Dunkerque et Bray-Dunes veulent encourager la colocation entre jeunes et personnes âgées. Qu’est-ce que le dispositif « Un toit à partager » ? « Rompre l’isolement des deux côtés ». C’est le leitmotiv de Générations et culture, qui a lancé l’opération. Son dispositif « Un toit à partager » permet à un jeune d’habiter chez une personne âgée. L’association lilloise se charge alors de mettre en relation les deux parties. Pas de contrat mais une convention Deux cents euros. Avant, les deux parties doivent remplir un dossier, sous forme de questionnaire. « Il y a 20 euros de frais administratifs qui ne sont pas remboursés, même si le dossier est refusé », admet Anne Richard, chargée de mission pour Générations et culture.
Pour qui ? Les jeunes doivent être étudiants ou salariés précaires. En plus d’une chambre à louer, les personnes âgées doivent tolérer l’accès à toutes les pièces du domicile. « Sauf celles qui sont personnelles. » Elles doivent aussi accepter une visite de leur logement par l’association, avant la location. Avec un « service après-vente » Projet de loi « égalité et citoyenneté » : offrir plus de chances aux jeunes en service civique - Club RH. Après avoir retiré, devant l’hostilité des syndicats, les dispositions visant à créer la possibilité de recruter des jeunes non diplômés en catégorie B, sans concours, le ministère de la Fonction publique a élaboré un deuxième train de propositions, qu’il présentera jeudi 2 juin 2016. Pour « diversifier l’accès à la fonction publique », Annick Girardin mise notamment sur les jeunes en service civique et en volontariat international.
Ainsi, plusieurs amendements au projet de loi « égalité et citoyenneté », auxquels La Gazette a eu accès, ont pour objectif de favoriser la reconnaissance des expériences en service civique. Ce dernier, quelle qu’en soit la forme, pourrait demain être valorisé dans le cadre de la reconnaissance des acquis de l’expérience professionnelle (RAEP). L’Angle éco. La guerre des âges - France 2 - 31 mai 2016 - En replay. Pour ce numéro exceptionnel de mai, diffusé en prime time, "L'Angle éco" se penche sur la question des inégalités entre générations, qui n’ont jamais été aussi criantes. Alors que les retraités ont désormais un niveau de vie supérieur à celui des actifs, les jeunes voient l’évolution de leurs revenus stagner, voire reculer par rapport aux générations plus âgées. C’est la guerre des âges, la lutte des générations.
Dans l’emploi comme dans l’immobilier, une génération dorée, celle des baby-boomers, a tout raflé. Il y a quarante ans, la vieillesse était souvent synonyme de pauvreté et de mal-logement, en l’espace de quatre décennies, le rapport de force s’est inversé : tant mieux pour les seniors, et tant pis pour la jeunesse ! Aujourd’hui, le taux de pauvreté des 18-29 ans est de 18,6%. Il était de seulement 5% en 1970. Aux uns le patrimoine, les emplois stables, le temps libre et de longues retraites passées en pleine santé.
Emploi : génération galère Ma retraite ou ton emploi ? Garantie jeunes : les missions locales n'auraient plus l'exclusivité. Nombre des 460 amendements ajoutés au projet de loi El Khomri adopté en application du 49-3 le 12 mai et transmis au Sénat concernent le volet apprentissage/formation. Le projet de loi visant à instituer de nouvelles libertés et de nouvelles protections pour les entreprises et les actif(ve)s a été adopté le 12 mai 2016 par l'Assemblée nationale en application de l'article 49, alinéa 3, de la Constitution. Il a été transmis au Sénat le 13 mai 2016 pour un examen en séance publique prévu à partir du 13 juin. Mais déjà, le 17 mai en fin d'après-midi, la commission des affaires sociales entendait Myriam El Khomri, ministre du Travail, sur le sujet avant de recevoir ce 18 mai les représentants des organisations représentatives des salariés.
Parmi les 460 amendements adoptés lors du passage en force à l'Assemblée nationale, plusieurs concernent l'apprentissage et la formation. Les régions pourront déroger à la limite d'âge de l'apprentissage Emilie Zapalski. Haut Conseil de la Famille | Documents H.C.F. Une circulaire crée la clause d'impact jeunesse. Annoncée le 14 avril 2016 lors du troisième Comité interministériel à l'égalité et à la citoyenneté (Ciec), la création de la "clause d'impact jeunesse" est officialisée par une circulaire signée le 2 mai par le Premier ministre. Le principe : évaluer l'impact pour la jeunesse de chaque nouveau projet de loi ou règlement. Au cours de la préparation de chacun de ces textes, une "analyse systématique de ses impacts", avec "une dimension prospective", devra être conduite.
Cette disposition complète l'étude d'impact obligatoire pour chaque projet de loi depuis la loi organique du 15 avril 2009. Quant à la nature des impacts examinés, sont cités des objectifs généraux - l'accompagnement des jeunes vers l'emploi et l'autonomie et leur accès aux services publics – et des "enjeux fondamentaux" – "l'égalité entre tous les jeunes, la justice intergénérationnelle et la non-discrimination dans l'accès aux droits et aux services publics".
Un partenariat entre les jeunes et les communes est-il possible dans les territoires ruraux ? Dans le cadre du plan « priorité jeunesse », mis en œuvre par le gouvernement depuis 2013, deux des treize chantiers de ce plan, visent à donner toute leur place aux jeunes dans la société. En effet, l’un a pour objectif de « promouvoir et valoriser l’engagement des jeunes », l’autre de « renforcer la représentation des jeunes dans l’espace public ». Chacun de ces chantiers se décline en une dizaine de mesures. La participation des jeunes à la construction des politiques publiques est également un axe transversal fort de ce plan.
Ainsi, le ministère chargé de la jeunesse consulte régulièrement le Forum Français de la Jeunesse (FFJ), auquel adhèrent des organisations de jeunes issus du monde rural comme le Mouvement Rural de Jeunesse Chrétienne (MRJC), et le Conseil National des Associations de jeunesse et d’éducation populaire (CNAJEP). L’Agence du service Civique a conventionné avec l’association des maires ruraux de France. Instructions et circulaires récentes | Legifrance. Consulter (PDF, 54 ko) Domaine(s) : Fonction publique Jeunesse, sports, vie associative Administration Pouvoirs publicsMinistère(s) déposant(s) : PRM - Premier ministreAutre(s) Ministère(s) concerné(s) : ETS - Travail, emploi, formation professionnelle et dialogue social ; - ; INT - Intérieur ; - ; - ; FCP - Finances et comptes publics ; JUS - Justice ; ERN - Economie, redressement productif et numérique ; - ; FVJ - Droits des femmes, ville, jeunesse et sports ; - ; - ; MAE - Affaires étrangères et développement international ; - ; OME - Outre-mer ; MEN - Education nationale, enseignement supérieur et recherche ; AGR - Agriculture, agroalimentaire et forêt ; MCC - Culture et communication ; DEF - Défense ; DEV - Ecologie, développement durable et énergieDate de signature : 02/05/2016 | Date de mise en ligne : 02/05/2016 Nombre d'annexes : 1 NOR : PRMX1611724C | Numéro interne : | CERFA : | Référence de publication au Journal officiel ou au Bulletin officiel :
Conditions de vie-Société - Les habitants des quartiers de la politique de la ville. Imprimer la page La pauvreté côtoie d'autres fragilités Auriane Renaud, François Sémécurbe, division Études territoriales, Psar Analyse urbaine, Insee Résumé En France métropolitaine, 4,8 millions de personnes vivent dans les 1 300 quartiers de la politique de la ville. La population de ces quartiers, de par leur définition même, est fréquemment touchée par la pauvreté.
Sommaire Encadré La réforme de la politique de la ville Publication 1300 quartiers de la politique de la ville en métropole Depuis 2015, une nouvelle géographie d'intervention prioritaire de la politique de la ville est en vigueur, recentrée sur les zones considérées comme les plus en difficulté (encadré). Par construction, ces quartiers concentrent une part importante de la pauvreté monétaire des zones urbaines. Figure 1 - Nombre d'habitants dans les quartiers de la politique de la ville et taux de pauvreté* dans ces quartiers, par unité urbaine * Voir définitions. Retour au sommaire Encadré La réforme de la politique de la ville. Coaching-logement BTP : aider les jeunes du BTP à se loger. Par la rédaction, le 3 mai 2016 Cilgere, acteur d’Action Logement, et PRO BTP, groupe de protection sociale du BTP, lancent "Coaching-logement BTP", une aide par téléphone pour accompagner les jeunes de 20 à 30 ans dans la recherche de leur logement.
Ce service a été conçu pour apporter aux jeunes salariés les clés pour mener une recherche de logement efficace, dans le social et dans le privé. Cet accompagnement se fait en deux étapes : le coach dresse d’abord un diagnostic complet de la situation du salarié et de ses besoins (localisation de son futur domicile, sa surface, son prix...), l’informe sur les aides possibles auxquelles il peut prétendre et les démarches qu’il doit réaliser. Il l’aide ensuite à préparer un dossier argumenté pour étayer sa demande et lui ouvre l’accès à des services complémentaires, tel que LocService (service de location de particulier à particulier dans toute la France). À lire également : L'UFL dans le giron du DLR + d'articles Infrastructures TP.