Le dopage: dangereux et amoral / Sport et santé. Les joutes sportives, sont une constante dans l'histoire de l'humanité.
Des byzantins aux grecs anciens en passant aux indiens d'Amérique précolombienne, toutes les grandes civilisations ont eu leurs jeux, pour le bonheur des sportifs, mais aussi pour la joie des spectateurs. Mais il existe parfois une revers de la médaille... Car se mesurer aux autres, cela implique que l'on accepte certaines règles... que l'égalité des chances soit respectée. Et puis, le sport, c'est sensé faire du bien à notre corps et à notre esprit. Alors, prendre des substances qui peuvent mettre en danger notre santé pour gagner en performance, cela n'est pas très moral et souvent très, très dangereux.
Avec Martial Saugy, directeur du laboratoire suisse d'analyse du dopage. Source L'antidote est l'émission de prévention et de promotion de la santé sur canal9. Le dopage: dangereux et amoral / Sport et santé. Loisir ou compétition, le sport doit rester un plaisir. Adapté à la personnalité et aux compétences de son enfant, le sport peut être un loisir très épanouissant.
La compétition, en revanche, entraîne souvent beaucoup de stress. Comment dédramatiser et éviter qu’il subisse une trop grande pression ? Les enfants ont besoin de se dépenser ! Le sport permet aux enfants de se dépenser physiquement et de se changer les idées. A l'heure du “tout-écran” (ordinateur, télévision, console de jeu), associé à une alimentation pas toujours équilibrée, c'est important !
“C'est un moyen de lutter contre la sédentarité et de se tourner vers l'extérieur”, commente Geneviève Henry, psychologue spécialiste des enfants et des adolescents. Un sport, oui… mais adapté à sa personnalité Pour qu'un enfant s'épanouisse dans la pratique d'un sport, il faut que ce sport corresponde à sa personnalité et à ses compétences. D'où l'intérêt de l'inscription au “multisports” par exemple, pour commencer. Position et Vélo. Etude posturale. Vélo sur mesure. Cyclisme de compétition sur route.
La compétition scolaire, pour quoi faire? Derrière la ritournelle de la «croissance» qui chante si agréablement aux oreilles des Français depuis le 6 mai, il faut entendre le doux mot de compétitivité.
L’émulation compétitive est-elle fortement enracinée dans la société française, en particulier dans sa jeunesse? A première vue, on doit répondre par l’affirmatif. Ici, plus que partout ailleurs, insertion professionnelle rime avec réussite scolaire, et donc la compétition à ne pas rater, c’est celle que l’on engage dès sa plus tendre enfance avec ses congénères sur les bancs de l’école. Ici, l’avenir ne peut attendre. L’objectif est de sortir vingt ans plus tard dans le peloton des personnes qui feront des études supérieures (la moitié d’une classe d’âge s’y engouffre), y obtiendront un diplôme (42% de la classe d’âge) et, encore mieux, un parchemin d’une grande école (5%).
Sélection à double tranchant Comment, en effet, ne pas se flageller de ne pas réussir dans un processus qui se réclame de la pure méritocratie? Monique Dagnaud. L’esprit de compétition est-il si bon ? Pascale Senk (lefigaro.fr, le 27/06/2011).
Une étude montre qu’à l’école, « l’apprentissage coopératif », c’est-à-dire consistant à faire travailler les élèves ensemble au sein de petits groupes, se révèle très bénéfique. Longtemps louée comme un puissant moteur de progression, la rivalité est de plus en plus remise en question. Jeanne, chargée de clientèle dans une agence de voyages, se souvient encore du jour où sa responsable de secteur les convoqua, elle et sa collègue. « Eh bien, mesdames, j’ai le plaisir de vous annoncer qu’à la fin de l’année prochaine, comme je serai mutée en province, l’une de vous deux sera promue à mon poste ! Vous avez ces mois devant vous pour prouver votre légitimité et avantages sur votre rivale. Bonne chance à chacune de vous. » Un système hérité de Darwin Un système hérité de Darwin qui semble aujourd’hui fortement battu en brèche, tant dans des études scienti¬fiques que sur le terrain quotidien. Se remettre en question. L'école malade de la compétition. Dimanche 15 juillet 2012 7 15 /07 /Juil /2012 09:16 Tout devient compétition.
Pas une émission de télévision, ces émissions dites de divertissement où le rire et l'émotion sont convoqués sans possibilité d'y échapper (*), sans la mise en concurrence des participants. Très récemment a paru le désormais traditionnel, incontournable et redouté "classement des lycées". Classement que je trouve, par ailleurs, absurde, quasiment falsificateur. Mais là n'est pas le sujet de ce billet. Ce qui amène aujourd'hui ma réflexion est la relecture récente d'un article paru dans Le Monde du 19 janvier 2010, écrit par Alain Cadix, ancien Président de la Conférence des Grandes Ecoles, et malicieusement intitulé : "L'ascenseur social ne démarre pas au 15ème étage".