nouvelle-Angleterre L’est de la Nouvelle-Angleterre attendait hier jusqu’à 45 cm de neige. Des avertissements de blizzard ont été diffusés, alors que l’état d’urgence a été déclaré dans de nombreux secteurs.
De nombreux établissements, dont des édifices gouvernementaux, ont été fermés pendant la journée à plusieurs endroits. New York recouvert d’un manteau blanc Dans certaines régions, les importantes chutes de neige apportées par cette première grosse tempête de la saison semblaient se calmer en fin de journée. Froid polaire attendu routes impraticables « Inondations historiques » à Boston Pannes d’électricité. Les catastrophes naturelles. Dans l’œil du cyclone. Dataset. Description This animation shows every recorded earthquake in sequence as they occurred from January 1, 2001, through December 31, 2015, at a rate of 30 days per second. The earthquake hypocenters first appear as flashes then remain as colored circles before shrinking with time so as not to obscure subsequent earthquakes.
The size of the circle represents the earthquake magnitude while the color represents its depth within the earth. At the end of the animation it will first show all quakes in this 15-year period. This time period includes some remarkable events. You can view a YouTube version of this animation here. Notable Features. Earthquakes of the First 15 Years of the 21st Century. Quels pays sont les plus à risque de catastrophes naturelles? La réponse en carte | Les cartes week-end.
Californie : le "Big One" est-il en vue ? En Californie, la vigilance est permanente. Mais depuis quelques jours, l’activité sismique s’est accentuée sur la faille de San Andreas qui forme une fracture le long de la côte Californienne depuis la frontière mexicaine jusqu’en Alaska. D’après le Los Angeles Time, plus de 200 mini séismes de faible magnitude ont marqué la région sud de la Californie le long de Salton Sea, et l’'Institut d'études géologiques des Etats-Unis (USGS) appelle à la vigilance à partir du 3 octobre 2016 pour une semaine.
La probabilité d’être confronté à un séisme de magnitude supérieure à 7 –sur une échelle où les plus gros séismes atteignent 9- a même été évaluée dans une fourchette allant de 1/3000 à 1/100. Un système complexe de fractures « Des séismes peuvent être précédés par des essaims sismiques mais ce n'est pas systématique. Les tremblements de terre s'intensifient sur la Californie du sud et sur le lac Salton - Sarah Sermondadaz pour Sciences et Avenir. L'ouragan « Matthew » poursuit sa route. Séisme au Japon : l'alerte au tsunami levée. La secousse de magnitude 7,4 est survenue à une profondeur de 25 kilomètres, pas 10 comme il a été annoncé précédemment, a précisé l'Agence météorologique nationale, tandis que l'Institut américain de géophysique (USGS) a annoncé une magnitude de 6,9. L'épicentre du séisme, qui a été ressenti jusqu'à Tokyo, était au large de Fukushima.
Après avoir émis une alerte sur un risque de tsunami de trois mètres, l'agence de météo s'est révisée à un simple avis de risque environ quatre heures après la première secousse, suivie de plusieurs répliques. L'ensemble de ces avertissements ont ensuite été levés, un peu moins de sept heures après le tremblement de terre initial.
Des ordres d'évacuation avaient été donnés par plusieurs localités, pour un total de quelque 100 000 personnes. Les autorités n'ont cependant signalé aucun blessé ni dégât majeur. La région de Fukushima a été durement frappée, en mars 2011, par un tremblement de terre de magnitude 9 qui avait soulevé une vague dévastatrice de 15 m. Séisme de 7,0 au Salvador et au Nicaragua, alerte au tsunami et l'ouragan Otto menace. SAN SALVADOR | Un séisme de magnitude 7,0 au large du Salvador a secoué jeudi une partie de l’Amérique centrale, frappée une heure plus tôt par l’ouragan Otto, et les autorités salvadoriennes ont lancé une alerte tsunami. La secousse, dont on ignorait à 15H00 si elle avait fait des victimes, s’est produite dans l’océan Pacifique, à environ 120 kilomètres au large des côtes du Salvador et à une profondeur de 33 kilomètres, selon l’institut géologique américain USGS.
Le tremblement de terre a aussi été ressenti au Nicaragua et au Costa Rica. Par précaution, le gouvernement du Salvador a lancé une alerte tsunami et demandé aux habitants des régions côtières d’évacuer la zone. «Tous les mécanismes de protection ont été activés et donc nous commençons les évacuations», a annoncé le ministre de l’Intérieur Aristides Valencia sur la radio nationale. Otto a déjà fait quatre morts au Panama, et le président du Costa Rica, Luis Guillermo Solis, avait décrété dès mercredi l’état d’urgence. Puissant séisme de magnitude 7,6 au Chili. Le tremblement de terre a perturbé la journée de Noël de milliers de personnes qui ont dû quitter leur domicile pour tenter de rejoindre des zones plus élevées, après la publication d'un ordre d'évacuation et d'une alerte au tsunami par le centre d'alerte au tsunami dans le Pacifique.
Trois heures après le séisme, le Bureau national des situations d'urgence (ONEMI) a annoncé la levée des deux ordres et indiqué aux quelque 5000 personnes visées qu'elles pouvaient regagner leur logement. L'alerte avait été émise pour les régions situées dans un rayon de 1000 km autour de l'épicentre, à 225 km au sud-ouest de Puerto Montt. Aucune victime n'a été signalée. L'ONEMI a précisé qu'un pont a été détruit, certaines routes obstruées et que 21 000 foyers étaient sans électricité. « C'est une très bonne nouvelle, pour le moment nous ne déplorons aucun mort après le séisme dans le sud, a dit sur Twitter la présidente chilienne, Michelle Bachelet.
Le Chili connaît une forte activité sismique régulière. 15 photos déchirantes avant et après montrent le ravage du séisme en Italie. Au moins 250 personnes ont perdu la vie dans le séisme dévastateur qui a frappé l’Italie mercredi. L’épicentre du tremblement de terre d’une magnitude de 6,2 était à Norcia, à environ 100 km au nord-est de Rome. Amatrice, Accumoli, Arquata del Tronto et Pescara del Tronto sont les villages les plus touchés par le séisme. En regardant les photos avant et après ci-dessous du séisme, vous pourrez réellement commencer à constater l’ampleur de la destruction. Source: BoredPanda 1. Une place publique au centre d’Amatrice. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15.
Montréal veut renforcer son équipe de sauvetage. Les risques de sinistre majeur étant jugés de plus en plus élevés, la Ville de Montréal planche sur un projet pour renforcer son équipe de recherche et de sauvetage. Le Service incendie de Montréal (SIM) dispose déjà d’un groupe de sauvetage technique de 132 pompiers, mais la métropole souhaite maintenant atteindre le standard le plus élevé fixé par Ottawa. Il s’agit des équipes de recherche et de sauvetage en milieu urbain à l’aide d’équipement lourd (RSMUEL). Celles-ci sont habilitées à intervenir dans tout sinistre majeur, comme des glissements de terrain, des inondations, des explosions de bâtiments ou même des conflits majeurs. Ces équipes sont ainsi tant spécialisées en recherche, en soins médicaux qu’en évaluation des structures.
Leurs membres sont appelés à effectuer des recherches à l’aide de chiens entraînés et d’appareils électroniques pour localiser des personnes coincées dans des décombres ou des structures effondrées. . — Gabrielle Charbonneau L’aide d’Ottawa attendue. Les animaux en voie d'extinction. Les enquêtes de l'Inspecteur Ki.