2016 tableau semis et plants planification ferme Bourdaisi%C3%A8re 1. Calendrier de semis, repiquage et récolte pour les espèces potagères en jardinage amateur. Planification des cultures : les tableaux. Suite à l’article présentant la méthodologie globale de la planification, voici la présentation de la planification à proprement parler.
Les trois documents de base de notre planification Le « tableau semis et plants » est le document central de la planification. Pour chaque légume cultivé sur la ferme, il précise : La Montée Bonachoux. Voici le plan de culture qui a été décidé en groupe et dessiné par Sophie : Les 2 buttes du haut : Les 2 buttes du bas : Les principes retenus pour cette disposition : rotation sur 2 ans de chaque butte, en évitant au maximum les successions de famille de légumesles légumes grimpants en milieu de butteles légumes feuilles sont plutot sur la butte du bas, qui est éclairée plus tard le matinLes legumes fruits sur les buttes du haut, plus chaudeLes compagnonnages de plantes sont exploités (ex : sarriete/haricot; poireau/carotte; oeillet d’inde tomate; poireau/fraise etc… ) sur la base de la littérature disponible (« le poireau préfere les fraise »; « les cultures associées ».A terme, des arches entre les 2 buttes du haut devrait fournir un léger ombrage propice aux salades.
Elles permettront également de tutorer les tomates, les haricots a rame, les concombres etc.. WordPress: J'aime chargement… Planification des cultures : méthodologie. L’hiver est l’occasion de mettre au point la planification des cultures de l’année prochaine.
La planification permet d’établir une stratégie pour l’année entière. Elle s’effectue habituellement lors des mois où l’activité est la plus réduite, généralement en décembre et janvier. Elle permet aussi de mettre en œuvre certains principes de permaculture : « intégrer plutôt que séparer » : nous intégrons à la planification des associations de cultures bénéfiques mutuellement ; « valoriser la diversité » : la plupart des familles de légumes sont représentées avec une diversité de variétés.
Ainsi, si une maladie touche une variété de légumes, son impact sera mineur sur les récoltes globales puisque « nous n’aurons pas mis tous nos œufs dans le même panier » et que les autres cultures ne seront pas impactées. Pourquoi planifier les cultures en maraîchage ? Le design en permaculture. Le « design » est au cœur de ce que propose la permaculture La permaculture est une science systémique, une philosophie (à travers l’éthique : respect de l’humain, respect de la terre, partage équitable), et un mode de vie.
Pour pouvoir être tout cela, elle propose une méthode de conception et d’aménagement d’écosystèmes cultivés (agricoles et culturels) répondant aux besoins humains. Cette méthode de conception, appelée méthode de « design », permet la mise en application des principes de permaculture1. Ces principes visent à garantir l’efficacité et la résilience du système travaillé. Une illustration : le « design » de la microferme de la Bourdaisière. Toute l’abondance de la permaculture chez vous, sur 12m2 et en un week-end… : PermacultureDesign. La plupart d’entre nous veulent mettre la main à la pâte rapidement, commencer à toucher la terre quand ils arrivent sur leur terrain, commencer à produire un peu de nourriture, faire un petit jardin… Et puis, souvent, les lieux manquent de diversité, de vie, ce qui nous donne une raison de plus pour agir.
Pourtant une des bases de la permaculture est d’observer longuement avant d’agir, et de réaliser son « design » global (conception permaculturelle) après coup. Tout ceci évite tout un tas d’énergie gaspillée en installations trop vite mises en place, mal réfléchies et la plupart du temps non fonctionnelles ou non adaptées au contexte. C’est par ce manque de conscience et de temps laissé à l’observation et au design, que nos premiers ouvrages courent souvent à l’échec et nous mènent à la déception : spirales aromatiques abandonnées, buttes non efficaces mal adaptées ou mal placées, etc. Une butte n’est pas la panacée en tous contextes, d’autant plus si elle est mal faite ou mal pensée… Autonomie alimentaire et énergétique. Cet article est en plusieurs partiesPartie 1 Plans et construction (vous êtes ici)Partie 2 Installation et remplissagePartie 3 Association de plantesPartie 4 Nos plantationsPartie 5 Bilan d'une première saison de production Introduction Ce projet s’inscrit dans notre souhait d'une autonomie alimentaire partielle à défaut de pouvoir démarrer comme nous le souhaitions l'aquaponie à grande échelle.
Une terrasse de 10m par 5 nous est prêtée à 300m de notre domicile. Nous avons décidé de faire des carrés pour optimiser le rendement et commencer notre réflexion sur l'association des plantes, utiliser les différents composts de lombricompostage que nous fabriquons et/ou maîtrisons. Plan.