Prix et valeur de la collaboration dans le travail. Coopération, management et technologies » coopération. Ce billet est le premier d’une série sur la théorie de la coopération, dans lesquels nous reviendrons notamment sur les travaux de Robert Axelrod.
Entre autres réalisations, Robert Axelrod est l’auteur de l’ouvrage The evolution of cooperation, publié en français sous le titre attrayant, provocateur mais réducteur “Comment réussir dans un monde d’égoïstes ?” Vous trouverez dans le centre de ressources un résumé et commentaire de ce livre par François Audiat. Le livre passe en revue différentes stratégies d’interaction entre les membres d’un groupe. Parmi ces stratégies, il y a le modèle dit “donnant – donnant”.
Le principe de la coopération donnant – donnant consiste à interagir sur un mode coopératif avec un partenaire tant que celui-ci fait de même. Robert Axelrod a montré dans son ouvrage que cette stratégie était efficace et pouvait même s’imposer en absence d’amitié ou d’amour, par la seule force des intérêts bien compris des uns et des autres.
Managers hiérarchiques et transversaux : coopérez ! Le lecteur de ce billet trouvera probablement le titre quelque peu incantatoire et il aura raison : la coopération ne se décrète pas.
Et pourtant combien d’organisations se construisent sur la base d’un organigramme qui devrait servir de viatique à des relations transversales efficaces et harmonieuses entre les lignes hiérarchiques et les managers hors hiérarchie. Signalons que la coopération entre les managers hiérarchiques et les chefs de projet est le plus souvent balisée : lettre de mission, affectation d’une équipe dédiée, définition des temps alloués au projet, hiérarchisation des priorités, objectivation des la contribution des collaborateurs au projet… Il en va encore bien souvent tout autrement en ce qui concerne la coopération entre les managers transversaux, les lignes hiérarchiques et les collaborateurs-contributeurs des missions transversales. Raising procurement’s self-esteem. First impressions Procurement professionals are indoctrinated into the profession with messages such as “you have to take the internal customer along with you”, “you have to persuade them” and “you have to get their buy-in first”.
Is the Facebook generation the key to procurement’s future? As the owner of a website, blog, LinkedIn group and a novice Twitter user, I am no stranger to social media, but certainly no expert.
A waste of collaborative buying expertise. Why, when government is touting centralisation as the answer to all its spending ills, is it disbanding collaborative buying groups?
Thinking outside the inbox. According to French IT firm Atos Origin, the tired old email is on its way out of business and set to be replaced by a younger, funkier way of communicating.
Aka: social media. Speaking at an innovation conference yesterday, Atos Origin CEO Thierry Breton announced that it aims to become a zero e-mail company within three years. The rationale for the move is that email takes up too much time and effort in the workplace, whereas social media doesn’t. Now, okay, Atos Origin is an IT company, and as such it may well be planning on releasing a social media-based alternative to email. Partage, P2P… bienvenue dans l’économie collaborative! Boostés par les outils web et la crise, la consommation collaborative émerge comme une véritable alternative à une société propriétaire.
De la voiture partagée au booksurfing, Antonin Léonard dissèque les nouvelles tendances. Un jour, nous regarderons le XXe siècle et nous nous demanderons pourquoi nous possédions autant de choses affirmait récemment Bryan Walsh dans TIME Magazine qui consacrait la Consommation Collaborative comme l’une des dix idées amenées à changer le monde. L’économie du partage se propage : du transport aux voyages en passant par l’alimentation, le financement de projets et la distribution, tous les secteurs ou presque voient cette nouvelle économie émerger.
Pourquoi acheter et posséder alors que l’on peut partager semblent dire des millions d’individus. Tandis qu’Airbnb annonçait il y a quelques mois avoir dépassé le million de nuits réservées sur son site, en France, c’est covoiturage.fr qui a récemment franchi la barre du million de membres inscrits. Geckonaute. Delicious a été mon outil de prédilection pour gérer mes favoris, j’en ai déjà d’ailleurs déjà parlé ici et expliqué là pourquoi ce service (et d’autres) de gestion de favoris en ligne est utile.
Seulement voilà, il y a quelque temps, des rumeurs que Yahoo (propriétaire de Delicious) allaient peut-être “tuer” le service m’ont fait chercher une alternative. Depuis, les rumeurs sont devenues réalités puisque Delicious a été vendu. A priori, pas de souci quant à l’avenir de Delicious, les repreneurs souhaitent le développer, chose que Yahoo n’a jamais su/pu faire. Toujours est-il que, quelque soit l’avenir de Delicious, je me suis remis en quête d’un outil de gestion de favoris qui auraient les mêmes caractéristiques que Delicious : - Stockage en ligne des favoris- Gestion de “tags” pour catégoriser les favoris- Possibilité d’avoir des favoris privés- Version iPhone pour accès via mon mobile- Synchronisation hors-ligne pour un accès rapide dans le navigateur Zootool, un superbe outil. FredCavazza.net.